Sophie, libraire à Vancouver, est prête à tout pour récupérer son ex. Même à s’improviser voyante et à proposer à Melanie, la nouvelle petite amie de Doug, qui s’intéresse au paranormal, une fausse consultation destinée à faire rompre les tourtereaux…
Mes lectures et à fortiori mes achats de chick lit sont souvent guidés par les titres, celui-ci m’a littéralement tapé dans l’œil car avouez qu’une libraire n’a pas grand chose à voir avec la voyance ! C’était aussi l’occasion pour moi d’ajouter un livre de plus au challenge Le nez dans les livres de George.
Le point de départ, une rupture, est loin d’être original, bon nombre de romans de chick lit ont ce point de départ en commun. La suite, est elle, nettement plus originale et à dire vrai je me suis bien amusée à lire les mésaventures de Sophie Kintock.
Eileen Cook, qui s’est fait connaître par son blog, est très drôle et j’ai souvent ri à la lecture des péripéties et des rebondissements qui se succèdent sans temps mort dans la vie de Sophie Kintock, libraire de son état. Le rythme enlevé du récit m’a littéralement happé et j’ai eu beaucoup de mal à ne pas lire les 345 pages d’une seule traite, tant j’avais envie de savoir ce qui se passait ensuite.
L’héroïne est très attachante, car elle nous ressemble, c’est une fille tout ce qui a de plus normal, qui ne souhaite pas être seule tout simplement et qui refuse tout net que Doug aille compter fleurette ailleurs après six ans d’un amour sans nuage. Heureusement, elle peut compter sur Nick un professeur de science tout ce qu’il y a de plus sceptique, qui va l’aider à jouer les voyantes, et Jane, sa meilleure amie pour l’aider et surtout pour essayer de la ramener les pieds sur terre, souvent en pure perte puisque Sophie n’écoute guère leurs conseils et fonce tête baissée… dans les ennuis.
Le livre apporte un bon moment de lecture même s’il cumule les clichés : le petit ami égocentrique et calculateur, sa nouvelle petite amie une bimbo qui a oublié son cerveau, etc. : l’auteur aurait pu innover et proposer autre chose car c’est souvent ce que l’on reproche à ce genre littéraire, de tomber dans une certaine facilité.
Si vous aimez la chick lit ou que vous souhaitez démarrer une première lecture, je ne peux que vous conseiller celui-ci, car c’est un bon et vrai roman de fille avec de l’amour, de l’humour, de la vengeance, de l’amitié, bref la vie quoi.
Lu dans le cadre du challenge Le nez dans les livres et du challenge La plume au féminin
Ce titre m’avait aussi fait sourire mais je ne suis pas très chick Lit…. Merci pour ton billet !
La chick lit, on n’aime ou n’aime pas, certains sont vraiment mauvais, celui-là est vraiment sympa, si tu as l’occasion de l’emprunter, n’hésite pas !
Un livre qui doit être très agréable à lire en ce moment ! Merci pour le partage…
Nathalie
C’est tout à fait un livre d’été, à lire sur la plage, pour se divertir ! Je te le conseille Nathalie
il traîne chez moi depuis un peu plus d’un an, le titre qui m’avait attiré, également…
il va peut-être sortir bientôt, j’ai envie de lecture légère !
L’été, c’est à mon avis le bon moment pour le lire, histoire de se détendre et de s’amuser un peu !
Il a l’air sympa celui-ci.
C’est un bon roman de chick lit Lilibook, si tu aimes ce genre, il devrait te plaire autant qu’à moi !
[…] – Aurélie – Bianca […]
[…] Ne dites pas à ma mère que je suis voyante, elle me croit libraire à Vancouver d’Eileen Cook : On dit souvent que l’amour rend aveugle. Pas dans le cas de Sophie Kintock, qui, après une rupture, se découvre un don de double vue jusque-là insoupçonné ! Quand Doug la quitte après six ans de vie commune, Sophie, libraire à Vancouver, est prête à tout pour le récupérer. C’est pourquoi, lorsqu’elle apprend que sa nouvelle petite amie, la pulpeuse Melanie, s’intéresse au paranormal, elle a une idée aussi folle que diabolique : proposer à sa rivale une fausse consultation de voyance destinée à faire rompre les tourtereaux. L’été c’est aussi le moment de succomber à des lectures plus légères, celle-ci, désopilante à souhaite, vous fera passer un bon moment comme je vous le disais ici. […]