Le samedi, c’est bibli ! #12

Avant de boucler ma valise et prendre la direction du sud à la fin de la semaine prochaine, il me fallait bien rendre les livres empruntés et déjà lus. Pour mémoire, il s’agissait de Room d’Emma Donoghue et Le monde dans la main de Mikaël Ollivier, dont vous lirez mes chroniques lorsque je serais en vacances (quel teasing !!). Le but de ce dernier passage par la médiathèque était donc de rendre les livres, d’en emprunter pour les garçons mais je m’étais jurée de ne rien prendre pour moi. Of course, cette promesse ne fut pas tenue puisque je suis repartie avec 2 romans !

Tout d’abord Les brumes de Riverton de Kate Morton. J’avais lu et beaucoup aimé l’an dernier Le jardin des secrets alors lorsque j’ai vu ce roman à l’entrée de la médiathèque je n’ai pas pu résister, d’autant qu’il a l’air d’être dans la même veine avec des secrets et des allers/retours dans le passé.

Sujet : Eté 1924, dans la propriété de Riverton. L’étoile montante de la poésie anglaise, lord Robert Hunter, se donne la mort au bord d’un lac, lors d’une soirée. Dès lors, les soeurs Emmeline et Hannah Hartford, seuls témoins de ce drame, ne se sont plus adressé la parole. Selon la rumeur, l’une était sa fiancée et l’autre son amante… 1999. Une jeune réalisatrice décide de faire un film autour de ce scandale et s’adresse au dernier témoin vivant, Grace Bradley, à l’époque domestique au château. Grace s’est toujours efforcée d’oublier cette nuit-là. Mais les fantômes du passé ne demandent qu’à se réveiller…

A l’entrée de la médiathèque, il y a aussi les coups de coeur des bibliothécaires et la couverture du Code 1879 de Dan Waddell a immédiatement éveillé mon intérêt et la 4è de couverture m’a convaincue

Sujet : La journée de l’inspecteur Grant Foster commence mal : le cadavre d’un homme, que son assassin a amputé des deux mains avant de le poignarder, vient d’être découvert, abandonné dans un cimetière de l’ouest londonien. Le corps semble être tombé du ciel. Lors de l’autopsie, Grant Foster relève, taillée au couteau dans la peau de la victime, une inscription énigmatique. Le seul talent d’enquêteur de Foster ne suffira pas à venir à bout de ce mystère. L’indice laissé par le tueur va l’obliger à faire appel à Nigel Barnes, un généalogiste professionnel.
Alors que, peu de temps après, un deuxième corps est identifié, ils vont se retrouver plongés dans les bas-fonds du Londres victorien de la fin du XIXe siècle et parcourir les méandres obscurs d’une affaire criminelle survenue en 1879 et qui semble liée aux meurtres. Une course contre la montre s’engage : le psychopathe semble suivre un schéma qui, selon Nigel Barnes, va conduire à d’autres exécutions. Foster sait qu’il n’a que peu de temps avant que le tueur n’arrive au bout de son parcours sanglant et ne disparaisse à jamais.

Je sais, je n’ai pas été raisonnable sur ce coup-là, d’autant que j’ai déjà présélectionné 8 romans de ma PAL pour partir en vacances, comme d’hab’ je vois trop grand mais la peur du manque est plus forte ! En attendant de vous en reparler, je vous souhaite un bon week-end et de belles lectures.