Un soir à Paris, une jeune femme se fait voler son sac à main. Laurent le découvre le lendemain, abandonné dans la rue, tout près de sa librairie. S’il ne contient plus de papiers d’identité, il recèle encore une foule d’objets qui livrent autant d’indices sur leur propriétaire : photos, notes, flacon de parfum… Désireux de la retrouver, l’homme s’improvise détective. A mesure qu’il déchiffre le carnet rouge contenant les pensées secrètes de Laure, le jeu de piste se mue en une quête amoureuse qui va bouleverser leurs vies.
Laure, après un dîner avec des amis, rentre chez elle lorsqu’elle se fait agresser et voler son sac, au pied même de son immeuble. Sans clé et sans argent, elle se dirige vers l’hôtel en face de chez elle et convainc le portier de nuit de la laisser dormir dans une chambre avec la promesse de payer le lendemain. Elle a l’air honnête et parvient donc à ses fins.
Seulement le lendemain lorsque à midi passé, elle n’est toujours pas descendue, les employés inquiets, ouvrent la porte et la découvre inanimée. Elle a sombré dans le comas et est alors emmenée en urgence à l’hôpital.
Au même moment, Laurent, libraire, trouve posé sur une poubelle un sac à mains violet. Pensant qu’il a été volé, il le prend afin de le déposer au commissariat de police le plus proche mais devant la file d’attente décourageante, il remet sa déposition à plus tard et le ramène chez lui. Le soir même, il le vide et tombe sur un carnet où sont consignées les pensées de sa propriétaire.
Pris d’une irrésistible curiosité devant le contenu du sac et du carnet, il se met à le parcourir et tombe sous le charme de sa propriétaire. A partir de ce moment-là, il décide de se mettre en quête de l’inconnue.
C’est une fois de plus, suite à un très joli billet de Claire, que j’ai eu envie de lire La femme au carnet rouge et j’espère qu’après la lecture de cette chronique, vous aurez envie d’en faire autant.
Antoine Laurain nous livre ici une belle comédie romantique pleine de délicatesse et que l’on lit avec un bonheur jubilatoire. Ces deux vies qui se croisent par le biais d’un sac à main forment une histoire légère, pétillante et passionnante.
Tout comme dans La blancheur qu’on croyait éternelle de Virginie Carton, les deux protagonistes vivent dans une certaine nostalgie, préfèrent l’écrit au virtuel, fuient les Smartphones, les réseaux sociaux et les sites de rencontre.
Un roman charmant, bien rythmé grâce à des chapitres courts, et notre intérêt est sans cesse renouvelé grâce à l’enquête de Laurent, sur la piste de Laure. Va-t-il se montrer fin limier et retrouver Laure ? Il vous faudra lire ce joli récit pour le savoir. Une histoire qui fait du bien et que je vous recommande vivement.
Je ne suis pas fan des comédies romantiques mais les précédents romans d’Antoine Laurain m’ont plu. 3Le Chapeau de Mitterrand » est en cours d’adaptation pour la télé.
Ce titre m’a donné envie de découvrir les autres romans d’Antoine Laurain !
Je note, ça a l’air charmant !
Tu as trouvé le mot juste Eliza, il est en effet charmant !
Celui-ci se dévore…
Exactement !
Déjà noté 🙂 Ton billet confirme mon intérêt pour ce titre !
Je suis sûre que tu aimeras autant que Claire et moi !
J’ai envie de le lire! Je le note moi aussi!
Chic !! J’espère que tu l’aimeras autant que moi !
Je viens de le finir, c’est un livre léger parfait pour les vacances! 😉
Je ne connaissais pas du tout mais l’histoire me plaît bien. Je note, merci ! 🙂
J’espère que tu l’aimeras autant que moi Laura !
Un roman qui aurait bien dans mes valises !
Il devrait te plaire en effet !
Je l’ai emprunté à la bibliothèque, je le regarde depuis deux bonnes semaines et je n’arrive pas encore à y aller…
Je l’ai lu presque tout de suite pour ma part, fonce tu ne devrais pas être déçue 😉
Ce roman semble être une jolie histoire bien mignonne 🙂 Je note!
C’est une très belle histoire, j’ai vraiment beaucoup aimé !
Ce roman a l’air sympa comme tout et d’autant plus que j’aime en général les chapitres courts. Je note si je le croise un jour.
Merci pour ces envies de lectures! 😉
J’espère que tu auras l’occasion de le lire Fanny, c’est un très joli roman 🙂
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