Victime d’une effroyable malédiction invoquée par sa mère, Eco quitte le foyer natal et se met en chemin… Accompagnée de ses quatre compagnons de chiffon – Diogène, Epictète, Esope et Socrate, elle est bien décidée à aller querir de l’aide auprès de la légendaire Princesse des Nuages. Son souhait : conjurer ce mauvais sort. Mais le chemin sera long et la forêt qu’elle devra traverser, sombre et semée d’embuches. On raconte qu’elle serait le territoire de la mystérieuse et effrayante.
Il était une fois une petite fille prénommée Eco. Victime d’une malédiction lancée par sa propre mère pour avoir offert les poupées du ministre à une mendiante, Eco quitte son foyer avec pour seuls compagnons sa solitude et ses quatre poupées de chiffon : Diogène, Épictète, Socrate et Ésope qu’elle a fabriquées et au cœur desquelles elle a enfermé un bulbe de cactus, un cocon de ver à soie, un morceau de silex et une petite noix, offerts par la mendiante, en réalité la princesse des nuages.
Notre petite Eco continue de grandir, grandir, son corps change, se métamorphose en celui d’une jeune fille, ce qu’elle n’accepte pas et pour faire cesser cette évolution honnie, elle doit retrouver la princesse des nuages et pour cela traverser la clairière qui s’étend à perte de vue.
Une clairière où nulle âme ne vit et où elle va croiser le chemin de la bête sans visage et connaître ses premiers émois amoureux.
Suite directe du tome 1 La malédiction des Shackelbott, ce second tome est d’aussi bonne facture. L’univers onirique de Jérémie Almanza est toujours aussi sombre et inquiétant mais aussi superbe il faut bien le dire. Le travail qu’il fait autour de la couleur est vraiment magistral.
Comme pour le précédent opus, Guillaume Bianco met, en outre le difficile passage de l’enfance à l’adolescence, l’amitié au cœur de l’album et Eco devra faire des choix pour mener à bien sa quête, et c’est grâce à Diogène, Épictète, Socrate et Ésope, qu’elle pourra peut-être retrouver la princesse des nuages.
Vivement le tome 3 !
Rien que la couverture me charme, et me rappelle un grand plaisir de lecture : Coeur de pierre…
Oh oui j’ai adoré Coeur de pierre !!
Je suis séduite également par la couverture. Si je la croise à la biblio, je la feuilleterai.
L’objet est très beau !
« t » il s’est perdu !
J’avais bien aimé la trilogie. J’espère que tu appréciera la fin! 😉
Je l’espère aussi !
C’est une série que je veux découvrir et j’espère la trouver en médiathèque ! 🙂
J’espère que tu en auras l’occasion Céline !