Bye Bye septembre depuis près d’une semaine déjà, le temps passe à une vitesse, on se retrouve donc aujourd’hui pour dresser le bilan de nos pavés lus en septembre, la moisson est plutôt maigre mais nous sommes quelques-uns à tenir bon le cap, c’est déjà pas si mal !
Nous comptabilisons donc 16 livres lus, un grand merci aux fidèles et aux petits nouveaux. Un seul coup de coeur, des déceptions, mais surtout de belles lectures sont au programme.
Au menu de ce mois de rentrée littéraire, des polarss et de la jeunesse essentiellement, comme toujours d’ailleurs. Pour connaitre le récapitulatif mois par mois et par participants, je vous invite à aller ici.
Maintenant place à tous les livres lus au cours de ce mois de septembre, nos avis vous inciteront peut-être à les sortir de votre PAL :
- Ainsi fleurit le mal de Julia Heaberlin (560 pages)
- Black-Out de Brian Selznick (640 pages)
- Carter contre le diable de Glen David Gold (762 pages)
- Ce que cache ton nom de Clara Sanchez (480 pages)
- Harry Potter des romans à l’écran de Bob McCabe (531 pages)
- Inhumaine de Patricia Cornwell (595 pages)
- Le dernier lapon de Olivier Truc (571 pages)
- Le diable sur les épaules de Christian Carayon (540 pages)
- Le temps est assassin de Michel Bussi (532 pages)
- Les maraudeurs de Tom Cooper (416 pages)
- Miss Peregrine et les Enfants Particuliers de Ransom Riggs (431 pages)
- N’éteins pas la lumière de Bernard Minier (702 pages)
- Nora Webster de Colm Tóibín (410 pages)
- Quand soufflera le vent de l’aube de Emma Fraser (544 pages)
- San Miguel de T.C. Boyle (672p)
- Zone, chronique d’un dernier jour de Steeve Hourdé (508 pages)
Bien entendu vous pouvez encore nous rejoindre puisque ce challenge est illimité, vous pouvez vous inscrire à la suite de ce billet ou ici ! Et si j’ai oublié une de vos participations, n’hésitez pas à me le signaler en commentaire.
Merci Bianca de toujours nous permettre de faire de belles découvertes 🙂
Merci à toi pour ta fidélité Julie
😍
Ah, je me dis toujours que j’aurais dû prendre le train quand il était encore à quai !
Mais le train est toujours à quai, tu prends le train quand tu veux 😉
Oui, mais j’aurai un bilan pitoyable si je commence maintenant ! Et ça, c’est contraire à ma politique de chalengeuse 😆