Iris a 36 ans et des idées noires plein la tête : ses parents viennent de disparaître dans un tragique accident et, en une seconde, toute sa vie a basculé. Par un après-midi froid et gris, elle songe même à en finir. Son regard se pose alors sur la devanture d’un café auquel elle n’avait jamais prêté attention auparavant. Son nom étrange, Le plus bel endroit du monde est ici, éveille sa curiosité. L’intérieur est plus intrigant encore, comme sorti d’un rêve. Tout y semble magique, à commencer par Luca, bel Italien porteur d’une promesse : le bonheur.
A 36 ans, Iris est toujours célibataire, a un boulot plutôt routinier comme standardiste pour une compagnie d’assurance et vit toujours chez ses parents. Mais cela ne la gêne pas vraiment jusqu’au jour où ses parents disparaissent brutalement dans un accident de voiture.
Après leur décès, la jeune femme se rend compte que sa vie est vide et sombre dans une sévère déprime. Par un froid après-midi, elle songe même à se suicider et c’est alors qu’elle tombe sur un café au drôle de nom qu’elle n’avait jamais vu auparavant : Le plus bel endroit du monde est ici.
En entrant, elle est accueillie par le patron, un ancien magicien, qui l’invite à rejoindre la table de Luca, un bel italien, ex restaurateur, et l’un des fidèles du lieu. Cette rencontre va changer sa vie…
Le plus bel endroit du monde est ici a rencontré un joli succès lors de sa parution, je n’étais pas intéressée plus que ça mais lorsque je suis tombée dessus pour moins d’un euro, je n’ai pas hésité à le prendre et l’ai aussitôt lu.
Ce court récit qui lorgne vers le développement personnel se révèle plutôt agréable à lire même si il ne restera pas dans ma mémoire ni dans mes annales. Saupoudré d’une touche de fantastique, ce roman met en scène Iris, une héroïne plutôt agaçante qui mérite d’être heureuse certes mais qu’on n’arrive finalement pas à trouver attachante.
Le titre était alléchant, le résumé aussi, et je n’ai pas souvent l’occasion de lire de la littérature espagnole, alors, j’ai sauté sur l’occasion et si l’histoire est charmante, elle est surtout convenue et avec relativement peu de suspens.
En effet, peu de surprises dans ce livre, tout est finalement très prévisible. Je me suis malgré tout laissée emportée par cette histoire et même si je devinais la suite à l’avance, le charme a opéré malgré tout grâce à cette pointe de magie qui la traverse et qui rend ce roman un peu différent des autres.
Comme je n’attendais rien de cette lecture, je ne suis pas déçue mais pas non plus enthousiaste, c’est une petite histoire sympathique qui donne le sourire mais qui aurait pu avoir plus de force notamment grâce aux thèmes abordés mais survolés qui auraient pu être davantage creusés : le deuil, le démarrage d’une nouvelle vie, l’amour, l’ennui au travail…
Vous l’aurez compris, ce livre n’est pas d’un grand suspens, les événements s’enchaînent sans temps morts mais aussi sans surprise, reste une réflexion intéressante sur le sens que l’on donne à vie qui rend, le tournant qu’on peut lui donner après un deuil.
Je n’ai pas du tout accroché à l’un des autres romans de l’auteur. Du coup, même s’il me fait un peu envie, je ne pense pas réitérer l’expérience !
Je te comprends, perso j’ai vraiment du mal avec la littérature espagnole !
[…] curieuse, j’espère que cette lecture sera une bonne surprise. Un roman espagnol maintenant : Le plus bel endroit du monde est ici de Francesc Miralles et Care Santos dont vous avez déjà pu lire mon avis, une lecture […]
Je me souviens de ce livre que j’ai lu un dimanche après-midi d’une traite. Je l’avais trouvé touchant. Contrairement aux quelques avis que je lis, j’avais beaucoup aimé…
Peut-être est-ce l’ambiance qui m’avait charmée, ou cette découverte mystérieuse de ce lieu… Je n’attendais pas grand chose de ma lecture. Je garde un bon souvenir de ce moment.
Ce ne fut pas une mauvaise lecture mais je m’attendais à mieux au vu des avis élogieux que j’avais lus
[…] histoire sympathique mais bien trop prévisible maintenant avec Le plus bel endroit du monde est ici de Francesc Miralles & Care Santos qui ne me restera pas longtemps en mémoire. Un classique et […]