En ce dernier jour de novembre, on se retrouve pour mon traditionnel bilan de lecture. Au cours du onzième mois de l’année qui s’achève ce soir, j’ai lu seize titres (+ 3 albums pour les tout petits) : 12 services de presse, 1 emprunt et 6 achats.
Des romans policiers, historiques ou contemporains, de la jeunesse et des graphiques sont venus ponctuer ces quatre dernières semaines avec de plutôt très belles lectures à la clé et même des coups de coeur.
La plupart de ces lectures a déjà fait l’objet d’une chronique, les autres le seront dans les prochains jours. Comme d’habitude, j’ai pioché allègrement dans ma pal de novembre, preuve que concocter ces petites piles à lire me conviennent bien même si je m’en écarte aussi.
On commence par les policiers et mes retrouvailles avec Ben et Lizzie Ross à l’occasion de ma lecture de L’orpheline de Salisbury d’Ann Granger, une série que j’aime beaucoup et que je vous conseille si vous aimez les polars historiques. Autre bonne pioche : Le mystère de la main rouge d’Henri Loevenbruck qui m’a permis de renouer avec Gabriel Joly et la révolution française. Et dans un registre contemporain : Une certaine idée du paradis d’Elisabeth Segard, un chouette cosy mystery à la française.
On continue avec les romans historiques et tout d’abord La femme qui en savait trop de Marie Benedict qui dresse le portrait de la belle et intelligente Heddy Lamarr. Changement d’époque avec Les sorcières de Pendle de Stacey Halls pour lequel j’ai eu un coup de coeur, j’ai été totalement happée par cette histoire que j’ai dévoré. Une lecture très addictive aussi que celle du dernier roman de Ken Follett : Le crépuscule et l’aube, roman fleuve de près de 900 pages qui m’a tenue en haleine de la première à la dernière page.
Des titres plus contemporains pour poursuivre avec La mémoire des vignes d’Ann Mah, une histoire à double temporalité tout comme La maison de Charlotte de Françoise Bourdon qui nous ramène aux heures sombres de l’Occupation. Et une lecture plus légère : La cerise sur le gâteau d’Aurélie Valognes.
Place à la jeunesse avec Le secret de Léonard de Mireille Calmel qui nous entraîne à la cour de François Ier avec une histoire pleine de secrets et d’aventures. J’ai enfin découvert un grand classique qui me faisait envie depuis des années et que j’ai adoré : Anne de Green Gables de Lucy Maud Montgomery. Autre bonne surprise : La cour des Ténèbres, le premier tome de Vampyria de Victor Dixen que j’ai adoré, une histoire addictive et un univers qu’il me tarde de retrouver.
Trois albums ont ponctué le mois de novembre et ce sont trois coups de coeur : Au bois dormant de Karen Jameson et Marc Boutavant, Regarde ce que j’ai trouvé dans les bois de Moira Butterfield et Regarde dans la jungle d’Emeri Hayashi.
Et on termine par des graphiques et mon tout premier comic : Mason Mooney enquêteur paranormal certifié de Saeaerra Miller, une histoire drôle et grinçante, haute en couleur. J’ai retrouvé Soledad Bravi et Pascale Frey avec Avez-vous lu les classiques tome 3, une bonne façon de (re)découvrir les classiques français et étrangers ! Beaucoup d’émotion à la lecture d’A la vie de L’homme étoilé qui raconte le quotidien de cet infirmier en soins palliatifs, une lecture dont je suis ressortie bouleversée. Et j’ai retrouvé avec plaisir Reine d’Egypte de Chie Inudoh.
Le Ann Granger, je l’avais lu au moment du mois Anglais, j’avais bien aimé. Les sorcières de Pendle me tentent de plus en plus…
Un beau bilan pour toi aussi 😉
J’espère que tu auras l’occasion de lire Les sorcières de Pendle !
très joli bilan!! bravo!!!
merci beaucoup 🙂