Jenny Colgan est une romancière britannique auteur de nombreuses comédies romantiques, et d’autant de délicieuses recettes de cuisine. Après La Petite Boulangerie du bout du monde (2015), Jenny Colgan a publié Une saison à la petite boulangerie (2016), puis Noël à la petite boulangerie (2017) ; le dyptique composé de Rendez-vous au Cupkake Café (2017) et Le Cupcake Café sous la neige (2018) ; puis celui formé par Une saison au bord de l’eau (2018) et Une rencontre au bord l’eau (2019). Son dernier roman, La Charmante Librairie des jours heureux, paraît en 2020. Tous ses ouvrages sont publiés aux éditions Prisma et repris chez Pocket.
En s’installant sur l’île de Mure, au nord de l’Écosse, Flora et Joel ont tout laissé derrière eux. La grisaille, le stress londonien…
Mais pourquoi cette bougeotte chez Joel ? Pas une semaine sans qu’il prévoie un aller-retour à New York… Regretterait-il son choix ?
Alors que Flora s’investit de plus en plus dans son café, Saif, le médecin réfugié de l’île, va recevoir une nouvelle incroyable qui bouleversera sa vie à jamais.
Avec son charme magique et sa délicieuse cuisine, Flora pourra-t-elle trouver le bonheur et faire celui des autres ?
L’été venu, j’aime beaucoup me plonger dans les romans de Jenny Colgan que je trouve très dépaysants. Ces dernières années, j’avais beaucoup aimé La petite boulangerie du bout du monde et Le cupcake café.
Et l’été dernier, j’avais découvert Une saison au bord de l’eau qui m’avait séduite, j’étais donc ravie de retrouver Mure et ses habitants avec Une saison au bord de l’eau.
J’ai retrouvé dans ce roman tout ce qui fait le sel de ses autres récits : une île sur laquelle on a envie de débarquer, des habitants attachants dont on aurait envie de se faire des amis, une jolie histoire de reconstruction après un deuil, une love story et de la gourmandise !
Une mécanique connue, sans grande surprise, qui marche formidablement bien sauf qu’ici je me suis ennuyée car il ne se passe pas grand chose et le peu qui s’y passe c’est drama sur drama, et trop de drama et bien ça tue le drama ! Heureusement que les personnages sont attachants sinon je l’aurai probablement abandonné.
Trop de longueurs, de redites et c’est bien dommage car comme toujours, l’autrice aborde avec tact des sujets plus graves comme le deuil, l’homosexualité, l’abandon, la maladie, le quotidien des agriculteurs et leur difficulté à vivre de leur production, l’écologie…
Une histoire fraîche et romantique qui plaira aux lecteurs.rices assidu.e.s de Jenny Colgan. Elle ne sort certes pas des sentiers battus si on la compare à ses précédents romans mais j’aime me plonger dans ces romans doudous pleins de charme l’été venu, je serai au rendez-vous du dernier tome, en espérant être plus séduite !
Et vous, vous aimez Jenny Colgan ?
dommage! J’ai bien aimé La petite boulangerie!
Je préfère la trilogie de la petite boulangerie !
Oui, comme on dit en Belgique « trop is te veel » :p
j’adore l’expression !
Slogan contre la « rage taxatoire » qui avait eu lieu dans les années 80… Putain, on était taxé !
[…] une histoire bien dans l’air du temps que j’ai apprécié. Déception en revanche pour Une rencontre au bord de l’eau de Jenny Colgan que j’ai trouvé bien longuet […]