Anne Jacobs écrit sous pseudonyme de nombreux romans historiques et sagas exotiques, mais c’est sa série La Villa aux étoffes qui la propulse au rang d’auteur best-seller, aussi bien en Allemagne qu’à l’international. Composée de La Villa aux étoffes (2020), des Filles de la villa aux étoffes (2020), de L’Héritage de la villa aux étoffes (2021), de Retour à la villa aux étoffes (2021) et de Tempête sur la villa aux étoffes (2022), cette saga, publiée en France aux éditions Charleston, a déjà conquis près de 3 millions de lecteurs.

Un vent de bonheur souffle sur la villa aux étoffes : le troisième enfant de Marie et Paul Melzer vient de fêter ses quatre ans et le couple file le parfait amour.
Mais la crise économique qui se répand en Europe met bientôt en péril l’usine textile familiale. Croulant sous des dettes qu’il ne peut rembourser, Paul est confronté à un choix déchirant.
Afin de préserver le sort de la famille, mais aussi des ouvriers et des domestiques, doit-il se résoudre à vendre la demeure qui abrite les joies et les peines des Melzer depuis tant de générations ?
Au coeur du tumulte des années 1930, passions individuelles et questions sociales se mêlent dans ce nouveau tome, Retour à villa aux étoffes.
Prenant de bout en bout, ce quatrième opus est tout aussi réussi que les précédents, et cette saga familiale digne de Downton Abbey, ne me déçoit jamais.
Quel plaisir de retrouver les maîtres, Paul, Marie, Kitty, Tilly, entre autres, mais aussi Liesel, Bruni, Humert et les autres et les voir évoluer de tome en tome.
Cette fois-ci, l’autrice met davantage en avant la jeune génération et c’était très chouette de voir quels destins ils vont embrasser.
Un manoir et une famille puissante dans la tourmente de la Grande Dépression : pourront-ils faire face ?
L’Allemagne est ruinée par le traité de Versailles, les usines ferment, la famine est là, Hitler et les siens attendent tapis dans l’ombre et promettent que la race aryenne reviendra sur le devant de la scène.
L’autrice a vraiment bien travaillé sa trame historique et nous révèle le quotidien des allemands frappé de plein fouet par le chômage, l’inflation et la dévaluation de leur monnaie et la montée du nazisme.
Anne Jacobs entremêle la petite et la grande histoire et c’est ce que j’aime beaucoup ici, d’autant plus que les personnages sont attachants et qu’on a plaisir à suivre leur évolution de décennies en décennies.
Je serai bien évidemment au rendez-vous du tome 5 et je tremble d’ores et déjà pour les Melzer, farouchement anti-nazis !
Si vous aimez les sagas familiales, je vous recommande vivement La villa aux étoffes, vous ne serez pas déçus !
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