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Posts Tagged ‘annie jay’

Annie Jay est une autrice de romans historiques. Elle a reçu de nombreux prix et trois de ses romans sont recommandés par l’Éducation nationale. Marine Gosselin a réalisé les couvertures de nombreux romans et albums, dont dernièrement celles de la série Les Orphelins de métal chez Lumen.

Après avoir échappé au dangereux Melchior, roi de la cour des miracles, Arno et Nostradamus sont de retour au Palais des Tournelles.

Mais les astrologues Pastier et Moretti sont plus jaloux que jamais de l’ascendant du devin sur la reine, dont les prédictions sont meilleures que les leurs, entrent en lice contre lui de manière déloyale.

Ils chargent Baptiste, un ancien truand devenu maître d’armes, de lui régler son compte avec l’aide de Pattes d’ours… Heureusement, Arno est toujours sur ses gardes et il a l’oreille fine.

Avec ses amis Lucas, Léonor et Pernelle, devenue experte en filature, ils vont tout faire pour protéger Nostradamus ! 

La fiole d’or est le troisième opus de la série Arno le valet de Nostradamus écrite par Annie Jay pour les enfants. On reprend l’histoire où on l’avait laissé et nous retrouvons les différents protagonistes de cette saga : Arno, le nouveau valet de Nostradamus, un enfant plein de ressources, qui connaît Paris comme sa poche. Son amie Pernelle, fille de voleurs, qui vit dans la Cour des Miracles.

Nostradamus, le célèbre médecin et astrologue de la Renaissance, dont les Prophéties font encore tant parler. Et Lucas, valet du roi, qui va prêter main-forte à Nostradamus.

L’histoire, mêle personnes ayant réellement existé (Nostradamus, Catherine de Médicis, le roi Henri II…) et personnages de papier, est menée tambour battant, idéale pour les enfants dès 8 / 9 ans qui trouveront dans cette intrigue de l’aventure, du mystère et des secrets, le tout dans le Paris de la Renaissance. Autant de chouettes ingrédients pour passer un bon moment de lecture.

Le contexte historique est de qualité, le vocabulaire est riche et emprunte aussi à l’époque quelques mots, il y a suffisamment de rebondissements, de courses poursuites, de bagarres pour que les lecteurs ne s’ennuient pas une seconde et apprennent une foule de choses sans s’en rendre compte.

Albin Michel a fait un chouette travail éditorial : l’objet livre est très joli, la police de caractère est bien ronde, offrant un vrai confort de lecture et les enfants ont à leur disposition un super marque-page : la silhouette découpée d’un des protagonistes de la saga.

Cerise sur le gâteau : les nombreuses illustrations en couleurs de Marine Gosselin, vraiment très jolies, sont un vrai plus car elles permettent une aération du texte, rendant la lecture plus aisée, notamment pour ceux qui ont plus de difficultés à lire.

Vous l’aurez compris, un troisième tome très réussi tant sur le fond que sur la forme, je retrouverai avec grand plaisir les protagonistes de cette série dans la suite de leurs aventures déjà dans ma PAL !

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Annie Jay est une autrice de romans historiques. Elle a reçu de nombreux prix et trois de ses romans sont recommandés par l’Éducation nationale. Marine Gosselin a réalisé les couvertures de nombreux romans et albums, dont dernièrement celles de la série Les Orphelins de métal chez Lumen.

Alors qu’il commence à s’habituer à la compagnie de son nouveau maître, Arno se fait enlever. Son agresseur le ramène de force à la Cour des Miracles, devant un roi des voleurs furieux.

Face à Melchior, pour sauver sa peau, le garçon n’a d’autre choix que de mentir effrontément. Il affirme n’avoir fréquenté Nostradamus et le palais des Tournelles que dans une optique de repérage, afin de mieux les piller ensuite…

Cette déclaration séduit Melchior, qui élabore aussitôt un plan pour dérober les richesses royales. Cependant, de son côté, le célèbre médecin s’inquiète déjà de l’absence de son valet. Il est grand temps pour Arno de choisir son camp…

Arno le valet de Nostradamus est une série de romans historiques pour les enfants comprenant à ce jour six volumes.

Bien écrit et documenté, il mêle personnages de papier et personnages ayant réellement existé et plonge ses jeunes lecteurs à la cour du roi Henri II et de la reine Catherine.

Avec La cour des miracles, nous retrouvons les différents protagonistes de cette saga : Arno, le nouveau valet de Nostradamus, un enfant plein de ressources, qui connaît Paris comme sa poche. Son amie Pernelle, fille de voleurs, qui vit dans la Cour des Miracles.

Nostradamus, le célèbre médecin et astrologue de la Renaissance, dont les Prophéties font encore tant parler. Et Lucas, valet du roi, qui va prêter main-forte à Nostradamus.

L’histoire, menée tambour battant, est idéale pour les enfants dès 8 / 9 ans qui trouveront dans cette intrigue de l’aventure, du mystère et des secrets, le tout dans le Paris de la Renaissance et au sein de même de la cour des miracles, le célèbre repère de brigands. Autant de chouettes ingrédients pour passer un bon moment de lecture.

Le contexte historique est de qualité, le vocabulaire est riche et emprunte aussi à l’époque quelques mots, il y a suffisamment de rebondissements, de courses poursuites, de bagarres pour que les lecteurs ne s’ennuient pas une seconde et apprennent une foule de choses sans s’en rendre compte.

Albin Michel a fait un chouette travail éditorial : l’objet livre est très joli, la police de caractère est bien ronde, offrant un vrai confort de lecture et les enfants ont à leur disposition un super marque-page : la silhouette découpée d’Arno.

Cerise sur le gâteau : les nombreuses illustrations en couleurs de Marine Gosselin, vraiment très jolies, sont un vrai plus car elles permettent une aération du texte, rendant la lecture plus aisée, notamment pour ceux qui ont plus de difficultés à lire.

Vous l’aurez compris, un second tome très réussi tant sur le fond que sur la forme, je retrouverai avec grand plaisir les protagonistes de cette série dans la suite de leurs aventures déjà dans ma PAL !

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Annie Jay est une autrice de romans historiques. Elle a reçu de nombreux prix et trois de ses romans sont recommandés par l’Éducation nationale. Marine Gosselin a réalisé les couvertures de nombreux romans et albums, dont dernièrement celles de la série Les Orphelins de métal chez Lumen.

Paris, 15 août 1555. La première fois qu’Arno s’approche de Nostradamus, c’est pour le détrousser. Mais le médecin provençal ne se laisse pas faire, et, contre toute attente, l’engage comme valet.

Pour Arno, le petit voleur orphelin recueilli par le chef de la cour des Miracles, une nouvelle vie commence alors. Il emménage avec son maître au palais royal des Tournelles car Nostradamus a été mandé par la reine Catherine de Médecis pour établir les horoscopes royaux.

Arno découvre l’existence de mystérieuses prophéties dont l’une d’elles semble le concerner mais aussi que les deux autres astrologues de la cour, Pastier et Moretti, ont bien l’intention de faire chasser les nouveaux venus…

Arno le valet de Nostradamus est une série de romans historiques pour les enfants comprenant à ce jour six volumes.

Bien écrit et documenté, il mêle personnages de papier et personnages ayant réellement existé et plonge ses jeunes lecteurs à la cour du roi Henri II et de la reine Catherine.

Avec La prophétie, nous faisons la connaissance de notre jeune héros Arno, un enfant plein de ressources, qui connaît Paris comme sa poche.

Reconnaissant envers son nouveau maître, il s’est juré de ne plus jamais voler et compte bien déjouer tous les plans de ses ennemis afin que Nostradamus brille à la cour.

L’histoire, menée tambour battant, est idéale pour les enfants dès 8 / 9 ans qui trouveront dans cette intrigue de l’aventure, du mystère et des secrets, le tout dans le Paris de la Renaissance. Autant de chouettes ingrédients pour passer un bon moment de lecture.

Le contexte historique est de qualité, le vocabulaire est riche et il y a suffisamment de rebondissements pour que les lecteurs ne s’ennuient pas une seconde et apprennent une foule de choses sans s’en rendre compte.

Albin Michel a fait un chouette travail éditorial : l’objet livre est très joli, la police de caractère est bien ronde, offrant un vrai confort de lecture et les enfants ont à leur disposition un super marque-page : la silhouette découpée d’Arno.

Cerise sur le gâteau : les nombreuses illustrations en couleurs de Marine Gosselin, vraiment très jolies, sont un vrai plus car elles permettent une aération du texte, rendant la lecture plus aisée, notamment pour ceux qui ont plus de difficultés à lire.

Vous l’aurez compris, un premier tome très réussi tant sur le fond que sur la forme, je retrouverai avec grand plaisir les protagonistes de cette série dans la suite de leurs aventures déjà dans ma PAL !

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Alors que la famille royale et toute la cour sont obligées de fuir Versailles pour éviter l’épidémie qui y règne depuis la mort du roi Louis XV, la princesse Elisabeth et son amie Angélique de Mackau sont bien décidées à retrouver le précieux tableau La Dame à la Rose, disparu depuis plus de 30 ans. C’est donc au château de Choisy qu’elles continueront leur enquête, toujours aidées de leur fidèle ami, le page Théo. Mais elles doivent faire face à un autre défi… comment prouver l’innocence du petit valet d’Elisabeth, Colin, accusé à tort de vol au sein du château ? heart_4auteur-editeur-pageselisabeth-princesse-a-versailles-tome-2-le-cadeau-de-la-reine-annie-jay

10 mai 1774, Louis XV, qu’on appelait quelques années encore auparavant Le bien-aimé, vient de s’éteindre à Versailles. Louis XVI monte le jour même sur le trône mais il doit délaisser le château car son grand-père est mort de la variole et les médecins craignent une épidémie.

La famille royale et pas moins de 500 courtisans prennent le chemin du château de Choisy, Elisabeth est bien sûr du nombre, accompagnée de Madame de Marsan, gouvernante des enfants de France et de Madame de Mackau, la sous-gouvernante et mère de sa meilleure amie Angélique.

Les deux enfants sont toujours décidées à venir en aide au vicomte Théo, le page d’Elisabeth, et elles sont en quête des deux autres automates qui les mèneront au tableau La dame à la rose, disparu depuis 30 ans, et propriété de la famille de Théo.

Alors qu’Elisabeth et Angélique font une promenade en calèche avec la toute nouvelle reine de France, Marie-Antoinette, leur calèche manque de renverser une paysanne et son fils Colin.

Emue devant le dénuement dans lequel ils vivent, la reine propose à Colin de devenir valet d’Elisabeth, ce qui lui permettra d’être nourri, logé et blanchi dans les communs du château.

Trop heureux, le garçon accepte et ne sait pas comment faire plaisir à sa nouvelle maîtresse pour la remercier de sa générosité. Lorsqu’il apprend qu’elle cherche Le violoniste, l’un des automates manquants, il se met à fouiller toutes les chambres et se retrouve bientôt accusé de vol… une accusation qui peut lui valoir le gibet.

J’avais découvert avec beaucoup de plaisir le mois dernier le premier tome de cette série consacrée à Elisabeth de France, la plus jeune sœur de Louis XVI, Le secret de l’automate, je me suis donc précipitée sur le second opus Le cadeau de la reine qui fait suite.

Au risque de me répéter, je fonds devant cette série toute mignonne destinée aux petites filles dès 8 ans. Quel plaisir de parcourir ces petits romans joliment illustrés par Ariane Delrieu et si bien écrits par Annie Jay.

Quant aux personnages, ils sont terriblement attachants, surtout lorsqu’ils fuient l’étiquette de la cour qui devait peser bien lourd sur les épaules des enfants et des jeunes gens.

Dans cette suite directe, Annie Jay change de décor et transporte ses personnages du château de Versailles à celui de Choisy. La suite de l’intrigue est bien développée et j’ai bien aimé rencontrer au fil de ma lecture les frères d’Elisabeth, le nouveau monarque Louis XVI, le comte de Provence et le comte d’Anjou, dont l’auteure nous dépeint les traits de caractère assez justement.

Que vous dire de plus que j’ai hâte que le tome 3 arrive à la médiathèque pour découvrir la suite des aventures d’Elisabeth, Angélique, Théo et Colin, rien si ce n’est de vous inviter à découvrir à votre tour cette série fraiche et intelligente, qui donnera le goût de l’histoire à ses jeunes lectrices.

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La gouvernante de la princesse Elisabeth a bien du mal à la faire obéir. Avec l accord du roi de France, qui n est autre que le grand-père d Elisabeth, elle va engager une sous-gouvernante, madame de Mackau, qui aura pour mission de la « mâter ». Mais Elisabeth n est pas décidée à se laisser faire… Heureusement, elle va vite devenir inséparable d Angélique, la fille de madame de Mackau. Ensemble, Elisabeth et Angélique vont être amenées à résoudre une énigme bien mystérieuse… à qui est adressé le billet dissimulé dans le précieux automate d Elisabeth ? Comment retrouver « La Dame à la Rose », le précieux tableau qui a disparu depuis plus de 30 ans ? Pour les aider, elles pourront compter sur Théo, le jeune page…heart_4auteur-editeur-pageselisabeth-princesse-a-versailles-tome-1-le-secret-de-l-automate-annie-jay

La princesse Élisabeth est tout juste âgée de 10 ans en cette année 1774. Elle vit à Versailles près de Grand-Papa roi (Louis XV) et de ses frères et sœurs. Orpheline depuis ses un an, Elisabeth donne du fil à retordre à Madame de Marsan, la gouvernante des enfants de France.

Impuissante face au caractère rebelle de l’enfant qui refuse toute autorité et contrainte, elle la confie à Madame de Mackau, réputée pour ses qualités éducatives, ce qui lui permettra de se consacrer exclusivement à Madame Clothilde, la sœur aînée d’Elisabeth qui a tout juste 14 ans, prépare déjà son mariage avec le duc de Piémont-Savoie.

Loin d’utiliser la force, la sous gouvernante conquiert Élisabeth, et l’amène au fur et à mesure avec patience, fermeté et doigté à lui faire reprendre le chemin des études. Sa propre fille Angélique devient vite la meilleure amie de la jeune princesse qui se sent fort esseulée à Versailles, entourée de domestiques et d’adultes qui n’en ont cure d’elle.

Toutes deux vont malgré elles découvrir un message secret dans une poupée automate. Ce billet concerne Théophile, un palefrenier charmant dont la famille a subi des revers de fortune. Et peut-être aussi une grave injustice…

Cela fait quelques temps déjà que je souhaitais découvrir la plume d’Annie Jay, j’ai son tout premier roman dans ma pal mais j’ai finalement jeté mon dévolu sur sa dernière série actuellement en cours, quatre tomes sont déjà parus, Elisabeth princesse à Versailles qui a pour héroïne la princesse Elisabeth, jeune sœur de Louis XVI qui va connaître le même destin que son illustre frère.

Elle est ici encore une petite fille et sa première aventure permet aux jeunes lecteurs et lectrices de plonger au cœur du XVIIIè siècle, au moment où Louis XV tire sa révérence.

Avec Elisabeth, nous sommes entrainés au sein du château de Versailles, de ses jardins et de sa forêt car la demoiselle a la bougeotte, adore monter à cheval et ce caractère affirmé et rebelle m’a fait penser à Eulalie de Potimaron toute proportion gardée bien sûr puisque les conditions des deux jeunes filles et les époques diffèrent.

Ce premier volume nous permet de nous familiariser avec son héroïne et son entourage et nous fait connaître le quotidien d’une jeune princesse de cette époque entre études et équitation.

Brillamment illustré par Ariane Delrieu dont les dessins apportent une vraie bouffée d’air frais et permet aux lectrices de mieux s’identifier aux personnages, ce premier volume est une vraie réussite.

Outre l’aspect historique et la personnalité attachante d’Elisabeth et de son amie Angélique, la lectrice de romans policiers que je suis apprécie la petite intrigue mystérieuse qui trouvera peut-être son dénouement dans le second volume que j’ai d’ores et déjà réservé à la médiathèque.

Vous l’aurez compris, un roman que j’ai beaucoup aimé et qui est à mettre dans les mains des petites filles à partir de 8 ans et à celles qui ont gardé leur âme d’enfant !

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