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Posts Tagged ‘Astrid bromure fabrice parme’

Né près de Nancy en 1966, Fabrice Parme fréquente l’école Duperré avant d’intégrer la prestigieuse École supérieure de l’image d’Angoulême. Scénariste et dessinateur, il fait ses débuts dans la bande dessinée et le dessin animé à seulement 22 ans. Aux côtés de son fidèle complice Lewis Trondheim, il ne cesse depuis de mêler les genres et les supports. Il vit aujourd’hui à Orsay.

Leurs parents sortis pour le dîner, Astrid et ses demi-cousins, les jumeaux William et Willem ainsi que bébé Bertie, doivent passer la soirée ensemble au domicile des Bromure.

La baby-sitter pressentie ayant renoncé face à l’ampleur de la tâche, les parents d’Astrid engagent en dernière minute, Patience, la nièce de Mademoiselle Poppyscoop. Débutante, la jeune femme est très professionnelle mais bien mystérieuse.

Les voici réunis pour une soirée où les idées de jeux et d’activités plus ou moins autorisés ne manquent pas… et parfois même la magie semble prendre le pas sur la réalité !

Chaque année, j’attends avec une impatience non feinte, un nouvel album mettant en scène l’irrésistible Astrid Bromure, et, aussitôt reçu, aussitôt lu !

Souvenez-vous j’avais adoré les six premiers tomes, j’étais donc ravie de retrouver cette chère Astrid dans Comment lessiver la baby-sitter, sa septième aventure et une fois encore, le charme a opéré car j’ai adoré cet opus tout aussi réussi que les autres.

Il faut bien vous avouer que je ne suis guère objective car je ne résiste pas à la frimousse de cette petite fille épatante, à ses histoires pleines d’humour et de péripéties et à aux planches signées par le très talentueux Fabrice Parme !

J’ai vraiment un coup de cœur pour cette série très jeunesse plutôt destinée aux 7 / 9 ans que je trouve so vintage avec ses illustrations de style années 20 (époque où se passe les intrigues) et les dialogues savoureux des personnages qui plairont aussi bien aux adultes qu’aux enfants avec des piques, des gags et des traits d’humour à chaque page, du rythme et des situations scabreuses pour notre Astrid et sa famille.

Comme toujours, pas de répit ni d’ennui pour le lecteur grâce au scénario de Fabrice Parme qui multiplie les rebondissements de la première à la dernière page avec des tours de passe-passe et une baby-sitter qui a des demi-pouvoirs qui étourdissent notre jeune héroïne.

Outre l’histoire et l’humour, j’adore l’atmosphère délicieusement vintage qui se dégage de cette série : le graphisme, les couleurs, la typographie, les décors, les visages expressifs… le travail de Fabrice Parme est un vrai régal pour les yeux d’autant plus que l’ensemble du travail éditorial est soigné, comme toujours chez Rue de Sèvres qui offre décidément à ses jeunes lecteurs des bandes dessinées réussies tant sur le fond que sur la forme.

Les dialogues de Fabrice Parme sont toujours aussi bons et font mouche à chaque fois par leur drôlerie et leur intelligence, avec comme toujours de jolis messages. Une série qui ne s’essouffle pas et que je vous recommande chaudement que vous soyez petit ou grand !

Vous l’aurez compris cette série de bandes dessinées loufoques est à mettre entre toutes les mains, et ce n’est pas mon Sami-Chameau de fils qui dira le contraire car il adore aussi, et attend chaque tome avec beaucoup d’impatience ! Comme quoi, Astrid plaît aussi aux garçons…

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Né près de Nancy en 1966, Fabrice Parme fréquente l’école Duperré avant d’intégrer la prestigieuse École supérieure de l’image d’Angoulême. Scénariste et dessinateur, il fait ses débuts dans la bande dessinée et le dessin animé à seulement 22 ans. Aux côtés de son fidèle complice Lewis Trondheim, il ne cesse depuis de mêler les genres et les supports. Il vit aujourd’hui à Orsay.

Après l’essayage de chapeaux chez la modiste en vogue Coco Normandy, Astrid et sa mère filent à la vente aux enchères d’oeufs de Fabergé que Mr Bromure collectionne. En chemin, Astrid voit dans la vitrine d’une animalerie, un petit lapin trop mignon.

Elle le veut aussitôt et marchande avec le propriétaire l’achat de l’animal pour un dollar. Sa mère lui promet de repasser au retour. Mais les enchères s’envolent et Astrid prête à sa mère le seul dollar en sa possession.

Mauvais calcul, elle n’a plus d’argent de poche ! Quoi qu’il en soit, Astrid veut le lapin dans la vitrine ! Heureusement, elle a plus d’une idée en tête notre Astrid Bromure…

Chaque année, j’attends avec une impatience non feinte, un nouvel album mettant en scène l’irrésistible Astrid Bromure, et, aussitôt reçu, aussitôt lu !

Souvenez-vous j’avais adoré les cinq premiers tomes Comment dézinguer la petite sourisComment atomiser les fantômesComment épingler l’enfant sauvage,Comment lyophiliser le monstre du Loch Ness et Comment refroidir le yéti.

J’étais donc ravie de retrouver cette chère Astrid dans Comment fricasser le lapin chasseur, sa sixième aventure et une fois encore, le charme a opéré car j’ai adoré cet opus tout aussi réussi que les autres.

Il faut bien vous avouer que je ne suis guère objective car je ne résiste pas à la frimousse de cette petite fille épatante, à ses histoires pleines d’humour et de péripéties et à aux planches signées par le très talentueux Fabrice Parme !

J’ai vraiment un coup de cœur pour cette série très jeunesse plutôt destinée aux 7 / 9 ans que je trouve so vintage avec ses illustrations de style années 20 (époque où se passe les intrigues) et les dialogues savoureux des personnages qui plairont aussi bien aux adultes qu’aux enfants avec des piques, des gags et des traits d’humour à chaque page et des situations scabreuses pour notre Astrid et sa famille qui se retrouvent aux prises avec un lapin qui se croit à Pâques en s’emparant des précieux oeufs des Bromure.

Comme toujours, pas de répit ni d’ennui pour le lecteur grâce au scénario de Fabrice Parme qui multiplie les rebondissements de la première à la dernière page avec des tours de passe-passe et une escroquerie aux petits oignons dont notre Astrid viendra à bout.

Outre l’histoire et l’humour, j’adore l’atmosphère délicieusement vintage qui se dégage de cette série : le graphisme, les couleurs, la typographie, les décors, les visages expressifs… le travail de Fabrice Parme est un vrai régal pour les yeux d’autant plus que l’ensemble du travail éditorial est soigné, comme toujours chez Rue de Sèvres qui offre décidément à ses jeunes lecteurs des bandes dessinées réussies tant sur le fond que sur la forme.

Les dialogues de Fabrice Parme sont toujours aussi bons et font mouche à chaque fois par leur drôlerie et leur intelligence, avec comme toujours de jolis messages. Une série qui ne s’essouffle pas et que je vous recommande chaudement que vous soyez petit ou grand !

Vous l’aurez compris cette série de bandes dessinées loufoques est à mettre entre toutes les mains, et ce n’est pas mon Sami-Chameau de fils qui dira le contraire car il adore aussi, et attend chaque tome avec beaucoup d’impatience ! Comme quoi, Astrid plaît aussi aux garçons…

Un grand merci à Doriane et aux éditions Rue de Sèvres pour ce coup de cœur collégial !

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Après une petite souris, des fantômes, un enfant sauvage et le monstre du Loch Ness, Astrid décide de venir en aide au yéti !

Il neige abondamment sur la ville de New York. Les journées sont longues pour Astrid qui s’ennuie terriblement : elle ne peut sortir et personne ne veut jouer avec elle.

Aussi, quand elle entend à la radio qu’un Yéti s’est évadé du zoo et se retrouve en liberté, elle fait tout pour essayer de l’apercevoir à travers ses jumelles.

Quelle surprise lorsqu’elle l’aperçoit enfin sur sa terrasse ! Puisque aucun adulte ne la croît, elle décide d’aller capturer le fugitif elle-même.

Et si ce Yéti n’était finalement pas l’abominable et sauvage homme des neiges mais plutôt un nouveau compagnon de jeux ? L’homme des neiges sera-t-il accepté par l’entourage d’Astrid ? Saura-t-on lui faire une place dans cette vie urbaine ?

Chaque année, j’attends avec une impatience non feinte, un nouvel album mettant en scène l’irrésistible Astrid Bromure.

Souvenez-vous j’avais adoré les quatre premiers tomes Comment dézinguer la petite souris, Comment atomiser les fantômes, Comment épingler l’enfant sauvage et Comment lyophiliser le monstre du Loch Ness.

J’étais donc ravie de retrouver cette chère Astrid dans Comment refroidir le yéti, sa cinquième aventure et une fois encore, le charme a opéré car j’ai adoré cet opus tout aussi réussi que les autres.

J’ai vraiment un coup de cœur pour cette série très jeunesse plutôt destinée aux 7 / 9 ans que je trouve so vintage avec ses illustrations de style années 20 (époque où se passe les intrigues) et les dialogues savoureux des personnages qui plairont aussi bien aux adultes qu’aux enfants avec des piques, des gags et des traits d’humour à chaque page et des situations scabreuses pour notre Astrid et sa famille qui se retrouvent aux prises avec le fameux abominable homme des neiges qui est loin d’être aussi méchant qu’on le prétend !

Cette tempête de neige qui secoue New York sera l’occasion pour Astrid de vivre une chouette aventure et se faire un nouvel ami en la personne du yéti, amitié qui permettra également à son père de se débarrasser à bon compte du dernier étage de sa toute nouvelle tour dont personne ne veut pour cause de froid extrême.

Comme toujours, pas de répit ni d’ennui pour le lecteur grâce au scénario de Fabrice Parme qui multiplie les rebondissements de la première à la dernière page. Outre l’histoire et l’humour, j’adore l’atmosphère délicieusement vintage qui se dégage de cette série : le graphisme, les couleurs, la typographie, les décors, les visages expressifs… le travail de Fabrice Parme est un vrai régal pour les yeux d’autant plus que l’ensemble du travail éditorial est soigné, comme toujours chez Rue de Sèvres qui offre décidément à ses jeunes lecteurs des bandes dessinées réussies tant sur le fond que sur la forme.

Les dialogues de Fabrice Parme sont toujours aussi bons et font mouche à chaque fois par leur drôlerie et leur intelligence, avec comme toujours un joli message sur la tolérance et l’acceptation des autres. Une série qui ne s’essouffle pas et que je vous recommande chaudement que vous soyez petit ou grand !

Vous l’aurez compris Comment refroidir le yéti est une bande dessinée loufoque à mettre entre toutes les mains dès 9 ans, et ce n’est pas mon Sami-Chameau de fils qui dira le contraire car il adore aussi, et attend chaque tome avec beaucoup d’impatience ! Comme quoi, Astrid plaît aussi aux garçons…

Un grand merci à Doriane et aux éditions Rue de Sèvres pour ce coup de cœur collégial !

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Accompagner sa mère en Ecosse pour récupérer une simple boite à souvenirs ? Cela n’enchante guère Astrid, jusqu’à ce qu’elle découvre son oncle farfelu et ses inventions excentriques…

Un beau matin, Pandora Bromure reçoit un courrier de son jeune frère Hazel l’invitant à passer quelques jours en Ecosse au manoir familial afin de lui confier la boîte à souvenirs des Mac Muffin.

Alors que son mari refuse de l’accompagner, Madame Bromure se rabat sur Mademoiselle Poppyscoop, Madame Dottie et Astrid pour l’accompagner dans ce périple qui les conduira au cœur des Highlands.

Notre jeune héroïne traine des pieds mais une fois sur place, elle découvre son excentrique et savant fou d’oncle qui vit dans un véritable capharnaüm, le bonheur pour elle qui sent là une occasion de ne pas s’ennuyer !

Et en effet elle ne va pas s’ennuyer car le laboratoire du manoir cache toutes sortes d’expériences et d’espèces vivantes, et Astrid ne tarde pas à libérer par accident, un bébé plésiosaure dont la croissance devient incontrôlable…

Souvenez-vous j’avais adoré les trois premiers tomes Comment dézinguer la petite souris, Comment atomiser les fantômes et Comment épingler l’enfant sauvage, j’étais donc ravie de retrouver cette chère Astrid dans sa quatrième aventure Comment lyophiliser le monstre du Loch Ness et une fois encore, le charme a opéré car j’ai adoré cet opus tout aussi réussi que les autres.

J’ai vraiment un coup de cœur pour cette série très jeunesse que je trouve so vintage avec ses illustrations de style années 20 (époque où se passe les intrigues) et les dialogues savoureux des personnages qui plairont aussi bien aux adultes qu’aux enfants avec des piques, des gags et des traits d’humour à chaque page et des situations scabreuses pour notre Astrid et sa famille qui se retrouvent aux prises avec un plésiosaure, monstre marin de la Préhistoire, heureusement disparu !

Ce séjour dans les Highlands sera l’occasion pour Astrid de vivre une nouvelle aventure et surtout de mener une vie plus libre et moins corsetée grâce à cet oncle aux antipodes de sa mère Mme Bromure.

Vivre dans un tel bazar, quel bonheur pour Astrid dont la maison familiale est rangée au cordeau ! Plus d’ennui et plus de leçons rhétoriques, place à la pratique avec l’oncle Hazel, un homme qui ne vit que pour la science, passionné par ses inventions, qui va trouver en sa nièce une formidable assistante, pleine d’enthousiasme.

Comme toujours, pas de répit ni d’ennui pour le lecteur grâce au scénario de Fabrice Parme qui multiplie les rebondissements de la première à la dernière page et qui nous donne sa version du monstre du Loch Ness.

Outre l’histoire et l’humour, j’adore l’atmosphère délicieusement vintage qui se dégage de cette série : le graphisme, les couleurs, la typographie, les décors, les visages expressifs… le travail de Fabrice Parme est un vrai régal pour les yeux d’autant plus que l’ensemble du travail éditorial est soigné, comme toujours chez Rue de Sèvres qui offre décidément à ses jeunes lecteurs des bandes dessinées réussies tant sur le fond que sur la forme.

Les dialogues de Fabrice Parme sont toujours aussi bons et font mouche à chaque fois par leur drôlerie et leur intelligence. Une série qui ne s’essouffle pas et que je vous recommande chaudement que vous soyez petit ou grand !

Vous l’aurez compris Comment lyophiliser le monstre du Loch Ness est une bande dessinée loufoque à mettre entre toutes les mains dès 9 ans, et ce n’est pas mon Sami-Chameau de fils qui dira le contraire car il adore aussi, et attend chaque tome avec beaucoup d’impatience ! Comme quoi, Astrid plaît aussi aux garçons…

Un grand merci aux éditions Rue de Sèvres pour ce ce coup de cœur collégial !

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Astrid, petite fille solitaire élevée dans l’hôtel particulier de ses riches parents, est toujours à la recherche de compagnons de jeux. Aussi quand elle entend parler à la radio des enfants sauvages du Gabokonga, ni une ni deux, elle convainc ses parents d’y partir en voyage.

Astrid Bromure s’ennuie ferme dans l’hôtel particulier de ses parents, planté sur le toit d’un des plus hauts gratte-ciels de New-York. Seulement entourée d’adultes, elle rêve d’avoir un petit frère. Malheureusement pour elle, ses parents qui sont pourtant très oisifs se sentent déjà débordés par leur petite fille chérie.

Mais qu’à cela ne tienne, elle n’a pas dit son dernier mot ! Et lorsqu’elle entend dans le poste de radio qu’il y a pléthore d’enfants sauvages abandonnés au Gabokonga, elle convainc son petit monde d’aller y faire un tour grâce au ballon dirigeable paternel.

Arrivée sur place, elle compte bien faire changer ses parents d’avis et recueillir l’un des enfants sauvages…

Souvenez-vous j’avais adoré le tome 1 Comment dézinguer la petite souris ainsi que le tome 2 Comment atomiser les fantômes et je dois bien admettre que le troisième tome est tout aussi réussi et savoureux avec des piques, des gags et des traits d’humour à chaque page et des situations scabreuses pour notre Astrid et sa famille qui se retrouve aux prises avec des pygmées gastronomes, un enfant qui parle l’oiseau et un tigre tapi dans l’ombre.

Ce séjour dans la jungle du Gabokonga sera l’occasion pour Astrid et les siens d’apprendre à côtoyer un autre peuple, de confronter leur culture, leur savoir vivre ou leurs habitudes culinaires avec les habitants locaux… et de tordre le cou à de nombreux préjugés ! Non l’Afrique n’est pas une terre où l’homme blanc peut se servir à loisir et Astrid va recevoir une grande leçon.

Fabrice Parme envoie quelques pics bien sentis à propos de la colonisation et des ravages de l’homme blanc sur le territoire africain et sur sa prétendue « supériorité » à une époque, les années 20, où les occidentaux considéraient l’Afrique comme leur terrain de chasse dans lequel ils pouvaient piller allégrement.

Quant au thème de l’adoption, il reste d’actualité, notamment avec certaines stars américaines qui agrandissent leurs familles avec des enfants venus des quatre coins de l’Afrique noire.

Outre cet humour, j’adore l’atmosphère délicieusement vintage qui se dégage de cette série : le graphisme, les couleurs, la typographie, les décors somptueux, les visages expressifs… l’ensemble du travail éditorial est soigné, ce qui ne m’étonne pas de Rue de Sèvres d’ailleurs qui offre décidément à ses jeunes lecteurs des bandes dessinées réussies tant sur le fond que sur la forme.

Les dialogues de Fabrice Parme sont toujours aussi bons et font mouche à chaque fois par leur drôlerie et leur intelligence. Une série qui ne s’essouffle pas et que je vous recommande chaudement que vous soyez petit ou grand !

Vous l’aurez compris Comment épingler l’enfant sauvage est une bande dessinée loufoque à mettre entre toutes les mains dès 9 ans, et ce n’est pas mon Sami-Chameau qui dira le contraire car il adore aussi, et attend chaque tome avec beaucoup d’impatience ! Comme quoi, Astrid plaît aussi aux garçons…

Un grand merci à Doriane et aux éditions Rue de Sèvres pour ce coup de cœur collégial !

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Astrid en a assez de s’ennuyer dans le grand manoir vide de ses parents. Elle réussit à les convaincre de l’inscrire au manoir de Canterville. À elle les nouvelles copines, les joies de l’internat, et surtout la chambre partagée avec des jumelles qui n’ont pas froid aux yeux, Gladys et Rebecca. Seul hic, la légende dit que Canterville est truffé de fantômes, ce qui ne rassure pas du tout Astrid ! En plus d’apprendre à atomiser les fantômes, elle va devoir comprendre ce qu’elle est prête à faire ou non pour être populaire. heart_5astrid-bromure-tome-2-fabrice-parme

Astrid Bromure vit avec ses parents à New-York dans les années 20, dans un manoir au sommet d’un gratte-ciel. Les Bromure sont snobs et riches et la petite Astrid s’ennuie ferme, malgré la présence de son chat Gasby et de son chien Fitzgerald.

Aussi, après la défection de son institutrice personnelle, décide-t-elle de partir en internat. Elle propose donc à ses parents de rejoindre le manoir de Canterville, un établissement tout ce qu’il y a de plus chic. La mère s’étrangle avec son collier de perles en prenant connaissance des frais de scolarité, 300 000 $ tout de même, mais qu’à cela ne tienne son père donne son accord.

Astrid fait donc sa rentrée dans la classe de Miss Poppyscoop, toute à la joie de se faire enfin des amies et de partager sa chambre avec deux de ses camarades, les intrépides jumelles Gladys et Rebecca.

Tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes si on exceptait les fantômes des fondateurs de l’établissement et de ses premiers élèves, atomisés lors d’un cours de chimie et qu’elle est semble-t-il la seule à les voir…

J’avais adoré le tome 1 Comment dézinguer la petite souris et je dois bien admettre que le second tome est tout aussi réussi et savoureux avec des piques, des gags et des traits d’humour à chaque page et des situations scabreuses pour notre Astrid qui collection les A+ dans toutes les matières sauf en sport où elle finit inlassablement saucissonnée !

Outre cet humour, j’adore l’atmosphère délicieusement vintage qui se dégage de cette série : le graphisme, les couleurs, la typographie, les décors somptueux, les visages expressifs… l’ensemble du travail éditorial est soigné, ce qui ne m’étonne pas de Rue de Sèvres d’ailleurs qui offre décidément à ses jeunes lecteurs des bandes dessinées réussies tant sur le fond que sur la forme.

Les dialogues de Fabrice Parme sont toujours aussi bons et font mouche à chaque fois par leur drôlerie et leur intelligence.

Vous l’aurez compris Comment atomiser les fantômes (clin d’oeil à Oscar Wilde) est une bande dessinée loufoque à mettre entre toutes les mains dès 9 ans, mon Sami-Chameau, adore aussi, comme quoi Astrid sait aussi plaire aux garçons !

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Astrid vient de perdre une dent, et découvre à cette occasion la légende de la petite souris… les versions proposées par son entourage différent tellement qu’elle n’en croit pas un mot. Pour le prouver, elle décide de mettre en place de savants pièges pour la capturer…

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Astrid Bromure vit à New-York dans les années 20, dans une maison au sommet d’un gratte-ciel. En l’absence de ses parents, cette fille unique est confiée aux bons soins de Benchley, le majordome, et de Madame Dottie, la gouvernante.

Elle s’ennuie ferme malgré la présence de son chat Gasby et de son chien Fitzgerald. Heureusement pour elle, une de ses dents est sur le point de tomber. Chic la petite souris va passer lui disent Benchley et Dottie !!

Seulement voilà, Astrid n’y croit pas, d’autant plus que les portraits que lui en font Benchley et Dottie sont radicalement différents. Alors elle cogite pendant des heures à la recherche de pièges tous plus diaboliques les uns que les autres afin de dézinguer la petite souris imaginaire…

J’avais repéré cette bande dessinée jeunesse dès sa sortie, attirée par son graphisme vintage et ses couleurs pastel que je trouve très réussis. Aussi, lorsque je l’ai vu parmi les nouveautés de la médiathèque je n’ai pas hésité à la prendre, sûre de faire deux heureux, mon Sami-Chameau, en pleine découverte des mangas et des bédés qu’il dévore en un rien de temps, et moi-même.

J’ai beaucoup aimé cette histoire bourrée d’humour et les personnages très attachants mis en scène ici, en tête desquels, l’héroïne : Astrid Bromure. Cette pauvre petite fille riche qui s’ennuie, sait cogiter et faire fonctionner ses petites cellules grises comme dirait ce cher Hercule Poirot.

Les situations saugrenues qui nous sont données à lire sont savoureuses et l’objet livre est vraiment réussi : le graphisme, les couleurs, la typographie… l’ensemble du travail éditorial est soigné, ce qui ne m’étonne pas de Rue de Sèvres d’ailleurs qui offre décidément à ses jeunes lecteurs des bandes dessinées réussies tant sur le fond que sur la forme.

Les dialogues sont de haute volée et sont à réserver aux enfants qui ont un bon niveau de lecture et un excellent vocabulaire et qui a font mouche ici.

En résumé, j’ai adoré cette bd piquante et intelligente ! Quant à Sami-Chameau, c’est pour lui un coup de coeur et il la conseille aux enfants à partir de 9 ans.

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