Lu dans le cadre du Mois anglais 2022
Joanne Kathleen Rowling a grandi en Angleterre où elle est née en 1965. Elle commence à imaginer la saga Harry Potter dès la fin des années 90, après ses études de lettres. Si J.K. Rowling achève le premier tome de la série en 1993, Harry Potter à l’école des sorciers n’est publié qu’en 1997 par Bloomsburry en Angleterre, puis en 1999 par Gallimard en France. Les prix littéraires remis aux premiers tomes, et surtout le formidable bouche à oreille des cours de récréation font de Harry Potter un sorcier mondialement connu. Le septième et dernier volume de la série est paru en 2007. Auteur d’un phénomène éditorial inédit qui bouleverse tous les repères de la littérature jeunesse, JK Rowling a vu son œuvre récompensée par le Prix Andersen en 2010.
Dans un monde de plus en plus inquiétant, Harry, après avoir passé tout l’été chez les Dursley, se prépare à retrouver Ron et Hermione chez les Weasley.
Bientôt, ce sera la rentrée à Poudlard avec les autres étudiants de sixième année. Mais pourquoi Dumbledore vient-il en personne chercher Harry chez les Dursley ? Dans quels extraordinaires voyages au coeur de la mémoire va-t-il l’entraîner ?
Après Harry Potter à l’école des sorciers, Harry Potter et la chambre des secrets, Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban, Harry Potter et la coupe de feu et Harry Potter et l’ordre du phénix, je continue à découvrir la saga consacré au jeune sorcier avec Harry Potter et le prince de Sang-Mêlé, lu avec ma copinaute Belette qui souhaitait la relire et qui m’accompagne dans ce qui est ma première lecture de cette série qui a tellement influencé de lecteurs.
Le cinquième tome m’ayant beaucoup ennuyé, j’ai laissé passer deux ans et demi avant de retrouver les sorciers de Poudlard, heureusement cet opus m’a bien plu, je lirai donc l’ultime volume avec plaisir.
J’ai beaucoup aimé les différentes intrigues qui s’entremêlent dans ce tome : le passé de Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom, le mystère autour du livre des potions du prince de sang-mêlé dont on ignore l’identité, les soupçons de Harry vis à vis de Malefoy, les séances de pensine avec Dumbledore et le début de l’idylle entre Harry et Ginnie.
Harry se retrouve bien seul dans ce tome, Hermione et Ron ne sont qu’accessoires, tout comme Hagrid et Rogue (enfin presque !). Cela permet de se recentrer sur l’histoire, d’approfondir les personnages de Harry, de Dumbledore et de Voldemort. Le personnage de Ginny est aussi plus présent et bien mis en valeur.
Ayant vu le film il y a un moment déjà, je me souvenais de certaines choses mais pas de tout et j’ai pris pris plaisir à redécouvrir ce récit émaillé de rebondissements et de mystères. L’action est peu présente mais cela ne m’a vraiment pas gênée, j’ai bien aimé retrouver Poudlard, les cours, les personnages et les lieux emblématiques de cette saga.
Et of course le final du livre est dingue lorsque l’on ne connaît pas l’histoire, ce qui n’était pas mon cas mais je devine qu’il a laissé K.O bon nombre de lecteurs à l’instar de nos jeunes héros que l’on laisse dévastés par les derniers évènements du roman.
Petit bémol pour les redondances liées aux affres de l’amour et de la jalousie venant de Hermione, Ron et Harry qui a bien agacée l’adulte que je suis mais qui plait au public visé et c’est bien là le principal. Ma copinaute Belette a enfourché son balai et a lu plus vite que son ombre, son avis ici !