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Posts Tagged ‘Harry potter’

Lu dans le cadre du Mois anglais 2022

Joanne Kathleen Rowling a grandi en Angleterre où elle est née en 1965. Elle commence à imaginer la saga Harry Potter dès la fin des années 90, après ses études de lettres. Si J.K. Rowling achève le premier tome de la série en 1993, Harry Potter à l’école des sorciers n’est publié qu’en 1997 par Bloomsburry en Angleterre, puis en 1999 par Gallimard en France. Les prix littéraires remis aux premiers tomes, et surtout le formidable bouche à oreille des cours de récréation font de Harry Potter un sorcier mondialement connu. Le septième et dernier volume de la série est paru en 2007. Auteur d’un phénomène éditorial inédit qui bouleverse tous les repères de la littérature jeunesse, JK Rowling a vu son œuvre récompensée par le Prix Andersen en 2010.

Dans un monde de plus en plus inquiétant, Harry, après avoir passé tout l’été chez les Dursley, se prépare à retrouver Ron et Hermione chez les Weasley.

Bientôt, ce sera la rentrée à Poudlard avec les autres étudiants de sixième année. Mais pourquoi Dumbledore vient-il en personne chercher Harry chez les Dursley ? Dans quels extraordinaires voyages au coeur de la mémoire va-t-il l’entraîner ?

Après Harry Potter à l’école des sorciers, Harry Potter et la chambre des secrets, Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban, Harry Potter et la coupe de feu et Harry Potter et l’ordre du phénix, je continue à découvrir la saga consacré au jeune sorcier avec Harry Potter et le prince de Sang-Mêlé, lu avec ma copinaute Belette qui souhaitait la relire et qui m’accompagne dans ce qui est ma première lecture de cette série qui a tellement influencé de lecteurs.

Le cinquième tome m’ayant beaucoup ennuyé, j’ai laissé passer deux ans et demi avant de retrouver les sorciers de Poudlard, heureusement cet opus m’a bien plu, je lirai donc l’ultime volume avec plaisir.

J’ai beaucoup aimé les différentes intrigues qui s’entremêlent dans ce tome : le passé de Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom, le mystère autour du livre des potions du prince de sang-mêlé dont on ignore l’identité, les soupçons de Harry vis à vis de Malefoy, les séances de pensine avec Dumbledore et le début de l’idylle entre Harry et Ginnie.

Harry se retrouve bien seul dans ce tome, Hermione et Ron ne sont qu’accessoires, tout comme Hagrid et Rogue (enfin presque !). Cela permet de se recentrer sur l’histoire, d’approfondir les personnages de Harry, de Dumbledore et de Voldemort. Le personnage de Ginny est aussi plus présent et bien mis en valeur.

Ayant vu le film il y a un moment déjà, je me souvenais de certaines choses mais pas de tout et j’ai pris pris plaisir à redécouvrir ce récit émaillé de rebondissements et de mystères. L’action est peu présente mais cela ne m’a vraiment pas gênée, j’ai bien aimé retrouver Poudlard, les cours, les personnages et les lieux emblématiques de cette saga.

Et of course le final du livre est dingue lorsque l’on ne connaît pas l’histoire, ce qui n’était pas mon cas mais je devine qu’il a laissé K.O bon nombre de lecteurs à l’instar de nos jeunes héros que l’on laisse dévastés par les derniers évènements du roman.

Petit bémol pour les redondances liées aux affres de l’amour et de la jalousie venant de Hermione, Ron et Harry qui a bien agacée l’adulte que je suis mais qui plait au public visé et c’est bien là le principal. Ma copinaute Belette a enfourché son balai et a lu plus vite que son ombre, son avis ici !

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David Foenkinos est l’auteur de plusieurs romans dont Le potentiel érotique de ma femme, Nos séparations, Les souvenirs et Je vais mieux. La délicatesse, paru en 2009, a obtenu dix prix littéraires. En 2011, David Foenkinos et son frère Stéphane l’ont adapté au cinéma, avec Audrey Tautou et François Damiens. Ils ont également réalisé le film Jalouse, avec Karin Viard. En 2014, Charlotte a été couronné par les prix Renaudot et Goncourt des lycéens. Les romans de David Foenkinos sont traduits en plus de quarante langues.

En 1999 débutait le casting pour trouver le jeune garçon qui interpréterait Harry Potter et qui, par là-même, deviendrait mondialement célèbre. Des centaines d’acteurs furent auditionnés. Finalement, il n’en resta plus que deux.

Ce roman raconte l’histoire de celui qui n’a pas été choisi.

Avec Numéro deux, David Foenkinos nous raconte la vie de Martin Hill, héros ou anti-héros fictif de ce roman. Il naît en 1989 à Londres, dans la même clinique et la même année que le futur interprète d’Harry Potter au cinéma, Daniel Radcliffe.

Martin est le fils d’une journaliste française, Jeanne, et d’un accessoiriste de plateau, John, inventeur saugrenu, notamment d’une cravateparapluie qu’il ne réussira pas à commercialiser. Il est encore enfant quand ses parents divorcent et il grandit entre Londres et Paris, où s’est installée sa mère.

Tout à fait par hasard, alors qu’il a suivi son père sur un plateau de tournage, Martin est repéré par un producteur qui est en train de mettre sur pied le premier film de la série des Harry Potter. Martin passe un casting, réussit plusieurs sélections, mais lors de l’ultime séance, l’autre finaliste se montre plus convaincant.

Tous les espoirs que Martin avait formés s’écroulent et désormais il se sentira sans cesse confronté au triomphe omniprésent de son rival. Comment se remettre de cet échec alors que les aventures du jeune sorcier et leurs adaptations cinématographiques s’enchainent avec tant de succès ?

Ce nouveau roman de David Foenkinos, drôle et insolite, est le récit d’un échec, ressassé encore et toujours. Martin a presque réussi, il est passé juste à côté du succès et cette place est sans nul doute la plus insupportable. Dès lors, il s’enfonce dans le silence et la dépression.

Une fantaisie mélancolique parcourt ce roman, qui saisit avec justesse et légèreté le désarroi d’un jeune homme sans cesse confronté à ce qu’il aurait pu vivre. Martin a beau essayer d’oublier, il est sans cesse ramené à cet échec dès qu’un nouveau tome d’Harry Potter paraît, dès qu’un nouveau film est à l’affiche.

C’est tellement insupportable qu’il n’a pas d’ami, pas d’amoureuse, pas de confident, personne avec qui partager ce fardeau tant il veut que personne, absolument personne, sache qu’il aurait pu être Harry Potter.

Encore plus insupportable : on lui dit régulièrement qu’il ressemble à Harry Potter et on s’interroge sur le fait qu’il ne lise pas les livres de J.K Rowling alors que l’Angleterre puis la France, vivent en pleine Pottermania !

J’aime la plume de David Foenkinos, sa tendresse, la façon dont il esquisse ses personnages, son humour. Le récit autour de l’enfance de Martin m’a beaucoup plu et j’ai tourné les pages avec plaisir. Mais lorsqu’il arrive à l’adolescence, l’enchaînement des drames successifs m’a paru de trop et m’a un peu lassé.

Quant au Martin adulte, les pages qui lui sont consacrées sont intéressantes, pleines de valeurs et de messages touchants. Dommage que les cinquante dernières pages soient tirées par les cheveux et pas franchement crédibles.

Malgré ces bémols, ce roman mêlant fiction et réalité fut une lecture agréable, qui amène à des réflexions intéressantes et notamment : comment se construire après un échec qui détruit tous nos rêves et notre confiance en soi ?

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Joanne Kathleen Rowling a grandi en Angleterre où elle est née en 1965. Elle commence à imaginer la saga Harry Potter dès la fin des années 90, après ses études de lettres. Si J.K. Rowling achève le premier tome de la série en 1993, Harry Potter à l’école des sorciers n’est publié qu’en 1997 par Bloomsburry en Angleterre, puis en 1999 par Gallimard en France. Les prix littéraires remis aux premiers tomes, et surtout le formidable bouche à oreille des cours de récréation font de Harry Potter un sorcier mondialement connu. Le septième et dernier volume de la série est paru en 2007. Auteur d’un phénomène éditorial inédit qui bouleverse tous les repères de la littérature jeunesse, JK Rowling a vu son œuvre récompensée par le Prix Andersen en 2010.

Les contes de Beedle le Barde bercent l’enfance des sorciers depuis des siècles. Empreints de ruse et de magie, ces classiques sont distrayants, instructifs et tout aussi captivants qu’au quinzième siècle, quand Beedle posa pour la première fois sa plume sur le parchemin.

Parmi les cinq contes, Le Conte des trois frères est bien connu des fans de Harry Potter grâce à Harry Potter et les Reliques de la Mort. La Fontaine de la Bonne Fortune, Le Sorcier au cœur velu, Le Sorcier et la marmite Sauteuse, et Babbitty Lapina et la souche qui gloussait complètent la collection.

Ces petits bijoux narratifs traduits avec brio par Hermione Granger sont accompagnés de notes du professeur Albus Dumbledore, reproduites avec l’aimable autorisation des archives du directeur de Poudlard.

Ses commentaires éclairés apprennent aux jeunes sorciers comme aux moldus que ces histoires sont bien plus que de simples contes moraux, et ne manqueront pas de rendre Babbitty Lapina ou la marmite sauteuse cracheuse de limaces aussi familières aux moldus que Blanche-Neige ou Cendrillon.

Le professeur y donne de nombreuses clés et dévoile par la même occasion maint détail de la vie à Poudlard. Il ne vous reste plus qu’à entrer dans la magie…

Je comptais lire Les contes de Beedle le Barde, qui m’attendaient bien sagement dans ma PAL depuis plus de six ans, une fois venue à bout de tous les Harry Potter. Le cinquième tome de la saga ayant refroidi mes ardeurs, je me suis dit qu’il était grand temps que je découvre ces contes que j’ai dévorés en une petite heure et grandement apprécié.

Etant très friande des contes de fées des XVIIè et XVIIIè siècles, je me doutais que ces contes à la sauce Poudlard allaient me plaire et c’est bien ce qui se passa.

Si je connaissais Le conte des trois frères grâce au film car c’est un tome que je n’ai pas encore lu, j’ai découvert avec grand plaisir les quatre autres avec une prédilection pour La fontaine de la bonne fortune même si ils tous très réussis.

JK Rowling, trousse, avec son talent habituel, des histoires charmantes pleines de magie et de sorcières, abordables par les enfants dès 8 ans, qui rappellent les contes de fées traditionnels, sans pour autant les plagier.

J’ai vraiment été agréablement surprise par la qualité des intrigues, leurs ressorts tragiques ou humoristiques mais les commentaires d’Albus Dumbledore m’ont nettement moins enchantée, je les ai trouvés un peu trop longs, finalement inintéressants, et j’ai fini par les passer pour me concentrer sur les contes.

Une bonne lecture et un sympathique moment de lecture que ces contes de fées à la mode J.K Rowling, je continuerai à découvrir les autres opus de la bibliothèque de Poudlard : Le quidditch a travers les âges et Les animaux fantastiques Vies Et habitat dès que j’en aurai l’occasion !

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Lu dans le cadre du challenge 1 pavé par mois  :

challenge-un-pave-par-mois

Joanne Kathleen Rowling a grandi en Angleterre où elle est née en 1965. Elle commence à imaginer la saga Harry Potter dès la fin des années 90, après ses études de lettres. Si J.K. Rowling achève le premier tome de la série en 1993, Harry Potter à l’école des sorciers n’est publié qu’en 1997 par Bloomsburry en Angleterre, puis en 1999 par Gallimard en France. Les prix littéraires remis aux premiers tomes, et surtout le formidable bouche à oreille des cours de récréation font de Harry Potter un sorcier mondialement connu. Le septième et dernier volume de la série est paru en 2007. Auteur d’un phénomène éditorial inédit qui bouleverse tous les repères de la littérature jeunesse, JK Rowling a vu son œuvre récompensée par le Prix Andersen en 2010.

Comme chaque été, Harry s’ennuie ferme chez l’oncle Vernon et la tante Petunia, toujours aussi martyrisé par son cousin Dudley. Alors qu’il rejoint la maison de son oncle et sa tante tout en se disputant avec son cousin, il est victime d’une attaque de détraqueurs et doit faire usage de sa baguette.

Le ministère de la magie lui envoie immédiatement une concoction à se présenter en vue d’une audition et son renvoi de Poudlard est aussitôt prononcé. Heureusement pour lui, Dumbledore vient à sa rescousse et met fin à ses ennuis.

Désormais âgé de quinze ans, il apprend l’existence de l’Ordre du phénix auquel appartiennent Siruis Black, Rémus Lupin, Dumbledore, Minerva MacGonagall, les Weasley…

Après quelques jours chez son parrain, Harry entre en cinquième année à Poudlard. Et s’il est heureux de retrouver le monde des sorciers, il n’a jamais été aussi anxieux. L’adolescence, la perspective des examens importants en fin d’année et ces étranges cauchemars qui l’assaillent nuit après nuit.

Car Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom est de retour et, plus que jamais, Harry sent peser sur lui une terrible menace. Une menace que le ministère de la Magie ne semble pas prendre au sérieux, contrairement à Dumbledore.

Poudlard devient alors le terrain d’une véritable lutte de pouvoir. Le ministre, persuadé que Dumbledore lorgne son poste, envoie sa sous-secrétaire Dolores Ombrage afin de contrer les plans du directeur.

La résistance s’organise alors autour de Harry qui va devoir compter sur le courage et la fidélité de ses amis de toujours.

Après Harry Potter à l’école des sorciers, Harry Potter et la chambre des secrets, Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban et Harry Potter et la coupe de feu, je continue à découvrir la saga consacré au jeune sorcier avec Harry Potter et l’ordre du phénix, lu avec ma copinaute Belette qui souhaitait la relire et qui m’accompagne dans ce qui est ma première lecture de cette série qui a tellement influencé de lecteurs.

Si j’avais vraiment apprécié mes lectures des trois premiers opus et eu un coup de cœur pour le quatrième tome, j’ai été à la peine dans ce cinquième volume. Belette a enfourché son balai pour avaler ce gros pavé en une poignée de jours alors qu’il m’en a fallu dix pour en venir à bout.

L’histoire, que je connaissais pourtant pour avoir vu le film, m’a intéressé bien sûr mais les nombreuses longueurs, la présence de Dolores Ombrage et mon envie de l’assassiner à chaque page, ont été la cause de ma lecture poussive.

J’avais du mal à retourner à Poudlard, peinée par ce qui se passait. L’entrée dans l’adolescence de nos héros et notamment Harry est parfois pénible, l’histoire tarde à démarrer, J.K Rowling insistant un peu trop sur l’état d’esprit de son héros principal.

Heureusement, l’histoire décolle enfin lorsque la résistance se met en place sous la houlette d’Hermione, la plus posée et la plus réfléchie du trio. J’aime de plus en plus ce personnage et je trouve que l’autrice fait la part belle à ses héroïnes dans ce volume, ce que j’ai apprécié en mettant vraiment en lumière Hermione, Ginny et Luna.

Si je n’avais pas lu en compagnie de Belette, je pense que j’aurai fini par l’abandonner tant les longueurs sont nombreuses. Cette cinquième incursion dans l’univers créé par J.K Rowling met en place une multitude de choses pour la suite des événements, les personnages se révèlent, ce qui promet une suite intéressante.

Il ne me reste plus qu’à continuer cette saga, en espérant que le tome suivant me passionne davantage. Belette a adoré se replonger dans l’univers de Poudlard, son avis ici !

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Lu dans le cadre du challenge 1 pavé par mois  :

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Harry Potter a quatorze ans et entre en quatrième année à Poudlard. Une grande nouvelle attend Harry, Ron et Hermione à leur arrivée : la tenue d’un tournoi de magie exceptionnel entre les plus célèbres écoles de sorcellerie. Déjà les délégations étrangères font leur entrée. Harry se réjouit… Trop vite. Il va se trouver plongé au cœur des événements les plus dramatiques qu’il ait jamais eu à affronter.

Comme chaque été, Harry s’ennuie ferme chez l’oncle Vernon et la tante Petunia, toujours aussi martyrisé par son cousin Dudley. Alors que tante Petunia a mis la famille au régime, une lettre de Mrs Weasley arrive au 4 Privet Drive pour inviter Harry à la coupe du monde de Quidditch.

Après un trajet chaotique grâce à la poudre de cheminette, Harry, Ron, Hermione et la famille Weasley assistent aux matchs lorsque les détraqueurs s’attaquent au camp et que la marque du seigneur des ténèbres apparaît dans le ciel.

A Poudlard, Harry et ses amis apprennent que le tournoi des trois sorciers va avoir lieu dans leur école, un événement exceptionnel car le dernier tournoi en date s’est déroulé 700 ans plus tôt et abandonné en raison du nombre de victimes trop important. Les deux autres écoles de magie Beauxbâtons et Durmstrang vont affronter Poudlard et font une entrée fracassante à bord d’un carosse et d’un bateau.

Chaque école sera représentée par l’un de ses élèves. Cedric Diggory (Poudlard), Fleur Delacour (Beauxbâtons) et Viktor Krum (Durmstrang ) sont les favoris mais lorsqu’en plus d’eux, le nom d’Harry sort de la Coupe de Feu, il devient le quatrième concurrent à la surprise générale et à la sienne en particulier.

Comme ce n’est pas Harry qui a soumis sa candidature, qui a bien pu le faire ? Celui qui a glissé son nom est-il un adepte de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom, pressé d’en finir avec le jeune sorcier ?

Après Harry Potter à l’école des sorciers, Harry Potter et la chambre des secrets et Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban, je continue à découvrir la saga avec Harry Potter et la coupe de feu, lu avec ma copinaute Belette qui souhaitait la relire et qui m’accompagne dans ce qui est ma première lecture de cette série qui a tellement influencé de lecteurs.

En cette quatrième année à Poudlard, Harry va devoir participer au prestigieux tournoi des trois sorciers alors qu’il n’aurait jamais du y accéder en raison de son jeune âge. Cette compétition va être source de discorde avec Ron tandis que Hermione va se dépenser sans compter pour le S.A.L.E, un club qu’elle a créé dans le but de libérer les elfes de maison de l’esclavage.

Si j’avais vraiment apprécié mes lectures des trois précédents opus, je dois admettre que j’ai adoré ce quatrième volume pour lequel j’ai eu un coup de cœur. Pour la première fois j’ai ressenti ce qu’ont du ressentir les jeunes lecteurs lors de la découverte de cette série, avalant les pages sans plus pouvoir m’arrêter.

L’histoire, que je connaissais pourtant pour avoir vu le film, m’a véritablement passionnée, au point que j’avais hâte de retrouver les protagonistes et l’atmosphère particulière de cette saga magique.

Cette quatrième incursion dans l’univers créé par J.K Rowling s’est révélée addictive, on ne s’ennuie pas une seconde avec Harry, Ron et Hermione, car les évènements s’enchaînent sans temps mort et même en connaissant les grandes lignes de l’histoire, j’ai pris plaisir à suivre les péripéties de nos jeunes sorciers dans ce monde plein de magie.

Dans ce tome, j’ai aimé découvrir les autres écoles de sorcellerie, assister au bal de Noël, avoir peur lors du tournoi des trois sorciers, encourager Hermione dans sa croisade pour la libération des elfes de maison, écouter les billevesées du professeur Trelawney et tant d’autres choses encore.

Un tome un peu plus sombre que les précédents mais aussi nettement plus développé dans lequel j’ai eu plaisir à passer de longues heures et que je vous recommande si jamais vous n’aviez pas encore lu cette saga !

Vous l’aurez compris, je ressors séduite de ma lecture de Harry Potter et la coupe de feu, je continuerai donc la saga avec Harry Potter et l’ordre du Phénix. Belette a adoré se replonger dans l’univers de Poudlard, son avis ici !

Un pavé par mois

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Lu dans le cadre du Mois Anglais :

Sirius Black, le dangereux criminel qui s’est échappé de la forteresse d’Azkaban, recherche Harry Potter. C’est donc sous bonne garde que l’apprenti sorcier fait sa troisième rentrée. Au programme : des cours de divination, la fabrication d’une potion de ratatinage, le dressage des hippogriffes… Mais Harry est-il vraiment à l’abri du danger qui le menace ?

Harry s’ennuie ferme depuis le début de l’été chez l’oncle Vernon et la tante Petunia, toujours aussi martyrisé par son cousin Dudley. Alors que l’abominable Tante Marge flotte dans le ciel étoilé, Harry met le cap sur sa troisième année à Poudlard.

Après un trajet chaotique à bord du Magicobus, il se retrouve sur Le Chemin de Traverse, où il apprend que Sirius Black, le prisonnier évadé, est à sa recherche. Et c’est ainsi que commence le nouveau trimestre.

A Poudlard, Harry et ses amis apprennent l’art délicat du dressage d’un Hippogriffe, comment transformer les Epouvantards à l’aspect changeant en créatures ridicules, et même comment retourner le temps.

Les Détraqueurs aux effroyables baisers, planent au-dessus de l’école et menacent Harry, pendant que le serviteur de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom se cache dans les murs du château. Harry va devoir les affronter tous…

Après Harry Potter à l’école des sorciers et Harry Potter et la chambre des secrets, je continue à découvrir la saga avec Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban lu avec ma copinaute Belette qui souhaitait la relire et qui m’accompagne dans ce qui est ma première lecture de cette série qui a tellement influencé de lecteurs.

En cette troisième année à Poudlard, Harry va faire la connaissance de nouveaux professeurs, notamment Sibylle Trelawney, professeur de divination et Remus Lupin, professeur de défense contre les forces du Mal, avec qui il va apprendre à faire des patronus. Il va aussi rencontrer le fameaux prisonnier d’Azkaban qui donne son titre à ce troisième opus, Sirius Black, qui n’est autre que son parrain.

Avec lui, on continue à se familiariser avec les différents lieux de l’école de Poudlard et son univers magique, on assiste aux cours qui y sont dispensés, on prend part aux entrainements et aux matchs de Quidditch et on découvre la fameuse carte du maraudeur offerte à Harry par Fred et George afin de le consoler de ne pouvoir se rendre à Pré-au-lard, faute d’autorisation.

Un univers magique qui fait rêver, plein de trouvailles avec un imaginaire foisonnant, du suspens et de la magie. L’histoire est intéressante, l’amitié de notre trio mise à mal et j’ai apprécié de découvrir Lupin et Black et d’en apprendre davantage sur le passé de James Potter et de Severus Rogue.

Une troisième incursion dans l’univers créé par J.K Rowling qui s’est révélée distrayante, on ne s’ennuie pas une seconde avec Harry, Ron et Hermione, car les évènements s’enchaînent sans temps mort et même en connaissant les grandes lignes de l’histoire, j’ai pris plaisir à suivre les péripéties de nos jeunes sorciers dans ce monde plein de magie.

Vous l’aurez compris, je ressors séduite de ma lecture de Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban, je continue donc la saga. Belette a adoré se replonger dans l’univers de Poudlard, son avis ici !

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Une rentrée fracassante en voiture volante, une étrange malédiction quis’abat sur les élèves, cette deuxième année à l’école des sorciers ne s’annonce pas de tout repos ! Entre les cours de potions magiques, les matchs de Quidditch et les combats de mauvais sorts, Harry et ses amis Ron et Hermione trouveront-ils le temps de percer le mystère de la Chambre des Secrets ?

Harry s’ennuie ferme depuis le début de l’été chez l’oncle Vernon et la tante Petunia, toujours aussi martyrisé par son cousin Dudley. Les Dursley ont interdit à Harry de mentionner Poudlard, de lire ses livres de sorcier, ni utiliser son Nimbus 2000, quant à Hedwige, elle est cantonnée dans sa cage.

Alors qu’il est enfermé dans sa chambre car les Dursley reçoivent des invités, Dobby, un elfe de maison, surgit à Privet Drive pour demander à Harry Potter de ne plus aller à Poudlard, il en va de sa vie !

Mais le jeune sorcier n’écoute pas Dobby, il soupçonne même son ennemi juré, Drago Malefoy, d’être derrière tout cela. Lorsque Ron et ses frères George et Fred viennent le délivrer à l’aide de la voiture volante familiale, Harry compte plus que jamais faire sa rentrée à l’école des sorciers.

Mais de retour à Poudlard, un sinistre avertissement trouvé sur les murs fait écho aux prédictions de Dobby : de terribles événements sont sur le point de se produire !

Après Harry Potter à l’école des sorciers, place à Harry Potter et la chambre des secrets lu en compagnie de ma copinaute Belette qui souhaitait relire toute la saga, je suis ravie qu’elle m’accompagne dans ce qui est ma première lecture de cette série qui a tellement influencé de lecteurs.

En cette deuxième année à l’école, Harry va rencontrer d’extraordinaires créatures, trouver un journal intime ensorcelé et découvrir le passé trouble de Hagrid. Tout cela le conduira, avec Ron et Hermione, au cœur de la Chambre des Secrets…

Dans ce second tome, on fait la connaissance de certains professeurs comme Chourave et surtout Gilderoy Lockhart, une star chez les sorciers, dont les livres se vendent comme des petits pains et qui a de nombreuses admiratrices, dont Hermione Granger.

Mais aussi avec des élèves (vivants ou morts) comme Mimi Geignarde qui hante les toilettes des filles depuis sa mort cinquante années plus tôt ou Tom Jedusor dont Ginnie, la cadette des Weasley, a retrouvé le journal intime, un personnage que l’on découvre également ici.

On se familiarise avec les différents lieux de l’école de Poudlard et son univers magique, les cours qui y sont dispensés, on assiste aux entrainements et aux matchs de Quidditch et bien sûr on découvre cette fameuse chambre des secrets.

Un univers magique qui fait rêver, plein de trouvailles avec un imaginaire foisonnant, du suspens mais aussi plein d’humour avec la baguette de Ron qui fait des siennes, les scènes avec Lockhart, les beuglantes…

Une deuxième incursion dans l’univers créé par J.K Rowling qui s’est révélée distrayante, on ne s’ennuie pas une seconde avec Harry, Ron et Hermione, car les évènements s’enchaînent sans temps mort et même en connaissant les grandes lignes de l’histoire, j’ai pris plaisir à suivre les péripéties de nos jeunes sorciers dans ce monde plein de magie.

Vous l’aurez compris, je ressors séduite de ma lecture de Harry Potter et la chambre des secrets, je continue donc la saga, ça tombe bien Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban est dans ma PAL. Belette a adoré se replonger dans l’univers de Poudlard, son avis ici !

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Le jour de ses onze ans, Harry Potter, un orphelin élevé par un oncle et une tante qui le détestent, voit son existence bouleversée. Un géant vient le chercher pour l’emmener à Poudlard, une école de sorcellerie ! Voler en balai, jeter des sorts, combattre les trolls : Harry se révèle un sorcier doué. Mais un mystère entoure sa naissance et l’effroyable V., le mage dont personne n’ose prononcer le nom.

Orphelin de père et de mère, Harry Potter vit depuis leur disparition alros qu’il n’était qu’un jeune bébé, chez Mr et Mrs Dursley, au 4 Privet Drive. Souffre-douleur de son cousin Dudley, il est cantonné à un placard sous l’escalier, subissant les remontrances perpétuelles de son oncle et de sa tante, sans qu’il ne comprenne pourquoi il déclenche autant d’hostilités de leur part, si ce n’est qu’il se passe parfois de drôles de choses dans son sillage.

Le jour de ses onze ans, Harry reçoit une lettre, une grande première pour lui qui n’a aucun ami ni de famille en dehors des Dursley mais il ne parvient pas en lire le contenu puisque son oncle la subtilise. Dans les jours qui suivent, d’autres courriers arrivent, toujours interceptés par son oncle, empêchant Harry de les lire, jusqu’à ce qu’un géant fasse son apparition et lui apprenne qu’il est attendu à Poudlard !

Harry ne connaît pas cette école, il devait intégrer le collège de sa petite ville, et Hagrid lui révèle que ses parents étaient magiciens et qu’ils ne sont pas morts dans un accident de voiture comme il le croyait mais victimes de Voldemort…

Y-a-t-il encore besoin de présenter Harry Potter, le jeune sorcier aux lunettes rondes et à la cicatrice en forme d’éclair sur le front ? Je ne le pense pas mais je vais peut-être vous surprendre en vous révélant que c’est ma première incursion dans l’univers magique créé par J.K Rowling car j’ai découvert cette série de romans grâce aux films dont ils sont les adaptations.

Lorsque cette saga a commencé à paraître il y a vingt ans, j’étais déjà une adulte depuis quelques années et il ne me serait jamais venu à l’esprit à cette époque-là de lire de la littérature jeunesse ! J’ai donc observé le phénomène de loin et ne m’y suis intéressée que récemment, à l’occasion du visionnage des films avec mes garçons, ce qui m’a donné envie de lire les romans.

Bien que l’histoire était encore très fraîche dans ma tête, le film étant l’exacte adaptation de ce volume, je n’ai pas boudé mon plaisir en découvrant Harry Potter à l’école des sorciers. Même si ce n’est pas un coup de coeur, j’ai dévoré ce tome d’introduction de la saga Harry Potter, notamment grâce à la plume fluide de son auteure.

L’univers très riche imaginé par J.K Rowling et la galerie de personnages qu’elle met en scène ne sont pas en reste pour me faire apprécier cette série même si mon enfance est loin derrière moi, j’ai eu à nouveau onze ans, l’âge d’Harry, le temps de ma lecture !

Le début du récit est un peu dur car Harry est bien maltraité par sa famille et par son cousin, il souffre du harcèlement scolaire de ses camarades qui craignent tous sa brute de cousin, j’avais donc hâte qu’Hagrid l’emmène loin des Dursley et que Harry fasse sa rentrée à Poudlard, et à partir de ce moment-là, quel régal.

Dans ce premier tome, on se familiarise surtout avec l’ensemble des protagonistes (élèves comme professeurs), de l’école de Poudlard et de son univers magique, des cours qui y sont dispensés, des matchs de Quidditch et bien sûr on fait la connaissance de l’ennemi juré de Potter : Voldemort.

Ce qui n’empêche pas J.K Rowling de nous proposer une intrigue pleine de mystères, de rebondissements, de sorts, d’animaux fantastiques et de péripéties en tous genres pour nos jeunes héros que sont Harry, Ron, Hermione et Neville.

Harry Potter à l’école des sorciers signe donc une entrée en matière réussie dans l’univers d’Harry Potter, j’espère bien lire Harry Potter et la chambre des secrets en mars car ce premier tome m’a donné envie de continuer cette saga.

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