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Posts Tagged ‘jodi Taylor’

Lu dans le cadre du Cold Winter Challenge

Née à Bristol, Jodi Taylor s’est d’abord fait connaître en autopublication. Le premier titre de sa série » Les Chroniques de St Mary » a très vite rencontré son public, dépassant les 60 000 lecteurs avec plus de mille 5 étoiles.

Max est de retour ! Un nouveau mari, un nouveau job et cinq nouvelles recrues sous sa responsabilité…

En tant que nouvelle directrice de la formation de St Mary, la jeune historienne a prévu un programme de formation imparable et accéléré.

Un bébé mammouth, Hérodote et son double, Jeanne d’Arc, des chasseurs de l’Âge de pierre et des policiers qui auraient sûrement mieux à faire ailleurs…

Les missions se succèdent et tout le monde se pose la même question : que faudra-t-il faire en cas de problème ?

Vous vous souvenez sans doute que je suis assidûment Les Chroniques de St Mary, dont j’ai lu et beaucoup apprécié les cinq premiers volumes Un monde après l’autre, D’Echo en échos, Une seconde chance, Une trace dans le temps et Hier ou jamais.

En cas de problème m’a donc permis de renouer avec St Mary et Max, le Chef Farrell, Guthtrie, Tim Peterson, Mrs Partridge et l’ensemble des protagonistes de cet institut pas comme les autres, où les catastrophes en tout genre sont légion.

Si cette série comprend quelques faiblesses et redondances, elle est avant tout distrayante et enrichissante, j’ai donc plaisir à retrouver deux fois par an les voyages dans le temps et à suivre nos héros aux prises avec de grands évènements de l’histoire tels que l’éxécution de Jeanne d’Arc, la mort de Richard III, renconter Hérodote, parcourir la vallée des rois ou assister à une chasse aux mamouths en compagnie des hommes de Néhanderthal et des sapiens…

Les missions vont, comme toujours, réserver leur lot de surprises et de catastrophes, ce ne serait pas St Mary sinon ! Et quel plaisir une fois encore de retrouver Max et la plume enlevée et pleine d’humour de Jodi Taylor.

J’aime toujours autant me retrouver plongée au cœur des différentes époques historiques et d’apprendre une multitude de choses, car l’Histoire c’est mon dada comme vous avez du le remarquer !

Tout ce qui fait le sel de cette série est bel et bien là : une intrigue menée tambour battant, beaucoup d’humour, de l’action, une bonne dramaturgie et des personnages attachants.

Jodi Taylor nous propose donc une fois de plus, un roman d’aventures très rythmé, porté par une héroïne maladroite et particulièrement casse-cou qui sème inéluctablement le chaos autour d’elle et qui nous happe dès la première page.

Max, véritable poissarde de l’Histoire, essuie bien des revers mais c’est une héroïne très courageuse, pleine de ressources et qui finit toujours par rebondir. Quoiqu’il arrive, cette jeune femme est très attachante et on prend plaisir à la suivre au fil de ses aventures historiques.

J’ai particulièrement apprécié dans ce tome que les problèmes internes à l’institut soient laissés de côté au profit des sauts dans le temps, même si par là même, certains protagonistes récurrents disparaissent au profit des jeunes recrues, qui je l’espère, seront présents dans les tomes suivants et un peu plus développés car pour l’instant, ils manquent d’épaisseur.

Vous l’aurez compris : cette série est à découvrir, même si, comme moi, vous n’êtes pas une adepte de la science-fiction, si vous aimez lorsqu’il y a du rythme, de l’humour, de l’Histoire et du second degré, je ne peux que vous la conseiller.

Un grand merci à l’agence Agnès Chalnot Communication et aux Editions HC pour cette lecture palpitante, j’ai adoré !

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Lu dans le cadre du Mois anglais

Née à Bristol, Jodi Taylor s’est d’abord fait connaître en autopublication. Le premier titre de sa série » Les Chroniques de St Mary » a très vite rencontré son public, dépassant les 60 000 lecteurs avec plus de mille 5 étoiles.

La jeune historienne docteur Madeleine Maxwell et son équipe ont finalement récupéré de leurs blessures et la vie reprend tranquillement son cours à l’institut… jusqu’aux prochaines catastrophes.

Prise au piège dans le grand incendie de Londres, puis piégée aux Thermopyles, Max doit lutter pour remettre l’Histoire sur les rails. Et éviter de voir le monde occidental bouleversé.

Mais il va d’abord falloir passer la  » fête de St Mary « , qui promet de très mal finir pour tout le monde.

Une seule chose est certaine, rien n’est jamais  » tranquille  » à St Mary !

Vous vous souvenez sans doute que je suis assidûment Les Chroniques de St Mary, dont j’ai lu et beaucoup apprécié les quatre premiers volumes Un monde après l’autre, D’Echo en échos, Une seconde chance et Une trace dans le temps.

Hier ou jamais m’a donc permis de renouer avec St Mary et Max, le Chef Farrell, Guthtrie, Tim Peterson, Mrs Partridge et l’ensemble des protagonistes de cet institut pas comme les autres.

Si le précédent opus m’avait un peu déçue, j’ai été ravie de retrouver les voyages dans le temps et suivre nos héros aux prises avec de grands évènements de l’histoire tels que le grand incendie de Londres de 1666, le bûcher des vanités de Savonarole à Florence en 1497 ou la bataille des Thermopyles en 480 avant notre ère.

Quel plaisir une fois encore de retrouver Max la poissarde et la plume enlevée et pleine d’humour de Jodi Taylor. J’aime toujours autant me retrouver plongée au cœur des différentes époques historiques et d’apprendre une multitude de choses, car l’Histoire c’est mon dada comme vous avez du le remarquer !

Tout ce qui fait le sel de cette série est bel et bien là : une intrigue menée tambour battant, beaucoup d’humour, de l’action, une bonne dramaturgie et des personnages attachants.

Jodi Taylor nous propose donc une fois de plus, un roman d’aventures très rythmé, porté par une héroïne maladroite et particulièrement casse-cou qui sème inéluctablement le chaos autour d’elle et qui nous happe dès la première page.

Max, véritable poissarde de l’Histoire, essuie bien des revers mais c’est une héroïne très courageuse, pleine de ressources et qui finit toujours par rebondir. Quoiqu’il arrive, cette jeune femme est très attachante et on prend plaisir à la suivre au fil de ses aventures historiques.

Vous l’aurez compris cette série est à découvrir, même si vous n’êtes pas une adepte de la science-fiction comme moi, si vous aimez lorsqu’il y a du rythme, de l’humour, de l’Histoire et du second degré, je ne peux que vous la conseiller.

Un grand merci à l’agence Agnès Chalnot Communication et aux Editions HC pour cette lecture palpitante, j’ai adoré !

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Née à Bristol, Jodi Taylor s’est d’abord fait connaître en autopublication. Le premier titre de sa série  » Les Chroniques de St Mary  » a très vite rencontré son public, dépassant les 60 000 lecteurs avec plus de mille 5 étoiles.

A l’institut St Mary de recherche historique, les historiens n’étudient pas seulement le passé, ils le visitent. Le docteur Maxwell et ses excentriques confrères historiens partent pour de nouvelles aventures à travers le temps.

Max et Leon se sont retrouvés dans un monde parallèle et espèrent enfin bien mener une vie paisible… mais c’est sans compter la police du temps qui ne leur laissent même pas le temps de prendre leur petit déjeuner !

Dans une course poursuite effrénée, Max et Léon doivent sauter de lieux en lieux et d’époque en époque. C’est ainsi qu’ils se retrouvent successivement en Angleterre au XVIIè siècle, à Pompéi le jour de l’éruption qui a figé la cité sous la cendre et même en Egypte Antique sous le règne d’Akhenaton.

Mais ils finissent par retourner à St Mary où de grands dangers les attendent. Débordé, en infériorité numérique et avec son bâtiment sur le point de s’écrouler, comment l’institut pourra-t-il survivre ?

Vous vous souvenez sans doute que je suis assidûment Les Chroniques de St Mary, dont j’ai lu et beaucoup apprécié les trois premiers volumes Un monde après l’autre, D’Echo en échos et Une seconde chance.

J’attendais donc avec impatience de retrouver Max, le Chef Farrell, Guthtrie, Tim Peterson, Mrs Partridge et l’ensemble des protagonistes de cet institut pas comme les autres.

Et si j’ai trouvé ce quatrième tome moins passionnant, j’ai malgré tout pris du plaisir à lire Une trace dans le temps. Après le dénouement

plein de surprise à la fin du tome 3, le tome 4 démarre sur les chapeaux de roue avec un rythme soutenu jusqu’à la dernière page.

Que de courses poursuites, de jeux de cache-cache temporel dans ce nouvel opus dominé par la guerre que se livrent l’institut St Mary pour sa survie et la police du temps, chargée de traquer ceux qui attentent aux lois qui régissent les sauts dans le temps.

Quel plaisir une fois encore de retrouver Max la poissarde et la plume enlevée et pleine d’humour de Jodi Taylor même si ce tome de transition d’un monde parallèle à l’autre m’a un peu laissée sur ma faim car ce que j’adore dans cette série, c’est de me retrouver plongée au cœur de différentes époques historiques et d’apprendre une multitude de choses, car l’Histoire c’est mon dada comme vous avez du le remarquer !

Ici le rythme est trépidant avec une course poursuite à travers le temps et une guerre avec des scènes de bataille dans l’institut. Les seules pauses historiques que nous offre l’autrice se trouvent en tout début de roman et après, plus rien !

Tout ce qui fait le sel de cette série est pourtant bel et bien là : une intrigue menée tambour battant, beaucoup d’humour, de l’action, une bonne dramaturgie et des personnages attachants.

Jodi Taylor nous propose donc une fois de plus, un roman d’aventures très rythmé, porté par une héroïne maladroite et particulièrement casse-cou qui sème inéluctablement le chaos autour d’elle et qui nous happe dès la première page.

Max, véritable poissarde de l’Histoire, essuie bien des revers mais c’est une héroïne très courageuse, pleine de ressources et qui finit toujours par rebondir. Quoiqu’il arrive, cette jeune femme est très attachante et on prend plaisir à la suivre au fil de ses aventures historiques.

Si j’aime toujours autant cette série, je dois dire que cette grande bataille au sein de l’institut ne m’a guère passionnée et j’ai été chagrinée que l’aspect voyage dans le temps, ce qui me plait le plus ici, soit très anecdotique.

J’espère donc que le cinquième volume à paraître en février renouera avec les voyages dans le temps et que l’actrice sortira de sa zone de confort afin de nous offrir une intrigue plus originale.

Vous l’aurez compris cette série est à découvrir et si comme moi vous aimez lorsqu’il y a du rythme, de l’humour, de l’Histoire et du second degré, je ne peux que vous la conseiller.

Si le cœur vous en dit, les Chroniques de St Mary ont un site dédié et des livres sont à gagner : http://www.chroniquesstmary.com, tentez votre chance !

Merci à l’agence Agnès Chalnot Communication et aux Editions HC pour cette lecture palpitante, j’ai adoré !

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Lu dans le cadre du Mois Anglais :

St Mary est de retour et rien ne va plus pour le docteur Maxwell. Une fois encore, l’institut très spécial de recherche historique St Mary, qui détient le secret du voyage dans le temps, passe d’une catastrophe à une autre.
De la rencontre avec Isaac Newton au champ de bataille sanglant d’Azincourt, rien ne se déroule 
comme prévu. Mais c’est surtout à Troie, alors qu’Achille et Hector s’apprêtent à s’affronter sous ses yeux, que le destin de Max va se jouer. Car si elle espère pouvoir percer le mystère du cheval de Troie, expliquer la destruction de cette cité mythique et toucher du doigt le destin tragique de Cassandre, elle va aussi devoir faire des choix irréversibles.

A l’institut St Mary de recherche historique, les historiens n’étudient pas seulement le passé, ils le visitent. Le docteur Maxwell et ses excentriques confrères historiens partent pour de nouvelles aventures à travers le temps.

La directrice du département d’Histoire, Max, va enfin réaliser le voyage de sa vie : aller à Troie, assister à la fin de la guerre qui opposaient troyens et grecs, sujet de l’Illiade d’Homère.
Après cette dernière mission, elle a promis au chef Leon Farrell de raccrocher et de s’installer avec lui pour mener une vie paisible. Mais en attendant, elle doit réaliser un petit saut de rien du tout afin de permettre au docteur Penrose de rencontrer son idole : Isaac Newton.

Comme toujours avec Max, la mission ne se passe pas exactement comme prévu mais ils parviennent à échapper à une foule qui menaçait de les lyncher et à rentrer sains et saufs à St Mary.

Quelques semaines plus tard, l’heure du grand départ pour Troie a sonné, plusieurs équipes sont du voyage, Max, responsable de la mission, monte à bord de sa capsule 8 mais là non plus tout ne va pas se passer comme prévu…

Vous vous souvenez sans doute que j’avais découvert l’an dernier Les Chroniques de St Mary, dont j’ai lu et beaucoup apprécié les deux premiers volumes Un monde après l’autre et d’Echo en échos.

J’attendais donc avec impatience de retrouver Max, le Chef Farrell, Guthtrie, Tim Peterson, Mrs Partridge et l’ensemble des protagonistes de cet institut pas comme les autres.

Et si j’ai trouvé ce troisième tome moins surprenant puisque je connaissais déjà l’univers, j’ai malgré tout pris beaucoup de plaisir à lire Une seconde chance que j’ai trouvé très réussi.

Car tout ce qui fait le sel de cette série est bel et bien là : une intrigue menée tambour battant, beaucoup d’humour, de l’action, des épisodes de l’histoire mondiale bien racontés, une bonne dramaturgie et des personnages attachants. Une fois de plus, les pages se tournent toutes seules et on ne s’ennuie pas une seconde en compagnie de Max et de ses collègues.

Jodi Taylor nous propose ici un roman d’aventures très rythmé, porté par une héroïne maladroite et particulièrement casse-cou qui sème inéluctablement le chaos autour d’elle et qui nous happe dès la première page.

Et ferrés, nous le sommes jusqu’au point final car l’auteure tisse très habilement sa toile et nous propose une intrigue haletante et des voyages dans le passé ou le futur qui donnent diablement envie d’intégrer l’institut St Mary !

Max, véritable poissarde de l’Histoire, essuie bien des revers mais c’est une héroïne très courageuse, pleine de ressources et qui finit toujours par rebondir. Quoiqu’il arrive, cette jeune femme est très attachante et on prend plaisir à la suivre au fil de ses aventures historiques.

Si le voyage dans le temps est bien la thématique principale du roman, les différents épisodes historiques sont bien traités, l’auteure s’appuie sur de solides recherches pour ses reconstitutions et ça se sent à la lecture.

J’aime beaucoup également les passages qui ont pour cadre l’institut St Mary en lui-même avec ses historiens, ses techniciens, ses informaticiens, son infirmerie et son équipe de sécurité.

Il y a beaucoup de ressorts dramatiques car comme je le disais plus haut les missions virent tout le temps à la catastrophe mais aussi pas mal d’humour et surtout énormément de rythme et de rebondissements, Jodi Taylor relance sans cesse notre intérêt et on se surprend à regretter d’arriver si promptement au point final.

J’aime vraiment ce mélange entre Histoire, fantastique et action. On peut reprocher toutefois à l’auteure son manichéisme avec d’un côté les gentils vraiment gentils et de l’autre les méchants vraiment méchants, c’est mon seul bémol mais ça ne gâche néanmoins pas ma lecture.

Vous l’aurez compris cette série me régale et si comme moi vous aimez lorsqu’il y a du rythme, de l’humour et du second degré, je ne peux que vous le conseiller car j’ai passé un très bon moment avec Max et les équipes de St Mary.

Si le cœur vous en dit, les Chroniques de St Mary ont un site dédié et des livres sont à gagner : http://www.chroniquesstmary.com, tentez votre chance !

Merci à l’agence Agnès Chalnot Communication et aux Editions HC pour cette lecture palpitante, j’ai adoré !

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Les visites dans le passé reprennent à l’institut de recherche historique de St Mary.
Maxwell et ses excentriques confrères historiens partent pour de nouvelles aventures à travers le temps. Promue directrice du département d’Histoire, Maxwell va contrer, à l’aide de son équipe, les plans de leurs ennemis qu’ils croyaient neutralisés. C’est l’Histoire tout entière qui est menacée par ces fantômes du passé.
Au bord du burn out, l’historienne utilise ses dernières forces pour maintenir l’équilibre dans l’Histoire et dans sa vie privée. Non sans rudesse, elle doit faire face à l’attaque de Jack l’Éventreur, à un St Mary du futur quelque peu différent, un séjour improvisé à Ninive, ou encore à la mort étrange d’Élizabeth Ière d’Angleterre.

A l’institut St Mary de recherche historique, les historiens n’étudient pas seulement le passé, ils le visitent. Le docteur Maxwell et ses excentriques confrères historiens partent pour de nouvelles aventures à travers le temps.

Promue directrice du département d’Histoire, Max va contrer, à l’aide de son équipe, les plans de leurs ennemis qu’ils croyaient neutralisés. C’est l’Histoire toute entière qui est menacée par ces fantômes du passé.

Au bord du burn out, l’historienne utilise ses dernières forces pour maintenir l’équilibre dans l’Histoire et dans sa vie privée. Non sans rudesse, elle doit faire face à un premier péril et non des moindres : Jack l’Eventreur…

Vous vous souvenez sans doute que j’avais découvert il y a déjà plusieurs mois de cela le premier tome des Chroniques de St Mary, Un monde après l’autre, que j’avais beaucoup aimé.

J’attendais donc avec impatience de retrouver Max, le Chef Farrell, Guthtrie, Tim, Mrs Partridge et l’ensemble des protagonistes de cet institut pas comme les autres. Et si j’ai trouvé ce second tome moins surprenant puisque je connaissais déjà l’univers, j’ai tout autant aimé D’écho en échos que j’ai trouvé très réussi.

Car tout ce qui faisait le sel du premier tome est bel et bien là : une intrigue à cent à l’heure, beaucoup d’humour, d’action, une bonne dramaturgie et des personnages attachants. Une fois de plus, les pages se tournent toutes seules et on ne s’ennuie pas une seconde en compagnie de Max et de ses collègues.

Jodi Taylor nous propose ici un roman d’aventures très rythmé, porté par une héroïne maladroite qui sème inéluctablement le chaos autour d’elle. D’emblée, elle ferre lecteurs et lectrices avec une scène inaugurale forte en adrénaline puisque Max et Kal se retrouvent nez à nez avec le tueur en série le plus célèbre de l’Histoire : Jack l’éventreur.

Et ferrés, nous le sommes jusqu’au point final car l’auteure tisse très habilement sa toile et nous propose une intrigue haletante et des voyages dans le passé ou le futur qui donnent diablement envie d’intégrer l’institut St Mary !

Max, véritable poissarde de l’Histoire, essuie bien des coups durs mais c’est une héroïne avec des failles, très courageuse, pleine de ressources et qui finit toujours par rebondir, quoiqu’il arrive, elle est très attachante et l’ensemble des personnages est à l’avenant.

Si le voyage dans le temps est bien la thématique principale du roman, l’histoire a le plus souvent pour cadre l’institut St Mary avec ses historiens, ses techniciens, ses informaticiens, son infirmerie et son équipe de sécurité.

Il y a beaucoup de ressorts dramatiques car comme je le disais plus haut les missions virent tout le temps à la catastrophe mais aussi pas mal d’humour et surtout énormément de rythme et de rebondissements, Jodi Taylor relance sans cesse notre intérêt et on se surprend à regretter d’arriver si promptement au point final.

J’ai vraiment aimé le mélange Histoire, fantastique et action. On peut reprocher toutefois à l’auteure son manichéisme avec d’un côté les gentils vraiment gentils et de l’autre les méchants vraiment méchants, c’est mon seul bémol.

Vous l’aurez compris ce roman qui mêle Histoire et science-fiction est vraiment passionnant, il y a du rythme, de l’humour et du second degré, je ne peux que vous le conseiller dès 15 ans car j’ai passé un très bon moment avec Max et les équipes de St Mary.

Si le cœur vous en dit, les Chroniques de St Mary ont un site dédié et des livres sont à gagner : http://www.chroniquesstmary.com, tentez votre chance !

Merci à l’agence Agnès Chalnot Communication et aux Editions HC pour cette lecture palpitante, j’ai adoré !

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Derrière l’innocente façade de St Mary, le secret du voyage dans le temps a été découvert et reste bien gardé. Les chercheurs en Histoire ont ainsi une méthode de travail tout à fait particulière : ils  » étudient ‘en temps réel’ les événements majeurs de l’Histoire « . En se faisant passer pour d’inoffensifs excentriques, ils tentent de répondre à certaines questions qui n’ont jamais été résolues, sans jamais toucher au cours de l’Histoire… au risque d’en mourir.
Madeleine Maxwell, une jeune et brillante historienne est contactée par son ancien professeur afin de rejoindre l’équipe de l’Institut St Mary. Au cours de son étrange entretien d’embauche, Maxwell comprend vite les possibilités qui s’offrent à elle…
De la disparition de Pompéi aux tranchées de la Première Guerre mondiale, du grand incendie de Londres à la destruction de la bibliothèque d’Alexandrie, la jeune historienne va revivre d’extraordinaires événements. Alors qu’au sein de l’institut naissent des enjeux de pouvoir…

À l’institut St Mary de recherche historique, les historiens n’étudient pas seulement le passé, ils le visitent. C’est ce que découvre Madeleine Maxwell, qui vient de terminer de brillantes études en histoire lorsqu’elle est approchée par son ancienne professeure principale, Mrs de Winter.

Elle débarque alors à St Mary pour rencontrer le Dr Edward Bairstow qui dirige l’institut et toute son équipe. St Mary a mis au point des capsules qui permettent à ses historiens de voyager dans le temps sans toutefois interférer dans le cours des évènements.

Le but du jeu : donner leur point de vue sur des grands évènements historiques d’une manière des plus originales, en y prenant part !

C’est ainsi que pour ses premières missions, Madeleine se retrouve propulsée au Moyen-Age ou dans un hôpital de campagne à quelques kilomètres des tranchées en 1917. Des voyages d’entraînement afin de la préparer à un voyage dans le temps jamais tenté : se retrouver en plein milieu du Crétacé afin d’étudier certaines espèces de dinosaures…

Vous le savez certainement si vous me suivez depuis un moment, je ne lis jamais de SF ou de fantastique bien que parfois il m’arrive de découvrir des dystopies ou de la fantaisy. Mais la thématique du voyage dans le temps m’intéresse beaucoup j’ai donc plongé avec grand plaisir dans le premier tome des Chroniques de St Mary et comme j’ai bien fait car j’ai adoré Un monde après l’autre.

Un monde après l’autre est le premier opus d’une série qui en compte d’ores et déjà neuf et si tous sont du même calibre que celui-ci, cela promet de belles heures de lecture en perspective. Jodi Taylor nous propose ici un roman d’aventures très rythmé, porté par une héroïne maladroite qui sème inéluctablement le chaos autour d’elle.

Madeleine se révèle être une véritable poissarde et toutes les missions virent à la catastrophe, entrainant inéluctablement son lot de blessés et de morts mais elle-même n’est jamais épargné et se retrouve à l’infirmerie à tous les coups. Elle est aussi intelligente, drôle, agaçante qu’attachante et j’ai eu beaucoup de plaisir à la suivre tout au long du récit.

Si le voyage dans le temps est bien la thématique principale du roman, l’histoire a le plus souvent pour cadre l’institut St Mary avec ses historiens, ses techniciens, ses informaticiens, son infirmerie et son équipe de sécurité. De la formation de Max jusqu’aux missions, on découvre tout avec émerveillement : les personnages, les équipes, les relations entre eux, les recherches farfelues, les bâtiments qui explosent… et c’est tout aussi passionnant que les voyages en eux-mêmes.

Il y a beaucoup de ressorts dramatiques car comme je le disais plus haut les missions virent tout le temps à la catastrophe mais aussi pas mal d’humour et surtout énormément de rythme et de rebondissements, Jodi Taylor relance sans cesse notre intérêt et on se surprend à regretter que ce premier tome ne fasse que 350 pages !

J’ai vraiment aimé le mélange Histoire, fantastique et action. On peut reprocher toutefois à l’auteure son manichéisme avec d’un côté les gentils vraiment gentils et de l’autre les méchants vraiment méchants, c’est mon seul bémol.

Vous l’aurez compris ce roman qui mêle Histoire et science-fiction m’a vraiment régalé, il y a du rythme, de l’humour et du second degré, je ne peux que vous le conseiller dès 15 ans car j’ai passé un très bon moment avec Max et les équipes de St Mary.

Merci à l’agence Agnès Chalnot Communication et aux Editions HC pour cette lecture palpitante, j’ai adoré !

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