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Posts Tagged ‘l'immeuble de la rue cavendish caroline kant’

Caroline Kant a longtemps vécu à Paris, rue Cavendish. Aujourd’hui, elle a quitté la ville, et partage son temps entre l’écriture et divers métiers.

Hermine a toujours admiré sa collègue Yasmine, bénévole auprès des mineurs sans-papiers. Alors quand celle-ci lui demande d’accueillir un adolescent de seize ans, elle ne peut pas refuser.

L’arrivée d’Ismaël bouleverse sa vie… et celle de ses voisins ! Mais quelle chance d’être si bien entourée : Margaux est toujours de bon conseil et Joshua, toujours là pour elle. Surtout qu’Hermine n’est pas au bout de ses peines.

Au travail, un instit’ fraîchement débarqué la colle sans arrêt. Et c’est sans parler de la nouvelle fiancée de Jo, parfaite et exaspérante. À se demander si Hermine retrouvera un jour sa vie tranquille…

Après Les manigances de Margaux, Charlotte se cherche et Lucie se rebiffe, j’avais hâte de retrouver la plume de Caroline Kant et les habitants de l’immeuble de la rue Cavendish. Aussitôt reçu, aussitôt lu, ce quatrième tome, Les tourments d’Hermine, se dévore et je l’ai adoré !

Je crois même que c’est mon préféré tant j’ai aimé l’héroïne, les différents protagonistes et les thèmes sociétaux abordés. Caroline Kant n’a pas son pareil pour nous faire rire et nous émouvoir, mêler légèreté et moments plus graves et d’aborder des faits de société très actuels de manière toujours juste et sincère.

Cette série pleine de pep’s et d’humour, se révèle enlevée et moderne et entend traiter de sujets de société, du plus léger au plus grave. Porté par une plume alerte dans le décor vivant et chaleureux du quartier des Buttes-Chaumont, dans le XIXè arrondissement de Paris, ce quatrième volume fut très agréable à lire mais aussi très prenant, tellement prenant que je l’ai lu en une journée !

Chaque tome est porté par un habitant différent de cet immeuble haussmannien typiquement parisien. L’immeuble de la rue Cavendish, véritable microcosme de la société, ne manque pas d’animation : entre les voisins qui s’installent, ceux qui disparaissent du jour au lendemain et les autres qui tombent amoureux, on ne s’ennuie jamais ! Et encore moins quand la mystérieuse chambre de bonne livre peu à peu ses secrets.

J’adore les romans qui nous font entrer au coeur des immeubles avec des personnages très variés, une belle solidarité et des thèmes de société, et c’est exactement ce que propose Caroline Kant, je ressors donc enchantée de cette lecture.

J’ai vraiment adoré ce quatrième volume qui se lit tout seul ! L’histoire d’Hemine est pleine d’humour, de chaleur, d’amitié, d’entraide mais des thèmes plus graves la traversent aussi : le sort des migrants, la solitude, la précarité, le harcèlement, l’emprise, la maladie…

Hermine est une institutrice qui aime son métier. Issue d’une famille bourgeoise, elle a préféré une existence plus simple au grand dam de sa famille qui attendait d’elle un bon mariage. Très attachante, gentille et généreuse, soucieuse des autres, elle va être un soutien précieux pour Ismaël auquel elle va très vite s’attacher.

J’ai beaucoup aimé Ismaël, son parcours depuis le Mali pour rejoindre la France est édifiant et nous fait prendre conscience de la difficulté pour ces adolescents de quitter pays et famille pour l’espoir d’une vie meilleure.

Comme dans les trois premiers opus, le récit se concentre sur une habitante, Hermine, mais on retrouve aussi au gré de ses rencontres, Margaux, Victoire, Guy, Markus et Jérôme, Lucie, Aimée… Les habitants de cet immeuble sont bien sympathiques et j’ai d’ores et déjà hâte de les retrouver dans le cinquième tome.

J’adore cette saga en six tomes et cela va être bien long d’attendre le prochain opus prévu pour mars 2024 ! Si vous ne la connaissez pas, foncez, vous ne serez pas déçu.es !

Un grand merci aux éditions Les escales pour cet excellent moment de lecture.

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Caroline Kant a longtemps vécu à Paris, rue Cavendish. Aujourd’hui, elle a quitté la ville, et partage son temps entre l’écriture et divers métiers.

Quand son cher époux est mort, Lucie ne s’attendait certainement pas à hériter de… ses dettes. Ses enfants ne lui parlent plus (il faut dire qu’elle n’a jamais pu retenir le prénom de ses petits-enfants) et, ruinée, elle est obligée de déménager ! En plus, ses nouveaux voisins sont insupportables – surtout le petit Hyppolite, un vrai pot de colle.

Heureusement que Lucie peut se changer les idées avec ses meilleures amies et le charmant Henri qu’elle vient de rencontrer. Mais les apparences sont trompeuses et, alors que Lucie découvre des qualités insoupçonnées chez ses hurluberlus de voisins, son nouveau et mystérieux prétendant n’est peut-être pas celui qu’elle croit…

Après Les manigances de Margaux et Charlotte se cherche, j’avais hâte de retrouver Caroline Kant à l’occasion de Lucie se rebiffe, troisième tome de sa saga en six tomes : L’immeuble de la rue Cavendish.

Et ce dernier opus confirme tout le bien que je pense de cette série que je vous recommande chaudement, le plus dur va être maintenant d’attendre la parution du prochain volume en mars 2023 !

Cette série pleine de pep’s et d’humour, se révèle enlevée et moderne et entend traiter de sujets de société, du plus léger au plus grave. Porté par une plume alerte dans le décor vivant et chaleureux du quartier des Buttes-Chaumont, dans le XIXè arrondissement de Paris, ce second volume fut très agréable à lire mais aussi très prenant, tellement prenant que je l’ai lu en une journée !

Chaque tome est porté par un habitant différent de cet immeuble haussmannien typiquement parisien. L’immeuble de la rue Cavendish, véritable microcosme de la société, ne manque pas d’animation : entre les voisins qui s’installent, ceux qui disparaissent du jour au lendemain et les autres qui tombent amoureux, on ne s’ennuie jamais ! Et encore moins quand la mystérieuse chambre de bonne livre peu à peu ses secrets.

J’adore les romans qui nous font entrer au coeur des immeubles avec des personnages très variés, une belle solidarité et des thèmes de société, et c’est exactement ce que propose Caroline Kant, je ressors donc enchantée de cette lecture.

J’ai vraiment adoré ce troisième volume qui se lit tout seul ! L’histoire de Lucie est pleine d’humour, de chaleur, d’amitié, d’entraide mais des thèmes plus graves la traversent aussi : le deuil, la solitude, la précarité, la faiblesse, la maternité, la famille, l’emprise…

Lucie est une femme qui, au départ, n’est pas très sympathique, pleine de préjugés et attachée à ses valeurs bourgeoises, qui vit très mal son déclassement et sa nouvelle précarité mais elle se révèle finalement très attachante, gentille et généreuse, soucieuse des autres, et elle va finir par très bien s’intégrer à l’immeuble et partager de bons moments avec les habitants.

Comme dans les deux premiers opus, le récit se concentre sur Lucie, la nouvelle venue, mais on retrouve aussi au gré de ses rencontres, Margaux, Victoire, Guy, Markus et Jérôme… Les habitants de cet immeuble sont bien sympathiques et j’ai d’ores et déjà hâte de les retrouver dans le quatrième tome à paraître en mars.

Malgré un dénouement un peu trop rapide, j’ai passé un chouette moment de détente avec ce roman, une parenthèse bienvenue dans ces temps bien moroses.

Un grand merci aux éditions Les escales pour cette lecture distrayante mais pas que !

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