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Posts Tagged ‘loveday & ryder’

Faith Martin, également connue sous son véritable nom, Jacquie Walton, est l’autrice de nombreux romans policiers à succès. Née à Oxford et amoureuse de la campagne anglaise, elle situe nombre de ses romans dans le cadre bucolique de la région oxonienne.

Printemps 1962. Alors que le paisible village de Middle Fenton s’apprête à célébrer le 1er  Mai, une jeune femme est retrouvée étranglée et ligotée au mât à rubans.

Une semaine plus tard, son petit ami est découvert pendu dans une grange. Le jeune homme se serait donné la mort après avoir tué sa fiancée – c’est du moins ce qu’en déduit la police, mais cette conclusion est loin de faire l’unanimité.

La policière Trudy Loveday et son complice, le coroner Clement Ryder, ont tôt fait de comprendre qu’un meurtrier court encore dans la nature.

Mais le tueur a déjà prouvé qu’il était prêt à éliminer toute personne qui chercherait à le confondre… Auront-ils le temps de démasquer l’assassin avant qu’il ne frappe à nouveau  ?

Couronnement fatal à Middle Fenton est la sixième enquête de Loveday & Ryder, l’une de mes séries de cosy mystery préférés ! Et à chaque fois, quel bonheur de retrouver Oxford, son atmosphère surannée des sixties et surtout ses deux protagonistes, la jeune policière Trudy Loveday et le coroner Clément Ryder.

Cette série consacrée à Loveday & Ryder et écrite par Faith Martin met en scène un duo d’enquêteurs pas comme les autres, formé d’une jeune stagiaire Trudy Loveday qui rêve d’intégrer les rangs de la police en tant qu’enquêtrice à une époque où les femmes policières sont rares ; et de Clement Ryder, un ancien chirurgien devenu coroner depuis qu’il est atteint de Parkinson. Une maladie, dont il n’a informé et qu’il a de plus en plus de mal à cacher.

Cette nouvelle enquête est très réussie et le temps de ma lecture, j’ai eu l’impression de séjourner à Oxford en 1962 ! L’intrigue policière est classique mais efficace, l’autrice prend son temps pour jeter les bases de son récit, nous présenter les divers personnages. Rien de révolutionnaire mais une ambiance feutrée tellement agréable qu’on se croirait dans une enquête signée Agatha Christie.

Même si Faith Martin ne dame pas le pion à la reine du crime, elle sait fort bien tricoter ses enquêtes, j’ai soupçonné tout le monde et douté jusqu’à la fin, ne découvrant à aucun moment l’auteur des faits, un très bon point pour Mrs Martin. Même si la première victime n’est guère sympathique puisqu’elle se servait des gens pour arriver à ses fins, on voit combien une jeune fille menant une vie libre à cette époque était très mal vue.

Au-delà de l’enquête, toujours aussi bien ficelée, j’aime surtout les deux protagonistes principaux que je trouve éminemment sympathiques et attachants, l’ambiance bucolique d’Oxford et de ses environs, les secrets inavouables qui parsèment le récit, et la difficulté qu’ont Trudy et Clement pour comprendre la vérité m’ont charmée une fois de plus.

L’histoire est prenante de bout en bout et le dénouement m’a vraiment surprise une fois de plus ! Je trouve juste que le dénouement intervient un peu trop rapidement, je serai restée bien volontiers à Oxford quelques dizaines de pages supplémentaires. Et ma copinaute Belette, d’habitude bien meilleure enquêtrice que moi, n’y a vu que du feu et aimé autant que moi, son avis ici.

Si vous aimez les cosy murders, voilà une série qui, tome après tome, tient toutes ses promesses et que je vous conseille absolument, vous allez l’aimer c’est certain !

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Faith Martin, également connue sous son véritable nom, Jacquie Walton, est l’auteure de nombreux romans policiers à succès. Née à Oxford et amoureuse de la campagne anglaise, elle situe nombre de ses romans dans le cadre bucolique de la région oxonienne.

5 novembre 1961  : la famille Hughes se prépare à célébrer la nuit de Guy Fawkes avec pétards et feux d’artifice. Tous sont rassemblés dans le jardin, quand le cabanon dans lequel sont entreposées les fusées s’embrase, causant la mort du patriarche, Thomas Hughes, enfermé à l’intérieur.

L’autopsie conclut rapidement à la mort par asphyxie et le coroner, Clement Ryder, classe l’affaire sans suite.

Mais le lendemain, Duncan Gillingham, un journaliste ambitieux, publie dans l’Oxford Tribune un article accusateur  : la justice aurait bâclé le dossier. Selon lui, la famille cacherait la vérité et le décès serait suspect.

Pour calmer l’opinion, l’inspecteur Jennings confie l’enquête à la jeune policière Trudy Loveday. Très vite, celle-ci se tourne vers Clement Ryder. Ils n’auront pas trop de leurs forces réunies pour tenter de percer les mystères du clan Hughes…

Vous connaissez mon goût pour les cosy mystery et vous savez que les enquêtes de Loveday & Ryder font partie de mes cosy mysteries préférés. C’est donc tout naturellement que j’ai jeté mon dévolu sur le cinquième opus de cette saga : Feu d’artifice mortel.

Cette série consacrée à Loveday & Ryder et écrite par Faith Martin met en scène un duo d’enquêteurs pas comme les autres, formé d’une jeune stagiaire Trudy Loveday qui rêve d’intégrer les rangs de la police en tant qu’enquêtrice à une époque où les femmes policières sont rares ; et de Clement Ryder, un ancien chirurgien devenu coroner depuis qu’il est atteint de Parkinson. Une maladie, dont il n’a informé et qu’il a de plus en plus de mal à cacher.

Cette nouvelle enquête est très réussie et le temps de ma lecture, j’ai eu l’impression de séjourner à Oxford en 1961 ! L’intrigue policière est classique mais efficace, l’autrice prend son temps pour jeter les bases de son récit, nous présenter les divers personnages. Rien de révolutionnaire mais une ambiance feutrée tellement agréable qu’on se croirait dans une enquête signée Agatha Christie.

Même si Faith Martin ne dame pas le pion à la reine du crime, elle sait fort bien tricoter ses enquêtes, j’ai soupçonné toute la famille qui haïssait le défunt et douté jusqu’à la fin, ne découvrant à aucun moment le mobile du crime ni l’auteur de l’assassinat de l’abject Thomas Hughes, un très bon point pour Mrs Martin.

Au-delà de l’enquête, toujours aussi bien ficelée, j’aime surtout les deux protagonistes principaux que je trouve éminemment sympathiques et attachants, l’ambiance bucolique d’Oxford et de ses environs, les secrets inavouables qui parsèment le récit, et la difficulté qu’ont Trudy et Clement pour comprendre la vérité m’ont charmée une fois de plus.

L’histoire est prenante de bout en bout et le dénouement m’a vraiment surprise une fois de plus ! Je trouve juste que le dénouement intervient un peu trop rapidement, je serai restée bien volontiers à Oxford quelques dizaines de pages supplémentaires. Et ma copinaute Belette, d’habitude bien meilleure enquêtrice que moi, n’y a vu que du feu et aimé autant que moi, son avis ici.

Si vous aimez les cosy murders, voilà une série qui, tome après tome, tient toutes ses promesses et que je vous conseille absolument, vous allez l’aimer c’est certain !

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Faith Martin, également connue sous son véritable nom, Jacquie Walton, est l’auteure de nombreux romans policiers à succès. Née à Oxford et amoureuse de la campagne anglaise, elle situe nombre de ses romans dans le cadre bucolique de la région oxonienne.

Oxford, dimanche de Pâques 1961. A Briar’s Hall, propriété de la famille de Lacey, une chasse aux œufs est organisée pour les enfants du village. Eddie Proctor, 11 ans, meilleur ami d’Emily de Lacey, disparaît.

Son corps est retrouvé dans un puit, après plusieurs heures de recherches par la police dépêchée sur place. Trudy, est en première ligne mais ne peut que constater le décès de l’enfant.

Si l’enquête du coroner conclut à un accident tragique, le Dr Clement Ryder, médecin légiste, a des doutes car l’enfant réputé obéissant et sage, n’aurait, d’après ses parents, jamais mis sa vie en danger pour glaner quelques chocolats dont il ne raffolait pas.

Lorsque Martin de Lacey, le propriétaire du manoir, vient lui faire part du souhait du père de l’enfant de relancer l’enquête, Clement obtient de la police locale que Trudy Loveday soit affectée à l’affaire. C’est tout le petit monde de Briar’s Hall et de la famille de Lacey qu’il faudra étudier de près…

Vous connaissez mon goût pour les cosy mystery et vous savez que les enquêtes de Loveday & Ryder font partie de mes cosy mysteries préférés. C’est donc tout naturellement qu’après Le corbeau d’Oxford, Un pique-nique presque parfait et Meurtre en coulisse, j’ai jeté mon dévolu sur le quatrième opus : Le secret de Briar’s Hall.

Cette série consacrée à Loveday & Ryder et écrite par Faith Martin met en scène un duo d’enquêteurs pas comme les autres, formé d’une jeune stagiaire Trudy Loveday qui rêve d’intégrer les rangs de la police en tant qu’enquêtrice à une époque où les femmes policières sont rares ; et de Clement Ryder, un ancien chirurgien devenu coroner depuis qu’il est atteint de Parkinson. Une maladie, dont il n’a informé et qu’il a de plus en plus de mal à cacher.

Cette nouvelle enquête est très réussie et le temps de ma lecture, j’ai eu l’impression de séjourner à Oxford en 1960 ! L’intrigue policière est classique mais efficace, l’autrice prend son temps pour jeter les bases de son récit, nous présenter les divers personnages. Rien de révolutionnaire mais une ambiance feutrée tellement agréable qu’on se croirait dans une enquête signée Agatha Christie.

Même si Faith Martin ne dame pas le pion à la reine du crime, elle sait fort bien tricoter ses enquêtes, j’ai soupçonné tout le monde et douté jusqu’à la fin, ne découvrant à aucun moment le mobile du crime ni l’auteur de l’assassinat du petit Eddie, un très bon point pour Mrs Martin.

Au-delà de l’enquête, toujours aussi bien ficelée, j’aime surtout les deux protagonistes principaux que je trouve éminemment sympathiques et attachants, l’ambiance bucolique d’Oxford et de ses environs, les secrets inavouables qui parsèment le récit, et la difficulté qu’ont Trudy et Clement pour comprendre la vérité.

L’histoire est prenante de bout en bout et le dénouement m’a vraiment surprise une fois de plus ! Et ma copinaute Belette, d’habitude bien meilleure enquêtrice que moi, n’y a vu que du feu et aimé autant que moi, son avis ici.

Si vous aimez les cosy murders, voilà une série qui, tome après tome, tient toutes ses promesses et que je vous conseille absolument, vous allez l’aimer c’est certain !

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Faith Martin, également connue sous son véritable nom, Jacquie Walton, est l’auteure de nombreux romans policiers à succès. Née à Oxford et amoureuse de la campagne anglaise, elle situe nombre de ses romans dans le cadre bucolique de la région oxonienne.

Septembre 1960. Alors que la ville d’Oxford se prépare pour le premier concours de beauté Miss Miel au Old Swan Theatre, une des principales candidates est retrouvée morte. Un suicide, ou l’élimination d’une concurrente gênante ?

Dans cette atmosphère de compétition féroce, la liste des suspects est interminable. Pour mener l’enquête, pas le choix : il faut se fondre dans la masse. Et quand, à son grand embarras, la jeune policière Trudy Loveday se retrouve à intégrer les rangs des prétendantes à la couronne, elle découvre un monde où, en coulisse, tous les coups bas sont permis.

Entre mauvais tours, chantages et duperies, elle et le Dr Clement Ryder doivent rapidement repérer le tueur, avant que l’événement devienne une course mortelle pour remporter le prix…

Vous connaissez mon goût pour les cosy mystery, vous ne serez donc pas étonnée si je vous dis que j’aime beaucoup les enquêtes de Loveday & Ryder. C’est donc tout naturellement qu’après Le corbeau d’Oxford et Un pique-nique presque parfait, j’ai jeté mon dévolu sur le troisème opus dès sa parution : Meurtre en coulisse.

Cette série consacrée à Loveday & Ryder et écrite par Faith Martin met en scène un duo d’enquêteur pas comme les autres formé d’une jeune stagiaire Trudy Loveday qui rêve d’intégrer les rangs de la police en tant qu’enquêtrice à une époque où les femmes policières sont rares ; et de Clement Ryder, un ancien chirurgien devenu coroner depuis qu’il est atteint de Parkinson. Une maladie, dont personne n’est au courant, et que Ryder a de plus en plus de mal à cacher.

Cette nouvelle enquête est très réussie et le temps de ma lecture, j’ai eu l’impression de séjourner à Oxford en 1960 ! L’intrigue policière est classique mais efficace, l’autrice prend son temps pour jeter les bases de son récit, nous présenter les divers personnages. Rien de révolutionnaire mais une ambiance feutrée tellement agréable qu’on se croirait dans une enquête signée Agatha Christie.

Nos héros nous font entrer dans les coulisses de l’élection de Miss Miel et c’est plutôt savoureux de voir cet univers où les coups bas sont permis, pourvu de ceindre la couronne tant désirée !

Même si Faith Martin n’est pas la reine du crime, elle sait bien tricoter ses enquêtes, j’ai soupçonné tout le monde et douté jusqu’à la fin, ne découvrant à aucun moment le mobile du crime, un très bon point pour Mrs Martin.

Ce que j’aime surtout ici c’est le duo d’enquêteurs qui se révèle très attachant. Trudy est une jeune femme naïve mais volontaire, elle veut à tout prix s’intégrer dans un commissariat qui ne prend pas les femmes au sérieux. Elle vient en aide aux victimes et met les coupables derrière les barreaux.

Ryder est très touchant. Atteint de la maladie de Parkinson, un mal tout à fait méconnu en 1960, qu’il cache à son entourage mais qui l’handicape peu à peu, il est très intelligent, bon connaisseur de la nature humaine et aucun détail ne lui échappe.

La plume de l’auteure est fluide et agréable, les chapitres plutôt courts et on arrive vite au point final tant les pages se tournent toutes seules. Les différents protagonistes sont bien dépeints, Faith Martin met l’accent sur la psychologie des personnages et c’est plutôt réussi.

Le suspens est mené jusqu’au bout et je n’ai qu’un bémol à formuler : c’est trop court ! Je serai volontiers restée quelques dizaines de pages de plus avec Trudy et Clement. Vivement le tome 4 ! Belette a beaucoup aimé aussi, son avis ici.


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Faith Martin, également connue sous son véritable nom, Jacquie Walton, est l’auteure de nombreux romans policiers à succès. Née à Oxford et amoureuse de la campagne anglaise, elle situe nombre de ses romans dans le cadre bucolique de la région oxonienne.

Oxford, été 1960. Après une fête de fin d’année organisée par les étudiants de St Bede’s College sur les berges d’une rivière, le corps d’un certain Derek Chadworth est retrouvé flottant dans les eaux de Port Meadow. L’autopsie conclut à la noyade sans pouvoir affirmer si il s’agit d’un meurtre, d’un suicide ou d’un accident.

Et si tous les jeunes gens présents sur les lieux affirment que la mort de Derek est accidentelle, aucun d’entre eux ne peut attester avoir bel et bien aperçu l’étudiant à la fête.

Le principal organisateur de la fête, John Littlejohn, dernier-né d’un duc, affirme connaître à peine ce jeune homme alors que celui-ci semblait faire partie du Marquis Club, qui réunit la fine fleur de l’aristocratie estudiantine et que Littlejohn préside.

Confronté à des témoignages vagues qu’il juge peu crédibles, le coroner Clement Ryder décide d’ouvrir une enquête, assisté de la jeune policière Trudy Loveday, qui entreprend de se faire passer pour une étudiante de St Bede’s College.

Trudy arrivera-t-elle à gagner la confiance des élèves et percer le mystère qui entoure la mort du jeune homme le plus populaire de l’université ? Car une chose est sûre : Derek Chadworth n’était pas un étudiant comme les autres…

Vous connaissez mon goût pour les cosy mystery, aussi cet automne, j’avais jeté mon dévolu sur Le corbeau d’Oxford, premier opus de la série consacrée à Loveday & Ryder, écrit par Faith Martin dont j’avais beaucoup aimé l’ambiance et le duo d’enquêteur pas comme les autres.

J’ai donc été plus que ravie de retrouver nos héros avec Un pique-nique presque parfait qui m’a confirmé tout le bien que je pensais de cette série ! Cette seconde enquête est très réussie et le temps de ma lecture, j’ai eu l’impression de séjourner à Oxford en 1960 !

L’intrigue policière est classique mais efficace, l’autrice prend son temps pour jeter les bases de son récit, nous présenter les divers personnages. Rien de révolutionnaire mais une ambiance feutrée tellement agréable qu’on se croirait dans une enquête signée Agatha Christie.

Même si Faith Martin n’est pas la reine du crime, elle sait bien tricoter ses enquêtes, j’ai soupçonné tout le monde et douté jusqu’à la fin, un bon point pour Mrs Martin.

Le duo d’enquêteur est très attachant. Trudy est une jeune femme naïve mais volontaire, elle veut à tout prix s’intégrer dans un commissariat qui ne prend pas les femmes au sérieux. Elle veut aider les victimes et mettre les coupables derrière les barreaux même si avec cette enquête, elle va avoir un cas de conscience.

Ryder est très touchant. Atteint de la maladie de Parkinson, un mal tout à fait méconnu en 1960, qu’il cache à son entourage mais qui l’handicape peu à peu.

La plume de l’auteure est fluide et agréable, les chapitres plutôt courts et on arrive vite au point final tant les pages se tournent toutes seules. Les différents protagonistes sont bien dépeints, Faith Martin met l’accent sur la psychologie des personnages et c’est plutôt réussi.

Le suspens est mené jusqu’au bout et je n’ai qu’un bémol à formuler : c’est trop court ! Je serai volontiers restée quelques dizaines de pages de plus avec Trudy et Clement. Vivement le tome 3 ! Belette a beaucoup aimé aussi, son avis ici.

Un grand merci aux éditions Harper Collins Noir pour cette lecture, j’ai adoré !

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Faith Martin, également connue sous son véritable nom, Jacquie Walton, est l’auteure de nombreux romans policiers à succès. Née à Oxford et amoureuse de la campagne anglaise, elle situe nombre de ses romans dans le cadre bucolique de la région oxonienne.

Oxford, 1960. Lorsque Sir Marcus Deering, un riche industriel de la région, reçoit plusieurs lettres de menace anonymes, il prend le parti de ne pas s’en inquiéter.

Mais lorsque le corbeau menace de s’en prendre à son fils chéri, il décide de faire appel à la police. Lorsque l’ultimatum prend fin, Deering et les policiers sont soulagés : l’auteur des missives n’a pas mis ses menaces à exécution…
Mais bientôt, un meurtre est commis, et les meilleurs éléments de la police d’Oxford sont mobilisés.

La toute jeune policière stagiaire Trudy Loveday rêverait de participer à une affaire aussi importante, mais ses supérieurs coupent rapidement court à ses ambitions.

Écartée de l’enquête et chargée d’assister le brillant mais peu amène Dr Clement Ryder, médecin légiste, sur une affaire classée, elle se retrouve pourtant très vite au cœur d’une énigme qui pourrait bien la mener sur la piste du mystérieux corbeau d’Oxford…

Vous connaissez mon intérêt pour les romans policiers anglais et plus particulièrement pour les cosy mysteries, je ne pouvais donc que me jeter sur la première enquête de Loveday & Ryder : Le corbeau d’Oxford.

Cet opus plaira aux fans d’Agatha Christie, de Julia Chapman et de M.C. Beaton dont je fais partie, je suis tout à fait la cible visée par l’autrice et je me suis régalée à suivre ce duo attachant.

Les deux héros sont tout à fait antagonistes : d’un côté nous avons Trudy Lovely, la jeune stagiaire inexpérimentée, seule femme du poste de police, plutôt naïve mais néanmoins ambitieuse puisqu’elle caresse le vœu de devenir enquêtrice à une époque où la femme ne fait pas carrière dans la police, au grand dam qui souhaite vite la voir convoler en justes noces.

Elle va se révéler être une assistante précieuse pour le coroner puisqu’elle va savoir se servir de ses petites cellules grises comme dirait Hercule Poirot pour faire avancer l’enquête.

Et de l’autre, nous avons le docteur Clement Ryder, ex chirurgien atteint de la maladie de Parkinson qui a du renoncer aux opérations pour devenir coroner. Nul ne sait que ce vieux briscard est malade et il est redouté par tous car il a l’oreille du maire et il est doté d’une intelligence remarquable.

L’intrigue policière est de facture classique mais néanmoins prenante, le suspens est bien dosé, les fausses pistes et les secrets fort nombreux et je me suis laissée bernée comme une débutante !

Tout au long de ma lecture, j’ai cherché le corbeau, accusé plusieurs protagonistes sans jamais arriver à mettre la main sur le coupable. J’adore quand l’auteur arrive à me balader et là je dois bien admettre que j’ai été servie.

Faith Martin m’a bien eue, j’étais totalement à côté de la plaque. Heureusement, ce ne fut pas le cas de Trudy et Clement qui ont trouvé la clé de l’énigme et brillamment réussi cette enquête.

Je retrouverai donc avec plaisir ce duo d’enquêteurs lorsque le tome 2 paraîtra en France, espérons que l’éditeur ait la bonne idée de ne pas nous faire attendre trop longtemps.

Un grand merci à Babelio et aux éditions Harper Collins noir pour cette lecture, j’ai adoré !

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