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Posts Tagged ‘lucile thibaudier’

Caché au coeur d’un Muséum d’Histoire Naturelle se trouve le cabinet d’Enola, une vétérinaire hors du commun. Sa spécialité ? Les animaux des contes et légendes ! Centaures, trolls et autres licornes n’ont aucun secret pour elle. Avec son compagnon de route Maneki et à l’aide des inventions du génial Archibald, elle parcourt le monde pour soigner les maux des créatures extraordinaires. La petite souris n’est pas passée ? Votre minotaure semble égaré ? Demandez conseil à Enola, elle saura vous aider !

Quelque part dans l’Himalaya, Enola, accompagnée de son inséparable chat Maneki, a été appelée par le vénérable d’un temple bouddhiste. L’objet de leur venue est un yéti qui est aux abonnés absent.

L’animal légendaire protège depuis des siècles les habitants de la vallée des attaques des tigres des neiges mais depuis quelques temps, les offrandes des moines restent intactes.

Enola, Maneki et leur jeune sherpa Tao se lancent à la recherche du yéti malgré la tempête qui fait rage…

Après La gargouille qui partait en vadrouille, La licorne qui dépassait les bornes et Le kraken qui avait mauvaise haleine, mon Sami-Chameau et moi-même avons retrouvé Enola, la vétérinaire attitrée des animaux de contes et légendes, dans le quatrième volume de la série, Le yéti qui avait perdu l’appétit.

Aux manettes de ce nouvel opus toujours l’excellent Joris Chamblain, auteur d’une série que j’adore Les carnets de Cerise, ici en binôme avec l’illustratrice Lucile Thibaudier avec qui il écrit la série Sorcières Sorcières aidée dans la mise en couleur par Camille.

L’histoire de ce yéti est toute simple, cet animal fabuleux, qui dans cette histoire, vit au Tibet, est un animal gentil, ne mangeant que des fruits, et la proie des chasseurs occidentaux voulant ramener la preuve de son existence.

Le méchant n’est donc pas celui qu’on croit, à savoir l’animal, ici en danger, mais les hommes blancs. Si le yéti n’existe pas, cette histoire ne peut que sensibiliser les enfants à protéger les espèces en danger, qui ne manquent pas sur cette planète hélas.

Cette série destinée aux 8 / 12 ans est mignonne à souhait tant par ses illustrations, toujours soignées et très belles de Lucile Thibaudier, que par son scénario abordable et adapté à son jeune lectorat car les bulles sont faciles à lire grâce à la police de caractère très bien choisie.

Tout est en fait très bien pensé pour que les enfants se sentent bien dans cette série : le format est plus court, une trentaine de pages, les bulles et la typographie sont plus grosses et le texte est plus simple et court, adapté à un lectorat très jeune.

Enola est une héroïne intelligente et futée, et elle va faire preuve une fois de plus d’une grande perspicacité pour résoudre aider ce yéti en danger.

Comme le titre de la série l’indique, l’univers est teinté de fantastique. Enola qui travaille dans un Muséum d’Histoire Naturelle n’est pas une vétérinaire ordinaire comme vous l’avez sûrement compris. Elle est spécialisée dans le bestiaire fantastique : phénix, dragons, licornes, trolls et autres créatures de contes de fées n’ont pas de secret pour elle.

Vous l’aurez compris, un quatrième tome réussi même si il aurait pu être nettement plus étoffé et une série que je recommande aux plus jeunes mais aussi à celles et ceux qui ont gardé leur âme d’enfant.

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Caché au coeur d’un Muséum d’Histoire Naturelle se trouve Ce cabinet d’Enola, une vétérinaire hors du commun. Sa spécialité ? Les animaux des contes et légendes ! Centaures, trolls et autres licornes n’ont aucun secret pour elle. Avec son compagnon de route Maneki et à l’aide des inventions du génial Archibald, elle parcourt le monde pour soigner les maux des créatures extraordinaires. La petite souris n’est pas passée ? Votre minotaure semble égaré ? Demandez conseil à Enola, elle saura vous aider !

Un Kraken terrorise les pêcheurs et détruit les mâts de leurs bateaux. La capitaine Barbiche part en quête de la récompense offerte à celui qui s’attaquera au poulpe géant. Enola se jette à l’eau pour soigner le kraken ; y arrivera-t-elle avant l’intervention du terrible Barbiche ?

Après La gargouille qui partait en vadrouille et La licorne qui dépassait les bornes, mon Sami-Chameau et moi-même avons retrouvé Enola, la vétérinaire attitrée des animaux de contes et légendes, dans le troisième volume de la série, Le kraken qui avait mauvaise haleine.

Aux manettes de ce troisième opus toujours l’excellent Joris Chamblain, auteur d’une série que j’adore Les carnets de Cerise, ici en binôme avec l’illustratrice Lucile Thibaudier avec qui il écrit la série Sorcières Sorcières.

Cette série destinée aux 7 / 10 ans est mignonne à souhait tant par ses illustrations, toujours soignées et très belles de Lucile Thibaudier, que par son scénario abordable et adapté à son jeune lectorat car les bulles sont faciles à lire grâce à la police de caractère très bien choisie.

L’histoire de ce kraken est toute simple, sans méchant à pointer du doigt, mais mettant l’accent sur les faux-semblants et les incompréhensions entre deux mondes qui ne se connaissent pas et ne se comprennent pas.

Tout est en fait très bien pensé pour que les enfants se sentent bien dans cette série : le format est plus court, une trentaine de pages, les bulles et la typographie sont plus grosses et le texte est plus simple et court, adapté à un lectorat très jeune.

Enola est une héroïne intelligente et futée, et elle va faire preuve une fois de plus d’une grande perspicacité pour résoudre l’énigme de ce kraken qui s’en prend aux bateaux des pêcheurs.

Comme le titre de la série l’indique, l’univers est teinté de fantastique. Enola qui travaille dans un Muséum d’Histoire Naturelle n’est pas une vétérinaire ordinaire comme vous l’avez sûrement compris.

Elle est spécialisée dans le bestiaire fantastique : phénix, dragons, licornes, trolls et autres créatures de contes de fées n’ont pas de secret pour elle.

Vous l’aurez compris, un troisième tome très réussi et une série que je recommande aux plus jeunes mais aussi à celles et ceux qui ont gardé leur âme d’enfant.

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Caché au coeur d’un Muséum d’Histoire Naturelle se trouve le cabinet d’Enola, une vétérinaire hors du commun. Sa spécialité ? Les animaux des contes et légendes ! Lorsque Sylvia, Piotr et Sven sont confrontés à une licorne agressive qui franchi les limites de leur territoire, ils ne perdent pas une minute pour en informer le village. Mais quand Sylvia apprend que son père, le chef du village, souhaite attaquer les licornes à cause de la rupture de leur pacte, elle ne perd pas une seconde pour demander de l’aide à Enola. Une nouvelle mission pour la jeune vétérinaire et son chat Maneki !heart_4auteur-editeur-pagesenola-et-les-animaux-extraordinaires-tome-2-la-licorne-qui-depassait-les-bornes

Quelque part dans un pays nordique, près d’un bois, trois jeunes enfants du village jouent lorsqu’une licorne, brusquement charge Sylvia. Au village, c’est l’incompréhension ! Les humains et les licornes cohabitaient depuis le pacte de façon totalement pacifique.

Les licornes ne doivent pas dépasser les bornes des bois tandis que les bûcherons profitent de la magie des licornes pour travailler un bois enchanté mais en ne franchissant pas eux non plus les limites du domaine des licornes.

Mais devant une telle agression le père de Sylvia qui n’est autre que le chef du village, décide de se venger. Sylvia, qui se sent responsable de cette escalade de violence, requiert l’aide d’Enola qu’elle trouve dans son muséum d’histoire naturelle.

Si quelqu’un peut découvrir pourquoi les licornes se montrent tout à coup agressives, c’est bien cette vétérinaire pour animaux extraordinaires, assistée comme toujours par son chat Maneki !

La licorne qui dépassait les bornes est le second tome de la série : Enola et les animaux extraordinaires que Sami-Chameau et moi-même avions découvert en début d’année avec of course le premier volume La gargouille qui partait en vadrouille.

Aux manettes toujours l’excellent Joris Chamblain, auteur d’une série que j’adore Les carnets de Cerise, ici en binôme avec l’illustratrice Lucile Thibaudier avec qui il écrit la série Sorcières Sorcières.

L’histoire de cette licorne qui dépassait les bornes est toute simple, sans méchant à pointer du doigt, mais met l’accent sur les faux-semblants et les incompréhensions entre deux mondes qui ne se connaissent pas et ne se comprennent pas.

Quant au véritable coupable, il est original et met l’écologie à la portée des jeunes lecteurs à qui cette série est destinée, c’est-à-dire les 7 / 9 ans. Les différentes situations imaginées par Joris Chamblain sont faciles à appréhender et les dessins de Lucile Thibaudier, tout en rondeurs et très colorés, ne peuvent que plaire aux petits mais aussi aux grands !

Tout est en fait très bien pensé pour que les enfants se sentent bien dans cette série : le format est plus court, une trentaine de pages, les bulles et la typographie sont plus grosses et le texte est plus simple et court, adapté à un lectorat très jeune.

Enola est une héroïne intelligente et futée, et elle va faire preuve une fois de plus d’une grande perspicacité pour résoudre l’énigme de cette licorne.

Comme le titre de la série l’indique, l’univers est teinté de fantastique. Enola qui travaille dans un Muséum d’Histoire Naturelle n’est pas une vétérinaire ordinaire comme vous l’avez sûrement compris. Elle est spécialisée dans le bestiaire fantastique : phénix, dragons, licornes, trolls et autres créatures de contes de fées n’ont pas de secret pour elle.

Vous l’aurez compris, un second tome très réussi et une série que je recommande aux plus jeunes mais aussi à celles et ceux qui ont gardé leur âme d’enfant.

Un grand merci à Flavie et aux éditions de la Gouttière pour m’avoir permis de lire la suite des aventures d’Enola, j’en redemande !

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Depuis quelques temps, sur l’église du village, monsieur Gargouille n’en fait qu’à sa tête. Chaque matin, on le retrouve à un endroit différent, ce qui ne manque pas de causer soucis et inquiétudes, comme cette fois où il a arrosé par mégarde un mariage par un jour de soleil radieux. Dans ce genre de situations, on peut se passer de gargouille ou alors avoir entendu parler d’Enola, la vétérinaire pour animaux fantastiques. Alertée par Igor, le sonneur de cloches, la jeune Enola, accompagnée de son chat Maneki et armée de son stéthoscope et d’une bonne dose d’ingéniosité, s’envole à bord de son hélicoléoptère pour sauver cette statue de pierre atteinte de bougeotte… heart_4auteur-editeur-pagesenola-et-les-animaux-extraordinaires-tome-1-la-gargouille-qui-partait-en-vadrouille

Un petit village, quelque part en France, et son église, couleraient des jours heureux si l’une des gargouilles de l’édifice ne faisait pas des siennes. Chaque matin, on la retrouve dans un endroit différent et cette situation ne peut pas durer, il faut y mettre bon ordre et le curé, comme la population, ne voit qu’une solution, la détruire.

Heureusement pour elle, Igor, le sonneur de cloches, décide de faire appel à une vétérinaire d’un genre très particulier : Enola. La jeune fille est spécialiste en animaux extraordinaires et une gargouille en pierre rentre tout à fait dans cette catégorie. Elle seule pourra guérir la statue vadrouilleuse, c’est sûr !

Là voilà donc qui délaisse le muséum d’histoire naturelle et débarque au cœur de ce petit village à l’aspect moyenâgeux.

La gargouille qui partait en vadrouille est le premier tome d’une série qui promet : Enola et les animaux extraordinaires dont la suite des aventures paraitra en février.

Aux manettes l’excellent Joris Chamblain, auteur d’une série que j’adore Les carnets de Cerise avec Aurélie Neyret (dont le tome 4 sort dans quelques jours j’ai hâte !!), ici en binôme avec l’illustratrice Lucile Thibaudier avec qui il écrit la série Sorcières Sorcières.

L’histoire de cette gargouille au grand coeur proposée par Joris Chamblain est mignonne comme tout, les dessins et les couleurs de Lucile Thibaudier m’ont beaucoup plu, les personnages sont bien expressifs et tout en rondeurs.

Enola est une héroïne intelligente et futée, et elle va faire preuve de perspicacité pour résoudre l’énigme de cette gargouille qui ne cesse de pivoter sur son socle.

Comme le titre de la série l’indique, l’univers est teinté de fantastique. Enola qui travaille dans un Muséum d’Histoire Naturelle avec ses complices Archibald, un vieux savant, et Maneki, son chat, n’est pas une vétérinaire ordinaire comme vous l’avez sûrement compris. Elle est spécialisée dans le bestiaire fantastique : phénix, dragons, licornes, trolls et autres créatures de contes de fées n’ont pas de secret pour elle.

Comme Cerise, Enola est une jeune adolescente mais le public diffère un peu car cette nouvelle série s’adresse au lectorat 7 / 9 ans. Le format est plus court, une trentaine de pages, les bulles et la typographie sont plus grosses et le texte est plus simple et court, adapté à un lectorat très jeune.

Un premier tome très réussi et je remercie Babelio et les éditions de la Gouttière pour cette très jolie découverte, j’ai hâte de lire la suite des aventures d’Enola dans La licorne qui dépassait les bornes ! et Sami-Chameau aussi car il a adoré ce premier opus également !

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