Jenny Colgan, née en Écosse, est une romancière britannique qui a écrit de nombreuses comédies romantiques. Elle est surtout connue en France pour sa trilogie La Petite Boulangerie du bout du monde (Prisma) et pour Le Cupcake Café. Une Saison au bord de l’eau est le premier volet d’une nouvelle série.
Rosie Hopkins pense que quitter sa vie londonienne occupée et son petit ami Gerard pour aider sa vieille tante Lilian à s’occuper de la confiserie dans un petit village de campagne va être ennuyeux. Si elle savait ce qui l’attendait dans la petite ville de Lipton…
Lilian Hopkins a passé sa vie à diriger la confiserie de Lipton, pendant la guerre et les querelles familiales. Alors qu’elle lutte contre l’idée qu’il serait peut-être enfin temps de retrouver quelqu’un, elle cache un secret bien gardé derrière les pots de bonbons colorés.
Vous le savez si vous me lisez régulièrement, j’ai un gros faible pour les romans de Jenny Colgan et dès qu’un nouveau sort en poche, il n’a jamais le temps de croupir dans ma pal !
La confiserie de Rosie est le premier tome de la série consacrée à la pétillante Rosie Hopkins, une héroïne qui m’a beaucoup plu et que je me réjouis de retrouver dans la suite de ses aventures déjà parue en grand format.
J’ai retrouvé dans ce roman tout ce qui fait le sel de ses récits : un village où on a envie de flâner, des habitants attachants dont on aurait envie de se faire des amis, des love stories et de la gourmandise !
Une mécanique connue, sans grande surprise, mais ça marche : on plonge dans ce livre et on n’a qu’une hâte : découvrir tout ce qui attend nos protagonistes.
Cette série se révèle est toute aussi savoureuse que les autres et les petits plus de cette saga, ce sont de nouveaux éléments que l’on ne retrouve pas dans les autres sagas de Jenny Colgan.
Car si ce feel-good book reprend tous les codes du genre et est conforme aux histoires que nous propose l’autrice, il y a ici deux différences de taille : exit l’Ecosse, théâtre de tous les romans de Jenny Colgan, pour la campagne anglaise.
Et l’introduction d’une double temporalité avec l’histoire de Lilian pendant la seconde guerre mondiale. Vous savez que j’adore ce procédé et ce fut une belle surprise de découvrir ces incursions dans le passé !
Comme toujours, l’autrice aborde avec tact des sujets plus graves comme le deuil, les relations familiales, les familles monoparentales, la maternité, la vieillesse, la précarité…
Une histoire fraîche, romantique que j’ai dévoré une tasse de thé à la main et qui plaira aux lecteurs.rices de Jenny Colgan dont je fais partie.
Elle ne sort certes pas des sentiers battus si on la compare à ses précédents romans mais j’aime me plonger dans ses récits doudous pleins de charme et réconfortants, je suis toujours sûre de passer un très chouette moment de lecture.
Et vous, vous aimez Jenny Colgan ?