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Kung Fu Panda 3

Po avait toujours cru son père panda disparu, mais le voilà qui réapparaît ! Enfin réunis, père et fils vont voyager jusqu’au village secret des pandas. Ils y feront la connaissance de certains de leurs semblables, tous plus déjantés les uns que les autres. Mais lorsque le maléfique Kaï décide de s’attaquer aux plus grands maîtres du kung-fu à travers toute la Chine, Po va devoir réussir l’impossible : transformer une horde de pandas maladroits et rigolards en experts des arts martiaux, les redoutables Kung Fu Pandas !lung-fu-panda-3

Au palais de jade, maître Shifu annonce à Po, Vipère, Mante, Singe et Tigresse, ses disciples médusés, qu’il prend sa retraite et laisse la place au guerrier dragon. A lui, désormais d’entraîner les cinq cyclones afin qu’ils protègent au mieux la vallée.

Le premier entraînement se révèle une véritable catastrophe et Po se sent bien démuni face à son incapacité totale de mener à bien une séance d’entrainement. Mais notre panda n’est pas au bout de ses surprises puisque débarque bientôt son père naturel qui souhaite lui faire découvrir le lieu de ses racines, la vallée des pandas, au grand dam de son père adoptif qui craint de perdre son fils.

Po hésite beaucoup à partir mais lorsque le maléfique Kaï, qui revient du royaume des morts, débarque avec son armée de jade, il accepte de suivre son père et d’apprendre le secret du yin et du yang détenu par les pandas.

Beaucoup de longs métrages d’animation sortent cette année mais le plus attendu pour moi, avec L’âge de glace 5, c’était Kung Fu panda 3 dont je suis une grande fan. J’attends pourtant toujours avec une certaine fébrilité les suites, souvent moins bonnes, mais la série consacrée au panda au grand cœur reste, film après film, d’égale qualité pour moi.

J’ai retrouvé avec plaisir ce héros tout en rondeurs, toujours aussi gourmand, maladroit et terriblement attachant. Quant à sa nouvelle famille, elle pourrait presque lui voler la vedette… Les personnages secondaires que sont les pandas sont totalement loufoques, terriblement mignons et ils ont tout pour séduire petits et grands.

Les gags s’enchaînent avec un bon rythme, je me suis beaucoup amusée et j’ai franchement ri aux nouvelles aventures de Po et des pandas même si pour le coup, les autres maîtres sont très en retrait, à l’exception de Tigresse.

Graphiquement et techniquement parlant, ce troisième opus est de loin le plus beau, il faut dire que la vallée des pandas offre un décor somptueux aux amoureux de la nature.

Un troisième opus qui vaut la peine d’être vu et grâce auquel j’ai passé un très bon moment, les garçons aussi cela va sans dire !

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Zootopia

Zootopia est une ville qui ne ressemble à aucune autre : seuls les animaux y habitent ! On y trouve des quartiers résidentiels élégants comme le très chic Sahara Square, et d’autres moins hospitaliers comme le glacial Tundratown. Dans cette incroyable métropole, chaque espèce animale cohabite avec les autres. Qu’on soit un immense éléphant ou une minuscule souris, tout le monde a sa place à Zootopia ! Lorsque Judy Hopps fait son entrée dans la police, elle découvre qu’il est bien difficile de s’imposer chez les gros durs en uniforme, surtout quand on est une adorable lapine. Bien décidée à faire ses preuves, Judy s’attaque à une épineuse affaire, même si cela l’oblige à faire équipe avec Nick Wilde, un renard à la langue bien pendue et véritable virtuose de l’arnaque…zootopia

Cette année, il y a plusieurs films d’animation qui nous intéresse les garçons et moi et le premier d’entre eux à être sur les écrans est Zootopia. Disney présente ce nouveau film d’animation comme son premier film policier, si l’on excepte Basile détective bien sûr que j’adore d’ailleurs.

Il ne m’en fallait pas plus pour me mettre l’eau à la bouche et lorsque j’ai découvert la bande annonce et compris que l’héroïne n’était autre qu’une lapine, banco, pas question de le rater (et oui j’adore les lapines, j’en ai même une qui vit à la maison) !

Nous voilà donc partis samedis dernier, plus qu’enthousiastes, et nous sommes ressortis, plus qu’enthousiastes, contrairement au dernier Disney vu, Le voyage d’Arlo qui ne m’avait pas emballé, là j’ai adoré !!

Zootopia est donc une ville où tous les animaux vivent en bonne harmonie les uns avec les autres, carnivores et herbivores, prédateurs et proie. Tous sont habillés et vivent une vie semblable à la nôtre, tous à l’exception d’une communauté naturiste et yoggi.

Chacun a un travail, une maison, une famille, etc. Mais malgré cette apparente tolérance, il y a des idées bien ancrées, comme celle qu’un lapin ne peut pas être policier, ça s’est réservé aux prédateurs, aux 10% de la population la plus puissante, comme tous les postes clés d’ailleurs, ça ne vous rappelle rien ?

Car sous couvert d’une comédie policière très drôle et réussie car l’enquête est palpitante et pleine de rebondissements, courses poursuites… le scénario dénonce les inégalités et s’il y a plein de bons sentiments, on ne tombe jamais dans le rose bonbon ou la guimauve.

Les réactions de la salle ne se font pas attendre et petits rient de bon cœur mais les scénaristes ne s’arrêtent pas là et abordent d’autres thématiques comme la criminalité, la corruption, la mafia (avec un parrain Mister Big que ne renierait pas Coppola !), la lenteur de l’administration (avec la scène des paresseux, tout simplement hilarante), l’amitié, le dépassement des préjugés…

Quant aux images, elles sont magnifiques et enchanteresses mais ça on y est habitués venant de Disney. Et enfin, le duo contre-nature Judy Hopps (lapine) et Nick Wilde (renard) marche du tonnerre.

En bref, si vous n’avez pas encore vu Zootopia, précipitez-vous, ce film est tout simplement génial !!

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Le voyage d’Arlo

Et si la catastrophe cataclysmique qui a bouleversé la Terre et provoqué l’extinction des dinosaures n’avait jamais eu lieu ? Et si les dinosaures ne s’étaient jamais éteints, et vivaient parmi nous de nos jours ?  
Arlo, jeune Apatosaure au grand cœur, maladroit et craintif, qui va faire la rencontre et prendre sous son aile un étonnant compagnon : un petit garçon sauvage, très dégourdi, prénommé Spot.

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Comme je vous le disais ici Le voyage d’Arlo faisait partie des films que les garçons et moi souhaitions voir d’ici la fin de l’année. Forcément lorsque l’on a un futur paléontologue dans la famille, les films avec les dinosaures sont attendus comme le Messie. C’est donc avec une certaine impatience que Sami-Chameau et nous attendions le nouveau Pixar et on a été bien surpris par la teneur du film !

Réalisé par la même équipe que Vice-Versa, Le voyage d’Arlo est loin d’être une poilade et honnêtement je m’attendais à me marrer comme une baleine et si le film offre quelques moments drôles, il est surtout très triste car la mort plane pendant une heure trente.

L’idée de départ est originale puisque la fameuse comète qui a exterminé les dinosaures, n’a fait que frôler la terre et les grosses bébêtes du Jurassique ont survécu et côtoyé de fait les humains.

L’histoire s’ouvre sur la naissance d’Arlo, un apatosaure minuscule qui sort d’un œuf bien trop gros pour lui. Ses parents sont agriculteurs, ils travaillent la terre et ont un poulailler. Le petit dinosaure est très peureux et pour l’aider à vaincre ses peurs, il est chargé de nourrir les volatiles de la ferme.

Un jour, Spot, un petit humain qui a toutes les attitudes d’un chien, tape l’incruste dans le garde-manger familial et fait la razzia sur la provision de maïs. Autant Arlo est peureux et peu sûr de lui, autant Spot est son parfait contraire : téméraire, il n’hésite pas à chasser et attaquer des proies plus grosses que lui.

Spot se dévoue pour Arlo, il ne le quitte pas alors qu’Arlo fait tout pour le chasser mais ils finiront par s’entendre et vivre une vraie aventure ensemble. Ils feront des rencontres assez inattendues au cours de leur voyage, notamment la famille T-Rex qui va les aider et qui se révèle vraiment sympathique.

L’histoire s’adresse aux plus petits et les adultes ont un peu de mal à trouver leur compte. Les garçons ont aimé, j’avoue que je reste pour ma part sur ma faim, je trouve que ce Voyage d’Arlo manque sérieusement d’humour et met trop l’accent sur la mort des parents, un sujet que je trouve très douloureux et qui ici est surexploité.

Techniquement parlant, c’est une fois de plus un superbe travail des studios Pixar qui mêle graphisme enfantin et photo réalisme de la plus belle façon qui soit.

En résumé, Le Voyage d’Arlo est un film sympathique avec son histoire bon enfant et ses personnages attachants mais il saura séduire surtout les enfants.

 

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Pan

Proposant un nouveau regard sur l’origine des personnages légendaires créés par J.M. Barrie, le film s’attache à l’histoire d’un orphelin enlevé au Pays Imaginaire. Là-bas, il vivra une aventure palpitante et bravera maints dangers, tout en découvrant son destin : devenir le héros connu dans le monde entier sous le nom de Peter Pan.

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Comme je vous le disais ici Pan faisait partie des films que les garçons et moi souhaitions voir d’ici la fin de l’année. C’est donc avec une certaine impatience et munis d’une provision de pop corn que nous avons rejoints nos places et franchement on n’a pas été déçus du tout !

Réalisé par Joe Wright et les studios d’Harry Potter, ce film fantastique est une réussite. Il reste fidèle à l’œuvre originelle Peter Pan de J.M Barrie mais constitue en quelque sorte un préquel puisque le film propose de nous dévoiler les fondements mêmes de l’enfant qui ne voulait pas grandir, ce que Barrie ne fait qu’effleurer.

Pendant près de deux heures, nous est racontée l’histoire Peter, un jeune orphelin de 12 ans vivant dans un orphelinat en Angleterre. Lui et plusieurs de ses camarades sont enlevés en pleine nuit par une horde de pirates à la solde du terrible Barbe Noire à bord d’un navire volant.

Arrivés au pays imaginaire, ils sont immédiatement descendus dans une mine afin d’extraire de la poussière de fée. Peter va y faire la connaissance de James Crochet et de Mouche, sans oublier Clochette et Lili la tigresse.

Mais surtout Peter va découvrir que le pays imaginaire ne lui est pas si inconnu et qu’il semble être l’objet d’une mystérieuse prophétie…

L’histoire est intelligente et bien imaginée, elle s’accorde très bien avec l’histoire originelle, sans aucune incohérence, franchement j’ai trouvé le scénario vraiment bon.

Second bon point : l’univers !! Côté effets spéciaux on en prend plein les mirettes ! Le metteur en scène sait à merveille doser le fantastique, la magie et la féerie, vraiment on s’y croirait. On retrouve également tous les ingrédients du pays imaginaire : des pirates, des indiens, des fées, des sirènes, de la poudre de fée, de la magie, de l’aventure et de l’action, et cerise sur le gâteau de l’humour, ce dont est dénué le roman de Barrie.

Côté casting, là aussi mission réussie. Le jeune Levi Miller est crédible dans le rôle de Peter Pan, Rooney Mara est impressionnante en Lili la Tigresse, quant à James Crochet interprété par Garett Hedlund, il campe un Crochet très éloigné de ce qu’on connaît : gentil et dragueur, c’est déroutant mais c’est aussi très amusant. Mais celui qui crève l’écran ici c’est le beau Hugh Jackman qui interprète avec brio Barbe Noir, un pirate cruel et totalement barré.

Quant à la bande originelle, elle est formidable, notamment la géniale reprise par Barbe Noire et les pirates de Smells like teen spirit de Nirvana.

Vous l’aurez compris, les garçons et moi-même avons beaucoup aimé Pan et on vous le conseille si vous êtes à la recherche d’un film à grand spectacle très divertissant !

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Hôtel Transylvanie 2

Dracula est dorénavant grand-père et est bien décidé à initier son petit garçon à la crinière rousse aux rudiments du monde de l’épouvante. Bien sûr, rien ne va se passer comme prévu pour notre drôlissime vampire et sa bande de monstres – Frankenstein, la Momie, l’Homme invisible, le Loup-garou et le Blob…

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Souvenez-vous il y a deux ans déjà, je profitai de la période précédant Halloween pour vous parler d’un de nos films d’animation préférés aux garçons et à moi : Hôtel Transylvanie.

Alors forcément lorsqu’Hôtel Transylvanie 2 a pointé le bout de son nez au cinéma, nous nous sommes précipités, sûrs de passer un bon moment.

Après le succès du premier opus le réalisateur revient avec une suite, normal ils font tous ça. Le film s’ouvre sur le mariage de Mavis, la fille de Dracula et de son campeur à la chevelure rousse exubérante,  Johnny. Un an plus tard, la famille s’agrandit et, évidemment, le tout est de savoir si le bébé est un humain comme papa ou un vampire comme maman.

Pour Dracula, ça ne fait aucun doute, son petit-fils est un vampire mais à l’approche de ses cinq ans le garçonnet n’a toujours pas ses canines et Mavis songe à s’installer avec sa petite famille en Californie, loin de l’hôtel et des monstres qui y logent.

Dracula va alors s’embarquer avec ses amis Frankenstein, la Momie, l’Homme invisible, le Loup-garou et le Blob pour donner à son cher petit-fils des cours de monstrologie !

Comme dans le premier opus, nous avons retrouvé avec grand plaisir L’hôtel Transylvannie, ses monstres tous aussi affreux que touchants et amusants. Quelques nouveaux personnages viennent agrémenter l’histoire : la famille de Johnny qui s’est bien acclimatée à sa belle-famille et Vlad, le père de Dracula, qui vit dans une grotte entouré de chauves-souris particulièrement voraces !

Une suite que j’ai trouvé un petit peu moins bonne que le premier opus, sans doute parce que l’effet de surprise n’est plus là, mais elle reste un film d’animation vraiment sympa à voir et qui offre de nombreux éclats de rire. L’humour est en effet toujours aussi décapant et réussi et le personnage de Dracula, décidément bien savoureux.

Il y a aussi pas mal d’action car Dracula et ses potes vont emmener le petit dans un road-movie vraiment impayable et plein de rebondissements.

A l’approche d’Halloween, Hôtel Transylvanie 2 est le film à voir avec les enfants, il les mettra dans l’ambiance et permettra aux parents de rire aux dépends de ces joyeux monstres.

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Les cinq films que j’attends en cette fin d’année 2015

J’en parle rarement sur le blog mais je suis une grande consommatrice de films, récents ou anciens, et bien sûr de films d’animation ! Depuis le printemps j’ai eu l’occasion d’aller au cinéma plusieurs fois avec les garçons et nous y avons vu Les nouveaux héros, En route, Vice Versa, Les Minions, Jurassic World, Ant-Man et le week-end dernier Le petit prince. Et à cette occasion, nous avons repéré nos prochaines séances ciné que je vais partager avec vous, suite à une excellente idée de ma copinaute Claire !

Hôtel Transylvanie 2

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C’est bientôt Halloween, une fête que les enfants adorent, et à cette occasion nous avions vu il y a deux le premier volet d’Hôtel Transylvanie, autant vous dire qu’il est impossible pour nous de passer à côté de la suite des aventures de Dracula qui devient grand-père… ça promet d’être pas piqué des vers !!

Pan

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Nous aimons beaucoup l’univers de Peter Pan et avons vu plusieurs adaptations du roman de James Barrie et celle-ci est très tentante car elle semble poser un nouveau regard sur l’origine des personnages de Peter et de James Crochet, et ce qui ne gâte rien Hugh Jackman a l’air convaincant en Barbe-Noire !

Les suffragettes

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Un film rien que pour moi car vous imaginez bien que le sujet n’intéresse pas du tout les garçons mais il me passionne. Dans ce film on suit le parcours de Maud en 1912, une jeune femme issue d’un milieu modeste travaillant dans une blanchisserie, qui se retrouve engagée dans le mouvement féministe des Suffragettes. Le casting est prometteur emmené notamment par l’excellente Meryl Streep, rien que pour ça j’ai envie de le voir !

Star Wars : Episode VII – Le Réveil de la Force

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Les garçons sont terriblement fans de Star Wars et ils attendent ce nouvel opus de pied ferme depuis des mois, autant vous dire que je ne risque pas d’échapper à la folie Star Wars en décembre et je me réjouis d’ailleurs de retrouver Harrisson Ford en Han Solo vieillissant !

Le voyage d’Arlo

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Mon Sami-Chameau de fils veut devenir paléontologue car les dinosaures le fascinent depuis qu’il est tout petit, autant vous dire que le nouveau Pixar a mis dans le mille avec lui car le pitch a immédiatement éveillé son intérêt : et si la catastrophe cataclysmique qui a bouleversé la Terre et provoqué l’extinction des dinosaures n’avait jamais eu lieu ? Et si les dinosaures ne s’étaient jamais éteints, et vivaient parmi nous de nos jours ?

Et vous, quelles sont les prochaines sorties ciné qui vous font saliver ?

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Le secret de la Pyramide

À Londres pendant l’hiver 1870, le jeune John Watson fait son entrée à la Brompton Academy. Il y fait alors la connaissance d’un de ses condisciples à l’esprit de déduction très aiguisé : Sherlock Holmes. Ils se lient rapidement d’amitié, Watson est immédiatement admiratif de l’intelligence de son camarade manifestement très brillant. Ce dernier lui présente son mentor, le professeur Waxflatter, un enseignant à la retraite devenu inventeur qui habite toujours dans l’école et la nièce de celui-ci, Elizabeth, dont il est épris.

Très vite, Holmes invite Watson à participer à une enquête concernant M. Bobster et le révérend Nesbitt, tous deux décédés dans des circonstances étranges, s’apparentant à une crise de folie. Ils sont en réalité victimes d’hallucinations épouvantables après qu’une mystérieuse silhouette armée d’une sarbacane leur ait tiré dessus. Holmes réfute la thèse du suicide, voyant un lien entre les deux meurtres, mais il ne parvient pas à convaincre l’inspecteur Lestrade, de Scotland Yard.

Peu après, Holmes est convaincu de tricherie à un examen à cause d’un autre élève, Dudley, qui est lui aussi amoureux d’Elizabeth et que Holmes a humilié lors d’une chasse au trésor. Malgré la protection bienveillante de Rathi, son professeur d’escrime, Holmes est renvoyé mais il fait sembler de partir pour Londres car il est le témoin du décès du Waxflatter qui parvient à murmurer avant de mourir un simple mot : « Ihtar ».

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Voilà un film qui fait partie de mes longs métrages préférés lorsque j’étais adolescente. Vu lors de sa sortie en 1986, c’est lui qui m’a fait découvrir Sherlock Holmes et m’a donné envie de lire les aventures écrites par sir Arthur Conan Doyle. Et à l’occasion du mois anglais j’ai eu envie de le revoir avec mes garçons cette fois-ci et comme pour moi, le charme a opéré avec eux.

Bien sûr le film réalisé par Barry Levinson et produit par Steven Spielberg a vieilli, notamment au niveau de ses effets spéciaux qui datent un peu mais qui nous apparaissaient limite révolutionnaires à l’époque, mais il se regarde toujours avec beaucoup de plaisir.

Je trouve aussi que le scénario tient aussi bien la route, le jeu des personnages reste convaincant, quant à la musique, je l’aime toujours autant.

Certes, ce Sherlock Holmes adolescent est conforme à celui qu’il sera adulte au niveau de ses cellules grises et de sa grande intelligente, mais très éloigné de celui-ci du point de vue de son caractère. Le détective en herbe, s’il est conscient de sa supériorité, se montre affable envers Watson et surtout très fleur bleue avec Elizabeth.

Les garçons ont adoré aussi et je pense que nous reverrons encore de nombreuses fois Le secret de la pyramide et que le charme sera encore là.

Je vous laisse avec la bande annonce :

Vu dans le cadre du Mois anglais

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DVD de Noël

A quelques jours de Noël, quoi de mieux qu’un bon film empli de l’esprit de Noël pour se mettre dans l’ambiance ? Avec mes garçons, c’est l’occasion où jamais de voir ou revoir des longs métrage d’animation ou non, on se cale dans le canapé, serrés les uns contre les autres histoire d’avoir plus chaud et de pouvoir grignoter à notre aise plein de bonbons ou de chocolats !

Voici notre sélection de films 2014, peut-être qu’elle vous donnera envie de les voir ou revoir à votre tour :

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La reine des neiges

Libérée, Délivrée ! Depuis un an, on est totalement fan du dernier Disney. On connaît désormais les chansons par cœur et bon nombre de dialogues du film, de vrais enragés, faut pas nous en promettre, La reine des Neiges tourne en boucle depuis une semaine !

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Mission Noël Les aventures de la famille Noël

Depuis qu’il est sorti il y a maintenant deux ans si ma mémoire est bonne, on se regarde Mission : Noël – Les aventures de la famille Noël et on adore ! On ne se lasse pas de cette famille Noël qui a remisé le bon vieux traineau et ses rennes au garage et qui fait la tournée des cadeaux dans un vaisseau spatial avec des lutins entrainés aux arts martiaux.

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Christmas Story – La véritable histoire du Père Noël

Ce n’est pas le film le plus drôle (sortez vos mouchoirs) ni le plus connu de la terre mais il est très émouvant et a le mérite de raconter la véritable histoire de Nicolas, devenu le père Noël. C’est ce que raconte Marko Leino dans La véritable histoire de Noël que l’on voit beaucoup sur les blogs, mais avant le roman il existait déjà le film.

Il était une fois en Laponie un jeune orphelin, nommé Nicolas, que les habitants de son village avaient adopté par générosité. Depuis sa plus tendre enfance, Nicolas possède un réel don pour inventer les jouets, don qu’il met à profit à chaque Noël en offrant des cadeaux aux autres enfants. Quelques années plus tard, lorsque la famine touche le village, il est envoyé comme apprenti chez un charpentier. Quand ce dernier menace de le renvoyer s’il continue à fabriquer des jouets, c’est toute la tradition de Noël qui est en danger…

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 Les cinq légendes

Un long métrage dont je ne vous ai jamais parlé et pourtant je l’adore aussi. Il met en scène un Père Noël à l’accent russe prononcé et aux tatouages bien visibles, un lapin de Pâques survitaminé, un marchand de sable très endormi, une fée des dents plus qu’exaltée, un croquemitaine toujours aussi méchant et un Jack Frost que je verrais très bien en amoureux d’Elsa la reine des neiges, car comme elle, il a le pouvoir de faire neiger et glacer. Ils vont devoir faire équipe contre le croquemitaine qui a décidé de se débarrasser d’eux.

Sans oublier Le royaume de glace : les aventuriers de la poudre magique, Le royaume de glace 2 : à la recherche de la corne enchantée, Le pôle express, Holidays, Love actually, Miracle sur la 34è rue, La vie est belle, Le drôle de Noël de Scrooge, Le secret de l’étoile du Nord…

Et vous, quels sont vos films de Noël préférés ?

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La princesse et la grenouille

À La Nouvelle-Orléans, dans les années 1920, le prince Naveen de Maldonia est transformé en grenouille par le docteur Facilier, un terrifiant sorcier vaudou. Afin de retrouver sa forme humaine à l’aide d’un baiser, Naveen décide de trouver une princesse et tombe sur Tiana, qui est en fait une jeune serveuse.

Cette erreur de la part du prince Naveen fait que le baiser a pour seul effet de transformer Tiana en grenouille. Tous les deux décident donc de partir dans les bayous de la Louisiane à la recherche de Mama Odie, grande prêtresse vaudou aveugle de 177 ans, qui aurait le pouvoir de briser le sort. Dans cette aventure ils seront aidés par Louis, un alligator trompettiste ainsi que par Ray, une luciole désespérément romantique et folle d’amour pour une certaine Évangéline.

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Très Librement adapté du livre The Frog Princess de E. D. Baker, lui-même une variante du conte Le Roi Grenouille ou Henri de Fer des frères Grimm, le 49è film d’animation des studios Disney sorti en 2009 met pour la première fois en scène une héroïne afro-américaine et il était temps ! Ne croyez pas que je n’aime pas les princesses blondes aux yeux bleus mais c’est important que les petites filles très éloignées de ce modèle de beauté puissent se retrouver aussi dans des héroïnes qui leur ressemble peu ou prou.

Pour moi La princesse et la grenouille signe le renouveau des studios Disney après plusieurs longs métrages décevants et fait partie de mes Disney préférés, dont je ne me lasse pas, même après l’avoir vu des dizaines de fois. Pourquoi cet engouement ? Pour le graphisme bien sûr qui revient aux sources. Mais surtout parce qu’il se situe dans les années 20 et qu’il est vibrant hommage au jazz New Orleans, une période et style de musique que j’affectionne tout particulièrement.

Tiana, notre héroïne, est l’anti-stéréotype de la majeur partie des princesses Disney : elle ne cherche pas à se marier mais a une grande ambition, s’élever socialement en ouvrant son propre restaurant et pour ça elle travaille dur, ne compte pas ses heures et elle vraiment déterminée à atteindre cet objectif. Elle a pour meilleure amie Charlotte, la fille de Big Daddy, l’un des hommes les plus riches et influents de la ville et aux antipodes de Tiana.

Et c’est lors du grand bal donné par Big Daddy où elle fait office de traiteur qu’elle rencontre le prince Naveen changé en grenouille par le maitre des ombres, sorcier vaudou. Cet incroyable égoïste, flambeur et vrai panier percé, propose à Tiana qu’en échange d’un baiser, censé rompre l’enchantement, de lui offrir son restaurant. Cette dernière accepte mais se retrouve aussitôt changée elle aussi en grenouille. C’est le début de leurs folles aventures dans le bayou et de rencontres toutes plus extraordinaires les unes que les autres : Louis l’alligator trompettiste, Ray la luciole romantique et Mama Odie la sorcière vaudou, seule habilitée à rompre le sort.

La princesse et la grenouille est une belle réussite, portée par une excellente bande-son et des chansons toutes plus entrainantes les unes que les autres, un bel hommage aux grands Louis Armstrong et Ray Charles mais aussi aux contes de fées car la grenouille et les charmes qui s’y rapportent sont des ressorts très fréquemment usités par les auteurs de contes de fées.

Je vous laisse avec la bande-annonce :

Vu dans le cadre du challenge Il était une fois… les contes de fées !!

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Un grand mariage

Don et Ellie ont divorcé depuis longtemps, mais pour le mariage de leur fils adoptif, et pour le bien de sa mère biologique, les voilà obligés de sauver les apparences en faisant semblant de former un couple uni et heureux comme au premier jour… Au milieu de la famille et de tous leurs amis réunis, leur mensonge va rapidement provoquer des choses qu’ils n’avaient pas imaginées… Entre secrets et faux-semblants, entre hypocrisie et vieilles rancoeurs, rien ne sera épargné aux convives, qui ne vont pas tarder à se jeter dans la bataille. La fête s’annonce saignante et réjouissante…

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Lorsque je vois le mot mariage dans un titre de film j’ai du mal à résister, déformation professionnelle sans doute, mais je raffole des longs métrages autour du D-Day ! Et si en plus il y a Diane Keaton (que j’adore autant que Meryl Streep), Robert de Niro et Susan Sarandon au générique, je cours le visionner même si je sais que ça ne va pas être le film de l’année, je suis sûre de passer malgré tout un bon moment avec ces trois grands acteurs.

Et j’ai bel et bien passé un bon moment même si ce long métrage n’est pas le plus hilarant que j’ai vu ni le plus original, l’intrigue est même plutôt banale. C’est une comédie sympathique, légère, pleine d’humour, même si on ne rit pas aux éclats. Vous l’aurez compris, un scénario cousu de fil blanc mais qui se laisse voir sans déplaisir.

Le film tient surtout par sa formidable brochette d’acteurs au mieux de leur forme avec mention spéciale à Robert de Niro, très cabotin et diablement tentant dans son rôle de sculpteur bête de sexe. Susan Sarandon est tout à fait éblouissante (c’est moi où elle ne vieillit pas ?) et Diane Keaton, en féministe judo bouddiste, toujours aussi convaincante. Cerise sur le gâteau, Robin Williams dans un rôle de prêtre qui lui va très bien.

En résumé, une gentille comédie qui fait ce qu’on attend d’elle : nous divertir sans autre prétention, ce qui n’est déjà pas si mal !

 

Vu dans le cadre du Challenge Marry Me :

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