Littérature jeunesse

Harry Potter et les reliques de la mort – J.K Rowling

Lu dans le cadre du Mois Anglais

Joanne Kathleen Rowling a grandi en Angleterre où elle est née en 1965. Elle commence à imaginer la saga Harry Potter dès la fin des années 90, après ses études de lettres. Si J.K. Rowling achève le premier tome de la série en 1993, Harry Potter à l’école des sorciers n’est publié qu’en 1997 par Bloomsburry en Angleterre, puis en 1999 par Gallimard en France. Les prix littéraires remis aux premiers tomes, et surtout le formidable bouche à oreille des cours de récréation font de Harry Potter un sorcier mondialement connu. Le septième et dernier volume de la série est paru en 2007. Auteur d’un phénomène éditorial inédit qui bouleverse tous les repères de la littérature jeunesse, JK Rowling a vu son œuvre récompensée par le Prix Andersen en 2010.

Cette année, Harry a dix-sept ans et ne retourne pas à Poudlard. Avec Ron et Hermione, il se consacre à la dernière mission confiée par Dumbledore. Mais le Seigneur des Ténèbres règne en maître.

Traqués, les trois fidèles amis sont contraints et la clandestinité. D’épreuves en révélations, le courage les choix et les sacrifices de Harry seront déterminants dans la lutte contre les forces du Mal. 

Après Harry Potter à l’école des sorciers, Harry Potter et la chambre des secrets, Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban, Harry Potter et la coupe de feu et Harry Potter et l’ordre du phénix, Harry Potter et le prince de Sang-Mêlé, je termine ma découverte de la saga consacré au jeune sorcier avec Harry Potter et les reliques de la mort, lu avec ma copinaute Belette qui souhaitait la relire et qui m’accompagne dans ce qui est ma première lecture de cette série qui a tellement influencé de lecteurs.

Cette fois, l’histoire ne se passe pas à Poudlard car Harry fait l’école buissonnière. Mais il a une bonne raison : il a une mission. Aidé de Ron et d’Hermione, il va traquer l’âme de celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom. Voilà le fil conducteur de ce dernier tome.

Cependant, comme à chaque fois, l’auteure va le mêler à d’autres fils accessoires mais tellement essentiels, donnant une fin en apothéose à cette saga. On va donc, pour ce faire en apprendre beaucoup plus qu’on ne voudrait sur la vie de Dumbledore, découvrir ce qui se cache derrière les reliques de la Mort, comprendre (enfin !) le détestable Rogue, visiter le ministère de la magie ou encore Gringotts de fond en comble…

Bref, pas de répit pour Harry, ni pour les lecteurs qui trouveront enfin toutes les réponses à leurs questions dans cet ultime opus ! Si globalement, je ressors séduite par l’histoire bien rythmée et émaillée de rebondissements, je trouve tout de même que ce dernier tome regorge de bien trop de longueurs dont je me serais volontiers passée.

Le récit est plein d’émotions, les personnages prennent dans ce livre toute leur dimension, que ce soit Harry, Hermione ou Ron, mais encore d’autres personnages plus secondaires comme Lupin qui accepte sa paternité…

On revient enfin sur le passé de Dumbledore, sa famille, ses liens avec Grindewald mais aussi celui de Rogue et l’on comprend qu’une vie ne peut être faite uniquement de blanc ou de noir, mais qu’elle se teinte parfois de gris et c’est bien vu de la part de l’autrice que de l’apprendre à ses jeunes lecteurs et lectrices.

Le final du livre est formidable. Impossible de le lâcher avant la fin de la bataille de Poudlard. Même si je me souvenais bien de l’histoire grâce au film, j’ai pris plaisir à me rafraichir la mémoire avec ce dernier volume.

Ma Belette n’a pas vu de longueurs, la chanceuse, vous pouvez retrouver son avis ici !

6 commentaires sur “Harry Potter et les reliques de la mort – J.K Rowling

      1. Oh ma mère les a lu plus souvent que moi et elle est née en 68, l’âge n’est pas forcément une indication ahah

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