Bilan de lecture : avril 2024

Avril vit ses dernières heures et c’est donc l’heure pour moi de vous dévoiler mon traditionnel bilan mensuel. Au menu de ce quatrième mois de l’année 2024, des romans historiques et contemporains, des polars, de la jeunesse, des graphiques.

Côté chiffres, j’ai lu 24 titres : 11 romans adultes dont 6 pavés, 2 biographies, 3 bandes dessinées, 4 mangas, 1 romans jeunesse/ado et 3 albums jeunesse. Soit 11 services de presse, 5 emprunts et 8 achats. De très bonnes lectures dans l’ensemble, pourvu que ça dure !

La plupart de ces lectures a déjà fait l’objet d’une chronique, les autres le seront dans les prochains jours. Comme d’habitude, j’ai pioché allègrement dans ma pal mensuelle, preuve que concocter ces petites piles à lire me convient bien.

On commence par un cosy mystery : le 3e tome des enquêtes de Beatrice Hyde-Clare, Une infâme trahison (SP) de Lynn Messina que j’ai trouvé, une fois de plus, irrésistible ! On reste au XIXé siècle avec La constance de la louve (SP) de Cécile Baudin, un thriller historique très bien ficelé. J’étais très contente de retrouver la plume efficace et addictive de Daniel Cole avec Jackdaw (SP). Enfin, j’ai poursuivi la série consacrée à Joseph et Matthew Reavley avec Les anges des ténèbres, signée Anne Perry.

On passe aux titres historiques avec un roman à double temporalité : Les livres disparus de la Vè avenue (SP) de Fiona Davis. Bordeaux et les années 20 avec Un soupçon de justice, un roman très intéressant signé Florence Tachoires. Et l’Allemagne avec Charlotte & Anna, premier tome de la trilogie Le magasin des souvenirs de Katharina Fuchs.

On continue avec deux romans biographiques très intéressants : Les mille et une vies de Lucie (SP) de Karine Lebert qui met en lumière la femme de lettres Lucie Delarue-Mardrus dont j’ignorais l’existence. Et, sur une personnalité qui me fascine, celle de Jacqueline Kennedy avec From Jackie, with love d’Hermine Simon.

Côté contemporains, on commence par Les deux vies de Lydia Bird de Josie Silver, un roman assez bouleversant sur le deuil. Direction le Japon avec Le restaurant des recettes oubliées de Hisashi Kashiwai, un feel-good tout doux et gourmand. On poursuit avec une dystopie terrifiante : Obsolète de Sophie Loubière. Une enquête familiale avec La carte postale d’Anne Berest.

Place à la jeunesse/adolescence avec La cité oubliée (SP) d’Hermine Lefebvre, un roman de fantaisy qui m’a emmené dans une ville que j’adore, Venise.

Côté graphiques, j’ai lu Switch : Journal d’une apprentie sorcière (SP) d’Eva Roussel, un ouvrage très intéressant sur l’écoféminisme. Et le premier tome de San Francisco 1906, Les trois Judith (SP), de Damien Marie et Fabrice Meddour.

Une fois n’est pas coutume, j’ai fait une incursion au rayon manga avec une série qui me tentait depuis sa parution : L’oiseau d’or de Kainis (emprunt) de Kazuki Hata dont j’ai lu les quatre tomes d’un coup, preuve que j’ai beaucoup aimé.

On continue avec des graphiques pour la jeunesse et Fantômes de soirée (emprunt) de Mr Tan et Yomgui Dumont, cinquième tome réussi de l’épatante série 109 rue des Soupirs.

Pour les plus jeunes, que de très bonnes pioches avec Oliver et les géants de la nuit (SP) de Kitty O’Meara & Anna Pirolli, Le livre qui ne voulait mais alors vraiment pas être lu (SP) de David Sundin, Les Couzz Promenons-nous (SP) de Fanny Joly et Eglantine Ceulemans.

En avez-vous lu certains ? Lesquels vous tentent ?