Bilan de lecture : mars 2024

Mars tire sa révérence et avec lui, sonne l’heure de mon traditionnel bilan mensuel. Au menu de ce troisième mois de l’année 2024, des romans historiques et contemporains, des polars, de la jeunesse, des graphiques.

Côté chiffres, j’ai lu 22 titres : 13 romans adultes dont 4 pavés, 1 biographie, 1 document, 2 bandes dessinées, 2 romans jeunesse/ado et 3 albums jeunesse. Soit 8 services de presse, 2 emprunts et 12 achats. De très bonnes lectures dans l’ensemble, pourvu que ça dure !

La plupart de ces lectures a déjà fait l’objet d’une chronique, les autres le seront dans les prochains jours. Comme d’habitude, j’ai pioché allègrement dans ma pal mensuelle, preuve que concocter ces petites piles à lire me convient bien.

On commence par les polars et Le jardin des anatomistes (SP) de Noémie Adenis qui confirme son talent après le très réussi Le loup des ardents. J’ai retrouvé avec bonheur Michel Bussi avec Mon coeur a déménagé, cet auteur est décidément le roi du bluff et j’ai adoré ce nouvel opus dévoré en 24h seulement. J’ai retrouvé Joseph et Matthew Reavley avec le tome 2  de la série que leur a consacré Anne Perry, Le temps des armes. Enfin, retrouvailles également avec un duo d’enquêtrices que j’adore, Flo et lady Hardcastle à l’occasion de ma lecture du tome 6 de leurs enquêtes : Meurtres en bord de mer.

On passe aux titres historiques avec Le rouge et le blanc (SP) d’Harold Cobert, une plongée terrifiante au coeur de la révolution russe et du système soviétique. Changement de registre avec une série de romance historique que j’adore, Les rebelles d’Oxford, d’Evie Dunmore, dont j’ai lu le troisième opus : Portrait d’un écossais. J’ai retrouvé la plume d’Ellen Marie Wiseman avec Les orphelins de Philadelphie (SP), qui nous entraine en pleine épidémie de grippe espagnole en 1918.

On poursuit avec des classiques : Vingt-quatre heures d’une femme sensible de Constance de Salm, un court roman épistolaire à la verve romantique. Et La crevette et l’anémone de L.P Hartley, une histoire charmante.

Côté contemporains, on commence par Le domaine de l’héritière de Lucinda Riley, un roman à double temporalité assez passionnant. Changement de registre avec Ceux qui restent de Jean Michelin qui nous emmène au coeur de l’armée française. Direction le Japon avec le très doux et réconfortant roman de Michiko Aoyama, Un jeudi saveur chocolat. Et enfin L’Italie avec Felicità de Serena Giuliano.

Un documentaire très enrichissant portant sur des femmes pionnières dans leur domaine : Elles ont été les premières ! 100 femmes exceptionnelles (emprunt) de Mélina Gazsi et Suzanne Kestenberg. Et une biographie, Alma Mahler ou l’art d’être aimée (SP) de Françoise Giroud.

Place à la jeunesse/adolescence avec une duologie, L’horloge à l’envers d’Anne Pouget dont j’ai lu les deux tomes : Le diable noir et La pierre de folie.

Côté graphiques, j’ai lu Au revoir là-haut (SP) de Christian de Metter, l’adaptation très fidèle au roman éponyme de Pierre Lemaitre. Et Le printemps de Sakura de Marie Jaffredo, une histoire toute douce qui m’a beaucoup plu.

Pour les plus jeunes, que de très bonnes pioches avec Le livre qui ne voulait vraiment pas être lu (SP) de David Sundin, Le livre essentiel (SP) de Suzie Morgenstern et Eugenia Nobati, Opération poule mouillée (SP) de Lu Fraser et Sarah Warburton.

En avez-vous lu certains ? Lesquels vous tentent ?